|
|
Anonyme
18/3/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Voilà une histoire qui m'a fait sourire ! Placée sous un auguste patronage, il est vrai... Je trouve que vous avez bien prolongé le récit, votre développement m'a paru logique, bien dans le ton. Même le style ne dépare pas, à mon avis, il donne dans le vieillot.
Bref, du bon boulot pour moi, une pochade très sympathique. |
macaron
22/3/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Donc pour lui, ce n'est pas "la fin des haricots"!
Une nouvelle très plaisante dans un style que j'aime beaucoup. Un humour très français où se mèlent gaudriole, cocus, décadence et... St Pierre. Vous êtes sévère je trouve avec lui. Au fond, c'était un homme qui aimait la vie, et s'occuper à la fin de ses jours de botanique: un exemple à suivre! |
brabant
31/3/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour Palimpseste,
Oui, oui, cela a un petit goût d'Allais, avec une construction trop solide cependant, trop logique ; le Maître prenait plus de distanciation dans l'absurde, le raccourci voire le j'm'en foutisme pour ce que j'en ai lu (encore que le coup de la soupière soit pas mal :D). Un peu trop naïf, histoire enfantine/conte "infantile" (sans que l'expression soit péjorative et malgré les andouillers :D), une trop grande envie de dire, de détailler, de plaire à partir de l'arrivée au paradis. Sans doute la raison de mon (-)... Mais c'est bien quand même hein, et sans doute objecterez-vous et me démentirez-vous car c'est vous le spécialiste au lu de votre introduction et de l'ensemble de la nouvelle d'ailleurs. J'ai eu un petit problème avec "marquis/hobereau" : Le marquis vient très haut dans l'échelle des titres après le prince et le duc mais devant le comte alors qu'un hobereau n'est qu'un petit noble de rien du tout parfois même sans cheval ni château. Ils ne peuvent avoir en commun les "somptueuses fêtes". De plus de mémoire de marquis on n'a pas souvenance d'en avoir ouï un se ruiner, même après avoir offert équipage et hôtel particulier à sa "maîtresse sur rue". Peut-être me corrigerez-vous là-aussi... Lol. Mais pour l'essentiel j'ai passé un bon moment en la compagnie de ce Monsieur de l'aristocratie de la jarretière égarée :) |
Pimpette
31/3/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Je me demande si notre auteur est un jeune humoriste plein d'avenir ou un ancien au passé chargé de gloire, mais de toute manière le texte est d'une grande drôlerie dans un style superbe...
J'aime mieux,à l'oreille,:' ...ses haricots chéris" que '...ses chers haricots".... une bricole... Pour l'histoire, j'ai préféré le marquis vivant, c'est à dire la première partie de la nouvelle, avant son séjour au royaume des morts...des morts dont Allais disait: "Les morts vont vite, surtout quand ils sont montés sur leurs petits chevaux arabes" je me suis bien amusée |
Acratopege
31/3/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Merci pour cet exquis moment d'humour vieillot et pire encore, anté-révolutionnaire! La langue sied au propos, la fable s'expose en mots qui sonnent comme des cors de chasse quand on combat entre pairs pour la conquête du plus bel andouiller. Je ne connais pas assez Allais pour apprécier l'éventuel pastiche, mais j'ai aimé. Merci.
|
Anonyme
2/4/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Palimpseste
Je note vite deux petits détails avant de les oublier. Première phrase, à la fin de ladite, me serais arrêté à "des moyens les moins nobles" à cette fin, alourdit. Plus loin " la porte un peu basse" pour laisser passer les andouillers, me serais contenté de porte basse. L'écriture est soignée, le ton très agréable, l'humour présent un peu partout, c'est léger, quoiqu'un brin long. En ce qui concerne toute la partie paradisiaque... un peu plus d'originalité, peut-être, d'originalité dans l'imaginaire, s'éloigner des chemins rebattus... je suis certain que vous y seriez parvenu sans difficulté. La fin, c'est la vôtre, mais elle ne me convient pas, trop revancharde : " Tu les as aimés tes haricots, t'en aurais bien pris encore une louche, ben tin, en v'là" J'étais parti sur vraiment autre chose, comme par exemple, une passion renouvelée pour ces haricots et leur culture... Je le voyais bien céder à cette tentation, en prélever quelques uns et en faire des plantations, un paradis rempli de haricots, de toutes les couleurs, de toutes les formes et le paradis dévoré, recouvert, telle une jungle de plants de haricots... Mais je m'égare, empiète sur vos plates-bandes, m'amuse, car votre texte m'a détendu, fait sourire même si la fin est à mon sens, pas assez... délirante. Mais peut-être n'était-ce pas du tout votre sujet ni votre objectif. Merci. |
alvinabec
4/4/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour Palimpseste,
D'accord, on compatit à la corvée de fayots pour le 'pauvre marquis'. Toute l'ambiguïté de votre texte tient là. Bois-Lamothe est-il le hobereau en sabots (ds son champs de haricots), pauvre hère qui aurait même place auprès de St Pierre ou est-ce le magnifique héritier d'un marquisat qui, usant de son inaliénable droit de cuissage, court la prétentaine sur son domaine comme à la cour ( locale, régionale, nationale, voire étrangère...)? Je pinaille, mais même après son revers de fortune, je ne me le représente pas bien le cher homme. Parfois je me demande si vous vous êtes bcp relu, mais là j'exxxxagère! Je termine par un compliment, vous savez être drôle donc ne changez rien. A vous lire... |
Menvussa
6/4/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
|
L'histoire m'a bien plu. Mais j'ai eu un peu de mal avec ta manière d'user du présent. Des problèmes de concordance de temps dont on ne va pas faire un plat... de haricots.
|
aldenor
17/4/2013
a aimé ce texte
Bien
|
Se lit agréablement.
L’introduction est proportionnellement trop longue. Elle m’a amusé, mais comment évaluer l’humour de la nouvelle sur cet apport externe ? Vous me faites découvrir un personnage truculent d’Alphonse Allais. Et puis, voilà le problème, il faut rester à la même hauteur. Or l’anecdote qui suit souffre de la comparaison ; le style vieillot se tient bien, le ton est amusant, mais plus tellement le contenu. |