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Neojamin
18/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour!
Une belle petite nouvelle. J’ai bien aimé, c’est doux, c’est bien écrit. L’idée de remonter le temps n’est pas des plus originales mais elle fonctionne bien. J’aime cette trilogie d’instants séparés dans le temps. A priori, il n’y a rien de commun au trois, à priori. La chute est belle, poétique et pleine de sentiments. L’orange qui roule sur des graviers comme un dernier souvenir... pas mal! Sur la forme, ça fonctionne, c’est efficace, sans fioritures, direct et agréable à lire. Une seule petite remarque : - «j’aurais parié sur 700 watts par peton» Bof...pas très fin! Merci! |
Asrya
23/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↓
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Quelques tranches de vie servies sur un bout de papier (numérique en l’occurrence).
Sympathique. L'écriture est plutôt agréable, une histoire qui se lit facilement, sans embûche ; un bon point. Rythmée, organisée, humaine, juste ; une aventure de vie qui sied honnêtement à la réalité. Chacune des parties que vous nous proposez a son charme. La dernière m'a peut-être davantage enthousiasmé ; c'est celle que je me suis le plus imaginé (question de vécu probablement). J'aime assez la complémentarité de votre récit, entre émotions, humour et tourments (légers ceci dit). Après... je ne comprends pas trop le lien entre les différentes parties. Quatre, Seize, Vingt-et-un, y-a-t-il une logique derrière ces âges en particulier ? Simples souvenirs de votre vie ? Dans ce cas, je trouve que cela manque de lien. Des événements indépendants qui ne construisent pas quelque chose en particulier ; simple reflet de votre personnalité. Remarquez, c'est déjà ça. Merci pour cette lecture, Au plaisir de vous relire. PS : Merci pour la citation de Pimpette, elle est magnifique. |
Anonyme
9/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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Une nouvelle qui commence par "Merde" j'hésite à continuer en général, surtout si, dans la foulée, je tombe sur "chiotte" mais bon, j'ai continué parce que j'étais intriguée et que l'écriture est agréable. Où se passait cette scène ? J'ai pensé d'abord à une prison mais ça ne collait pas.
Donc c'est à l'armée. Donc ça date un peu... une nouvelle-souvenir ? Après on passe à une autre brute malfaisante... le conseiller d'éducation. Souvenir aussi, je suppose. Et puis souvenir de maternelle avec toujours une brute malfaisante. 21 ans, 16 ans, 4 ans... j'ai juste ? C'est gentil, c'est émouvant mais je ne suis pas emballée. |
Pimpette
9/3/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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J'adorrrre!
Ton écriture toujours impecc mais que j'ai souvent boudée dans des textes de science fiction...je ne te l'ai pas caché? Ici les souvenirs sont parfaitement choisis, traités avec verve,et humour(sinon Pepito ne serait pas Pepito), certains brutaux correspondant à l'âge....et le dernier si touchant sans aucune pleurnicherie.....que la larmichette n'est pas loin!!! Rien de tout ceci, malgré ton talent, n'aurait existé sans cet incipit génial ...bravo! Pimpy Ecris zen une autre très vite! |
Shepard
10/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut Pepito !
Hmmm Tranches de brie ? Je dois dire que j'ai premièrement pensé au fromage, mais difficile d'y mettre un sens. Serais-ce un jeu de mot entre tranche de vie/bris ? Bref, j'aime bien votre style qui n'en rajoute pas trop et qui a quelques tournures percutantes/amusantes ("Je lève la tête, gonfle le buste façon chat de gouttière" ; "Au jugé, j’aurais parié sur 700 watts par peton" ... Enfin il y en a tellement que je ne vais pas toutes les relever). On ne s'ennuie pas avec votre écriture ! Du coup, je vois un lien entre les trois parties (si je prend en compte le titre) : c'est simplement trois moments ou le personnage se mange une brute, des tranches de brie/s quoi. J'y vois aussi, peut-être une progression ... Au plus jeune âge, c'est la misère. Plus tard, il y'a une 'revanche' sans avoir le dernier mot, et finalement c'est le bourrin qui a besoin d'aide. Y aurait-il une victoire de la plume sur l'épée dans ce texte ? En tout cas j'y crois et ça me plaît ! Un texte très réussit ! |
Bidis
10/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'avais déjà lu "Quatre", avec l'orange, et j'avais aimé, beaucoup.
"Seize" m'a amusée mais j'avais trouvé "Vingt et un" par trop jubilatoire, je suis redescendue d'un cran. Car ce premier opus mérite tous les superlatifs. On a les images, le son et les odeurs. Et même du suspens. Avec, en prime, une chute A-DO-RA-BLE. |
Francis
10/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai lu ce triptyque le sourire aux lèvres mais aussi avec beaucoup d'émotion ! En effet ces différentes scènes m'ont emporté dans mes souvenirs. Nous avons vécu les mêmes moments !
11 Je suis pensionnaire au collège. A la récréation du soir, papa (envoyé par ma mère) arrivait à vélo. Devant la grille, il m'observait avec un sourire que je n'oublierai pas. Moi, honteux devant mes camarades, je ne me rapprochais pas de la grille. Quel idiot j'étais ! 17 L’Ecole Normale et sa discipline militaire ! Trois dimanches de colle, un mois sans revoir mon petit village à cause d'un pion qui ressemblait à votre surveillant général. 20 Je suis marié et dispensé du service militaire en qualité de soutien de famille. Ouf !!! Je remercie cette belle plume pour ce voyage dans le temps. |
Perle-Hingaud
10/3/2015
a aimé ce texte
Bien
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C’est quoi ce titre ?!
Vous n’avez pas pu vous en empêcher, mmh ? ^^ Bref, du boulot honnête. Je ne vais pas m’étendre, j’ai déjà lu plus travaillé de votre part, (oui, je fais ma difficile aujourd’hui), la construction est trop classique selon moi (la succession de tranches de brie, justement). Ceci dit, j’aime bien ces anecdotes. Le narrateur sait éveiller l’empathie par la sensibilité de son récit, le tout sous une couche de rigolade, parce que quand même, on est des hommes, des vrais. Votre style est toujours aussi vivant, même si les trois « bon » et les trois « merde », sur un texte aussi court, bof… Par contre, vous avez mis la pédale douce sur les adverbes et autres adjectifs, cette fois-ci... perso, je préfère comme ça. Allez, on ne se repose pas sur ses facilités, on y va ! |
placebo
11/3/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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21 - j'ai bien aimé, même si j'ai du relire pour comprendre l'enchainement de l'action, car il y a beaucoup d'explications :)
16 - ces pensionnats, je n'y ai pas vécu, mais j'en ai tellement lu/vu que j'ai l'impression de retrouver un endroit familier :p 4 - j'avoue que malgré la brièveté, j'ai sauté quelques lignes que je suis revenu lire après. En fait ce qui me marque, c'est que les trois textes abordent les mêmes thématiques : la violence, l'amour (moins pour le 2eme), les relations sociales ; et leur traitement leur confère un côté "épreuve" qui fait grandir. Et on a une sorte de régression vers des sentiments de plus en plus bruts. Globalement, j'aime bien :) Bonne continuation, placebo |
Myndie
11/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Pepito,
J’aime ce récit elliptique, que sa découpe en « tranches » à reculons rend ouvert à tous les souvenirs et donc jamais clos. J’avais déjà eu l’occasion de lire quelque part le très émouvant passage de l’orange. Chacun de ces trois épisodes est raconté avec le talent d’écriture qu’on te connaît déjà à travers tes récits de SF mais il y a plus encore : il y a cette finesse d’observation des lieux, des circonstances, des êtres, et la manière très adroite dont tout cela nous est offert – la suggestion dans la narration. Moi j’adore. Tout comme je me suis régalée des envolées stylistiques san antoniesques qui émaillent« seize » et que j’aurais aimé retrouver dans « vingt et un » ((dans « quatre », c’eût été de moins bon goût^^) Mais ce que j’ai préféré à tout le reste, c’est la tendresse avec laquelle le vécu est restitué et qui confère à ces trois récits un indéniable relief. Alors après la SF, Pepito expert es-poétique de la nostalgie ? |
Louis
11/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Trois moments "forts" dans le vécu du narrateur.
Trois moments marquants qui ont pour point commun de se trouver confronté à la force brutale et violente. Le premier se situe dans une caserne : une confrontation avec un grand type, costaud, résistant, surnommé « La Bête ». Le narrateur craint une agression. À côté du colosse, il ne fait pas le poids, ni même hauteur et largeur, et effectivement il n'en mène pas large. Mais la force brutale cache autre chose, la demande d'une lettre d'amour. La puissance physique et violente s'incline devant un autre pouvoir, reconnu au narrateur, le pouvoir d'écrire et d'exprimer des sentiments par l'écriture. Dans cette expérience, le narrateur semble découvrir ce qui permet de surmonter sa faiblesse physique, son état d'infériorité, et d'échapper aux brutalités de l'existence : le pouvoir de l'écriture. Le deuxième temps marquant se situe dans le pensionnat d'un lycée. Le narrateur se trouve confronté, cette fois, à un conseiller d'éducation à l'apparence « immonde », un homme « marron », surnommé : « le gros ». De nouveau, l'homme en mémoire ( « Il n' est pas seul, pourtant je ne vois que lui ») présente une allure bestiale, sauvage, une puissance impressionnante et redoutable. Il s'agit cette fois aussi de remédier à la faiblesse, à une situation d'infériorité. ( telle est bien la préoccupation, comme l'atteste la volonté du narrateur de rester debout : « J'ai lu quelque part qu'être assis mettait en position d'infériorité, je demande à rester debout » ). Ce n'est pas l'écriture qui est cette fois le remède, mais l'impertinence, la dérision, l'humour potache. Le Gros conseiller a subi « le coup du Train postal », plaisanterie un peu rosse, tout de même. Le troisième et dernier moment se situe dans une école primaire ou maternelle. On remonte dans le temps, le narrateur est cette fois un jeune enfant. Deux puissances cette fois sont en présence. L'une, bienveillante et protectrice, celle du grand-père, « Une grosse bedaine bienveillante et deux mains. Des mains énormes... ». L'homme apparaît gros, énorme à l'enfant, mais la grosseur ici est délicate et bienveillante. L'autre puissance est brutale, hostile, méchante. Elle est représentée par « le fils de la maîtresse », qui apparaît grand, gigantesque, « à cheval sur le dos de son copain la grosse brute » Le narrateur enfant fait la découverte d'une puissance plus grande que celle de son grand-père, mais qui n'a rien de bienveillant. Le géant imposant et doux se trouve abattu, mis à terre, par un autre géant, brutal et cruel. L'orange roule sur le sol, et se recouvre « d'une gangue de sable et de poussière grise ». L'orange, substitut du grand père, se retrouve dans la terre et se couvre de poussière. Dans la mémoire de l'enfant, elle est l'image du grand-père disparu, enterré, enrobé de terre. L'orange à terre est associée à l'absence du grand-père dans la scène infantile : quand l'enfant se tourne vers la grille, comme pour un appel à l'aide, le grand père a disparu, « l'ombre s'est déjà éloignée ». L'orange vivante, enveloppée de l'image du grand-père, de sa peau, est « juteuse », « délicieuse » ; l'orange morte, enveloppée de terre, n'est que pleurs et déception. Vivante, elle est promesse de liberté, de vie que l'on croque. Enveloppée de terre, elle est une absence, un manque de protection, une solitude par laquelle l'enfant se sent livré seul aux difficultés de la vie, à ses pépins, à sa cruauté, à son acidité ; livré seul à la force brutale et méchante. Une scène émouvante du désarroi d'un enfant. Trois moments marquants donc, qui se caractérisent par l'écriture, le rire, l'émotion. Trois caractéristiques importantes du narrateur dont on devine qu'il est aussi l'auteur. Le titre joue sur les mots « brie » et « bris ». Mais les trois moments, trois tranches de vie, ne sont pas seulement des « bris », mais aussi des moments affirmateurs et constructeurs d'une personnalité. Ce n'est pas rien, c'est pourquoi Pepito peut en faire.. tout un fromage. Un fromage savoureux. |
molitec
12/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J’ai trouve ce texte très agréable a lire, et qui a pu rester harmonieux malgré les changements d’ambiance, on est transporté dans trois environnements différents dans une seule nouvelle, avec quelque chose de commun , comme des références discrètes, trois étapes différentes dans la vie du personnage, qui ont presque une forme commune ; le personnage se retrouve au début de chaque situation en face de quelqu’un de plus "grand" que lui, les intentions de ce dernier vers la fin diffèrent d’une tranche a une autre ; d’abord sollicité (vingt et un), jugé (seize) et ensuite aimé ou apprécié (aime) , il avait changé en grandissant et les intentions des autres aussi, chose qui est peut être banale ou normale, toutefois ces tranches mise l’une a cote de l’autre donnent a ce changement plus de relief en quelque sorte.
J’aime cette écriture fluide, j’aime beaucoup aussi l’humour présent dans le texte, comme ces deux passages : (il y’en a beaucoup d’autres dans le texte) « Je bloque ma respiration et pousse encore le battant. Vient la luminosité… marron ! Ça existe, ça, une luminosité marron ? » Cette phrase m’avait fait rire, quelle simple remarque drôle, bizarre et inattendue ! « Cela faisait une bonne demi-heure que j’étais planqué là, à l’attendre, polochon sous le bras. » Drôle dans le contexte. Quant a l’intrigue, j'ai eu l'impression qu'il s’agissait d’une même intrigue qui se répète dans le temps, avec des dénouements différents a chaque fois, le dernier étant différent des autres, le plus important peu être... Enfin, j’ai trouve la dernière partie et la chute particulièrement touchantes. Merci pour cette lecture, au plaisir. |
Coline-Dé
11/3/2015
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Pepito, j'aime bien quand c'est rigolo, mais je crois que je préfère encore dans le registre un poil sentimental. C'est toujours très visuel, très vivant, une écriture qui ne s'embarrasse pas de tournures compliquées, qui va droit au but, avec juste un petit détour par l'humour. On y croit. Ca ( j'ai la cédille en panne sèche) pourrait être autobiographique, du genre d'autobio que je trouve chouette.
Il y a quelques bricoles qui mériteraient un petit ponçage ( elle n'est en panne que pour les majuscules) comme par exemple la répétition de "réalisé"ici : "J’ai réalisé à ce moment-là que, d’une part, ma technique pour me forger une réputation était particulièrement efficace et que, d’autre part, ce gars avait un mal fou à lire quelques lignes. Quand je me suis retourné, j’ai réalisé qu’Anduéza n’avait rien perdu de la scène. " Mais ça finit sur un goût d'orange au parfum délicieux... |
Alice
12/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Ah! Enfin! Orange de Pepito, je te retrouve!
Une excellente idée que de raconter les vingt et un ans à rebours, cela met du piment à l'histoire, même si j'ai été assez bête pour ne pas m'arrêter au "seize" à la première lecture, ce qui m'a un peu fait perdre le fil (j'ai une tendance étrange à occulter ce qui est en gras, comme si je refusais de me plier à l'exigence d'un changement de caractère, avant je regardais toujours pendant cinq minutes en me disant que ça devait être important, mais finalement tout ce que j'enregistrais c'était: c'est en gras). Bref. J'ai eu des doutes au départ en me disant que le style comportait un peu trop de familiarité à mon goût, ça me paraissait facile et pas particulièrement agréable (cette manie d'écrire "bite", notamment, je dois dire que je serai à jamais trop québécoise pour y réagir autrement qu'avec un léger "rrrrhoo" mental). Mais il y a une subtilité, une tendresse dans le récit qui surprend et qui laisse couler les "merde" et autres. Le rythme est également admirable, pas de longueurs. Le grand-papa est évidemment mon préféré, car autant j'aime votre humour autant je suis avant tout une grande sentimentale :P Les "700 watts par peton" m'ont bien fait rire. "Un remords par hasard?" aussi. Le début est selon moi plus faible que le milieu et la fin, sauf ces passages concernant le bas de nylon (je dirais que ça démarre vraiment là) et la requête de la Bête. Je crois que ma réserve du début touche plus la mise en page que le texte en tant que tel, on est toujours convaincu que le prochain paragraphe donnera des éclaircissements, sans qu'il le fasse jamais, alors on vous en veut du saut de ligne ;) Le message est simple : dans la vie, bah y a toujours une grosse brute quelque part. Avec toujours un rôle à la fois violent et philosophique, je dirais, du moins c'est ce que je pêche dans ce texte. Un plaisir, comme toujours; et ça faisait un moment, non? Alice |
Anonyme
15/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Pepito dans le registre tendre, j’aime aussi beaucoup, surtout que l’humour Pepitache n’est jamais bien loin.^^
Trois tranches de Brie sur un fil rouge claquent au vent du temps passé. Ainsi va la vie, de l’amour/orange aux mots d’amour écrits qui adoucissent les brutes épaisses. Le tout, narré de ton écriture fluide et imagée qui fait mouche à chaque fois, m'emballe dans la douceur au parfum d'orange. Merci l’Ami.^^ Cat |
Acratopege
28/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà du vrai Pepito, avec un style direct, un propos simple, mais toute une subtilité de sentiments et de situations. Violence et passion, amour et autorité, puissance et misère, tout y est à travers ces trois historiettes en coup de poing. Dommage qu'il n'y en ait que trois: j'aurais bien apprécié un 87 dans un asile de vieux, un 1 à la pouponnière, un -0.5 dans le ventre maternel!
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