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Asrya
27/9/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Sympathique. Bien écrit. Une histoire qui se lit efficacement, sans prise de tête, je suis rentré dans le personnage dès les premières lignes et ne l'ai quitté qu'à l'annonce du Big-Bang.
Peut-être que "l'orbite à Dudule" n'était pas nécessaire, mais ça m'a tout de même fait sourire ! "En tous cas, à l’avenir, je ne mettrai plus son existence en doute…" Une belle note d'humour rédigée avec style. J'ai beaucoup aimé ce texte en fait. Je ne trouve pas grand chose à dire. C'est dynamique, constant, j'ai été happé par votre récit et me suis laissé prendre par l'essence comique qu'il reflète. Merci beaucoup pour ce partage, Au plaisir de vous lire à nouveau. |
Anonyme
29/9/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bon, ben j'ai beaucoup aimé. Un ton potache et gouailleur, des références variées dont un retour insistant de BB en Harley Davidson, du délire qui monte en puissance... La big classe !
Et re-voilà de la cosmogonie barge, cool... Bon, en toute franchise la fin me déçoit un poil ; Dieu barbu en caleçons douteux, c'est bien sympathique mais me paraît un cran en dessous dans l'invention : je retrouve une imagerie irrévérencieuse de bouffeur de curés qui (à mon avis) à force lasse un peu. Ce qui m'a beaucoup plu en revanche, c'est le côté quotidien et craspec de l'avenir radieux où, comme toujours depuis l'aube des temps, des lampistes sont chargés de passer le balai ; qu'il se trouve en orbite géostationnaire ne change rien sur le fond et là, pour moi, c'est très bien vu ! "Ne jamais baisser les bras, ne jamais se rendre !" : "Never give up, never surrender" ? L'aurait pas vu "Galaxy Quest", Gégé ? "Enfin arrivé sur ma section d’orbite (à Dudule)" : aaah, j'adore. Du bon gras ! "Il ne pourrait même plus absorber un After-Eight sans exploser." : là, j'ai ri. Qui aurait parié sur la longévité de cette marque ?! |
Anonyme
9/10/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ainsi donc, voilà la véritable histoire du Big-Bang ! Elle me plaît !
J'ai suivi les aventures de Gérard et de son aspiro en carafe, les yeux plissés de rire et bien aimé les références à la chanson de BB sur sa Harley Davidson. L'écriture est efficace et enlevée. L'histoire déborde d'humour du début à la fin, entre Rodrizeg, les fringues du samedi soir... Bref, un style que j'aime, inventif, pétillant avec des jeux de mots et d'images très jouissifs. Le plaisir de la lecture a été total. Merci à l'auteur(e) |
Robot
8/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est tout a fait délirant et j'ai passé un bon moment en orbite (a Dudule) du premier mot jusqu'au bang final.
L'écriture est enlevé, pas un moment de pause. La fin, quand l'aspiro avale tout l'univers, défile comme un film en accéléré. C'est presque haletant. Et l'ultime humour blasphématoire avant l’anéantissement est une image d'Épinal qui vraiment m'a fait éclater de rire. * C'est la fin du monde, mais l'espoir demeure puisqu'il y a big bang. Une S.F. comique sur une idée simple mais efficace. |
Myndie
8/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Pepito,
C'est du grand art ! Bravo pour le délire de l'imagination ! C'est très bien écrit, d'une plume alerte qui donne toute sa vie à l'action et surtout c'est irrévérencieux à souhait pour qui lit entre les lignes. Le personnage de Gérard est campé avec tellement d'humanité que, futur ou pas, sa déveine ses fausses bonnes idées, ses préoccupations salariales nous le rendent immédiatement sympathique. D'autant qu'il a l'air de connaître son Gainsbourg sur le bout des doigts^^ ! On pourrait être lui somme toute. Quel dommage que les réalisateurs zolywoodiens ne s'inspirent pas plus de ce genre d'anti-héros qui feraient passer leurs nanars grand public au rang de films culte. J'ai aimé aussi retrouver un peu de l'univers trash des Monthy Python avec le morceau de trop, l' « after eight »responsable du big bang à l'instar de celui de M. Creoto. Et enfin, n'ayons pas peur des mots, pas de doute là-dessus : Gérard est avant tout (mais après Descartes quand même) une brillante méditation métaphysique sur cette terrible angoisse à laquelle nous sommes confrontés : dieu existe t-il ?:))) Je me suis régalée du début à la fin. Tu as de l'inventivité, du style et un humour qui emballe le tout pour nous offrir un vrai plaisir de lecture. Merci encore. Myndie space fantasy apocryphe |
Francis
8/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Chaque scène semble projetée en 3D sur la page. Le sourire du lecteur rebondit de phrase en phrase. Il est cinq heures, Gérard s'éveille ...sur son aspirateur comme la sorcière sur son manche à balai. Langage familier et univers cosmique sont unis avec une belle réussite. Voila un bon scénario pour une BD !
Bravo. |
Louis
8/11/2014
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Gérard n'est pas un technicien de surface, mais un technicien de l'espace, il nettoie les orbites géostationnaires, mais avec un aspirateur spatial, ce qui indique un monde futur qui a réalisé bien des progrès technologiques, puisqu'il ne fait plus usage du vieux balai...
Il est un éboueur céleste, un cantonnier des nues... Il porte un nom banal, celui d'un individu tout à fait banal, modeste cantonnier de l'espace ; Gérard n'est pas un héros, un sauveur, un prophète, pas un génie, pas un homme d'exception, son prénom fait populo, mais il est l'origine d'effets grandioses : un big crunch, pas moins, et un nouveau big bang pour un univers tout neuf et tout propre. Tout est ramené à une extrême banalité, réduit au ridicule et au dérisoire ; ainsi son engin, aspirateur spatial, au nom homonyme de la prestigieuse moto Harley-Davidson, s'avère une motocrotte de l'espace, mais pour faire surgir, du fond de cette bassesse et dérision, de cette vulgarité même, le plus grandiose. De causes modiques et futiles, un retard, un changement de batterie dans la motocrotte spatiale, une petite erreur de manipulation, s'enchaînent des effets démesurés : une variante de l'effet papillon, puissance infinie. D'une chose vile, basse, une poubelle, mais une poubelle quantique devenue trou noir, naît un effet grandiose. D'un événement singulier et insignifiant résulte une effet universel. À la poubelle, tout l'univers ! Pour un monde nouveau, tout neuf, tout propre ! Merdique l'univers, un tas de déchets ! Le modeste Gérard, sans le vouloir, sans le savoir, s'avère plus fort, plus puissant, que Dieu lui-même. Mais c'est à peine s'il prend conscience de l'énormité de ce qu'il a déclenché : « Putaingue, Gérard, là c'est sûr, t'as déconné... : » Cette disproportion entre ses réactions et l'événement cataclysmique qu'il produit, participe de cet humour partout présent dans le texte. Le rire naît des ces petits riens dérisoires qui ont des effets sur le Grand Tout. Un humour proche, quand Gérard est avant tout préoccupé de sa prime de fin de mois, de celui de Woody Allen qui écrivait « Et si tout n'était qu'illusion ? Si rien n'existait ? Dans ce cas, j'aurais payé ma moquette beaucoup trop cher. » W. Allen est l'auteur de «Dieu, Shakespeare et moi », le narrateur paraît l'auteur de « Dieu, le big bang, Shakespeare et moi, Gérard» ! Bravo pour cet humour décapant ( pour un monde vraiment plus propre ?!). Bravo pepito. |
Anonyme
8/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai laissé ronronner ma Harley au coin de la rue et je suis venue dans ton Comic Strip Pepito, autant l'avouer, je me suis très beaucoup bien amusée.
Comme disent les copains : du grand Art, bien mené, avec tout plein de références délirantes. Bien vu, joli travail et merci pour ces sourires, par les temps qui courent c'est vraiment crip crap zip Shebaaaaa ! |
Anonyme
8/11/2014
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Pepito s'est fait plaisir. Un peu d'onanisme (passe-partout donc), ça décongestionne. Du coup, je n'ai pas réussi à lire ébranlé...
Les références datent un peu. Pas grave. Un maître-penseur a dit : "Aspiro plus vieux, aspiro quand même !" C'est quand même bien imaginé (toute la nuit ? non !), même si le propos est immature (toute la nuit ? non pas là ! bosse, dupark, bosse). Bon, ça n'atteint pas l'Himalaya (toute la nuit ? non ! pas chaque fois !) de la vanne et ce texte ne sera pas immatriculé (toute la nuit ? ha là faut voir) dans mon top few. dupark, du camping izi-slip |
Bidis
9/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà une petite nouvelle qui se lit avec plaisir. L’écriture, toujours alerte et imagée de Pepito, entraîne le lecteur malgré lui dans les méandres improbables et fantaisistes d’une imagination sans limites. Je me suis amusée.
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Anonyme
10/11/2014
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Bang ! C'est un plaisir de lecture, un côté délirant, des pointes d'humour mise entres parenthèses judicieusement, une progression vers une foutaise, un aspirateur magique. Tout ça me rappelle ma vision de l’aspirateur, petit, était-il capable de tout aspirer ? Maintenant je sais que oui.
Aurait-il été possible de faire une allusion au vendeur de la version 2 de cette machine ? Un petit bonhomme au nez écrasé, qui a une élocution difficile et qui vante les mérites de l'aspiration sans bac de récup !! |
Anonyme
11/11/2014
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Commentaire modéré
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jaimme
11/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un excellent moment de lecture, encore plus délirant que Douglas Adams (c'est peu dire) et surtout très bien assumé. Grand amateur de SF je suis toujours à chercher la petite bestiole d'incohérence, et là: rien (sauf _ il faut toujours un sauf_ le vaisseau qui transporte la fameuse batterie. N'aurait-il pas fallu qu'il soit très très bizarre?). L'écriture est limpide et jouissive. Juste une bricole: je ne suis pas persuadé que mettre les jeux de mots entre parenthèses soit le plus judicieux. Question de rythme de lecture. Sans parenthèses le lecteur est entraîné malgré lui vers le jeu de mots et le gobe tout cru. C'est juste mon avis.
La fin est excellente. Encore! |
Acratopege
18/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Alerte, drôle, moins léger qu'il n'y parait. Il y a de la métaphysique pour les nuls là-dedans, et de la mythologie style BD. Cet aspirateur, comment ne pas penser à Saturne dévorant ses enfants, au Grand Serpent qui se mord la queue, à la circularité de l'espace-temps? Les allusions à Brigitte Bardot sont un peu appuyées, mais elles font sourire. J'ai beaucoup aimé le passage poétique où le héros - oui, c'en est un! - prend la terre entre ses doigts et la secoue comme ces boules de verre avec de la fausse neige dedans, même s'il détonne un peu avec le reste du récit.
Bravo Pepito! |
caillouq
30/11/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Aaaaah oui, il me semblait bien (j'l'avais lue, j'l'avais lue), ça c'est de la bonne !
J'aime beaucoup quand SF et routine se côtoient. Et cette histoire d'aspiro... <3 <3 <3 Manque que le chat, non pas de Schrödinger, mais celui du sketch des nuls. Je ne verrai plus le Big Ban de la même façon ! Merci Roger, merci Pépito... |
VinceB
1/12/2014
a aimé ce texte
Bien
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J'ai apprécié cette histoire, le rythme des rebondissements ne laisse pas un instant de répit, le ton humoristique parfaitement cohérent avec le personnage et la chute bien barrée qui conclut le tout sans fausse note ! Cela me fait penser à des nouvelles de science-fiction de Fredric Brown.
Par contre, je suis désolé... pas moyen de trouver une faille dans ce bloc bien compact, bon, si allez, "ma section d'orbite (à Dudule)", c'est très limite, mais justement cela cadre parfaitement avec le personnage et donc ça passe. Donc, j'en redemande ! |
bigornette
1/5/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'arrive longtemps après, donc je ne vais pas en remettre une tartine. J'ai beaucoup aimé, bien sûr. Qui n'aime pas ce qui est à la fois léger, intelligent et drôle ? Vous avez un style hyper-efficace, parfaitement adapté à la lecture sur écran. Bon, vous en faites peut-être un peu trop parfois. Exemple : "Car c’est bête à dire, mais là, maintenant, à l’instant présent, sur le coup, en ce moment même, je donnerais beaucoup pour me faire engueuler par le chef Rodrizeg." Pour moi, la répétition a neutralisé le comique de la fin de la phrase. Et puis "Manque de bol pour lui, je n’reconnais plus personne sur mon David & Son." Répétition du même gag. Et deux ou trois autres broutilles qui ne modifient pas mon opinion que c'est vraiment une chouette nouvelle. Quant à la chute : énorme !!
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Anonyme
6/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ca va à toutes allure, le style est parfaitement maitrisé,l' humour est là, ça ce déguste comme un bonbon en plus, je dirai des noix de Grenoble. Merci pour ce moment vivifiant...
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