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florilange
24/3/2010
a aimé ce texte
Bien
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Bon, la partie "technique" de cette nouvelle est du genre indigeste. En revanche, l'histoire se tient. Le style est plutôt correct sauf quelques broutilles et la chute amusante de simplicité par rapport à ce qui la précède. Un clin d'oeil malicieux à tous les scientifiques.
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Anonyme
29/3/2010
a aimé ce texte
Bien
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Ce qui suit reflète uniquement « ma » perception et « mon » interprétation du texte lu. J'essaie de vous apporter une aide ; elle est parfois pertinente, parfois non ; dans tous les cas elle est subjective. Vous n'êtes absolument pas obligé de suivre les quelques pistes tracées : le texte vous appartient et je n'en suis que l'interprète. Enfin, mes suggestions ne concernent que la forme.
« le directeur et ses assistants se précipitèrent à l’intérieur du labo pour y découvrir une vue de désolation » : assez maladroit (pour y découvrir une vue de désolation) La concordance des temps : « le serrurier eut ouvert la porte » et «On aurait dit qu’un » : on eut dit. « de papiers en tout genre, » : pour quoi « en tout genre » qui alourdit la phrase ? Un des mes dadas : le point virgule comme ici : Les analyseurs étaient éventrés ; leur haute technologie, sortie de leurs boîtiers, ne valait plus rien. Et puis, leur haute techno, sortie de leurs boitiers, il doit y avoir moyen de le dire différemment. « Dans un geste rageur, le directeur attrapa la note et lu : » : d'un geste... Il y a des phrases à retravailler ; exemples : « Je suis certain que tu dois m’en vouloir d’avoir démolit le labo. » « La vue d'une liasse de billets violets le fit s’assoir, estomaqué » « Je suppose que tu aimerais comprendre ce qu’il s’est passé » : qui s'est...ou plus simplement : Je suppose que tu aimerais comprendre ? « Te souviens-tu de mon hypothèse de l’univers fractal ? » : sur l'univers... C'est curieux car à partir de : « La base de celle-ci » et la suite le style est nettement meilleurs. « On en déduit un corollaire stupéfiant » : je ne sais si on peut déduire, mais obtenir oui. « Comme nous tournons sur nous même en 24 heures » : l'homme n'est pas une toupie, la terre oui. « entre deux hoquets de rire. » : hoquets ? « Parce que les conséquences de cette découverte sont nettement plus graves et impressionnantes que la simple remise en cause de l’astrophysique traditionnelle par le fait que l’univers soit fractal » : la fin de phrase ne me plaît pas (par le fait que). « il m’a permis de confirmer mes équations. » : mes théories ou alors « valider mes équations ». « Mercredi dernier, j’ai envoyé un faisceau d’une seconde à 21 h. » : … à 21 heure j'ai... « tu sais à quel point je suis méticuleux dans mes protocoles expérimentaux. » : on élabore des protocoles. « Toutes les hypothèses les plus absurdes me sont passées par la tête » : simplifiez (pour quoi toute...). Quelques points à revoir surtout dans la première partie. |
ANIMAL
29/3/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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L'idée développée dans cette nouvelle est intéressante et bien explicitée. Le thème du savant découvrant, tout seul et par hasard ou presque, quelque chose de révolutionnaire est tout à fait plausible car cela est souvent arrivé.
Par contre je trouve bizarre, s'il ne veut pas que sa découverte soit exploitée, qu'il donne tout son modus operandi car les autres n'auraient plus qu'à reprendre ses expériences pour arriver à reproduire le résultat tôt ou tard. Sans doute a-t-il volontairement omis un détail essentiel mais cela n'est pas précisé. Je ne trouve pas non plus logique ni très malin qu'il révèle qu'il a joué et gagné au loto et qu'il part sur une ile tropicale. Pourquoi révéler ses plans à l'ennemi ? Rien de plus facile que de le faire retrouver par des professionnels. Est-ce encore de l'intox ? Donc quelques points obscurs dans cette histoire que j'aurais aimé avoir une fin plus "fantastique", par exemple qu'il réussise à se projeter dans la fractale à la place du rayon pour partir explorer les méandres du temps, ou quelque chose dans ce goût là. J'imagine cela tentant pour un savant... En résumé, pour moi une bonne base d'histoire, bien écrite, mais le scénario aurait gagné à être plus fouillé. |
Anonyme
30/3/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour
Joli ! Mais c'était pas gagné parce que le texte est un rien complexe pour qui n'y connait rien. Cependant le sujet est intéressant, l'histoire passionnante et ce qui ne gâche rien, la fin est amusante. Ceci dit, les premiers paragraphes ne sont pas faciles à ingurgiter et en particulier ici : "Te souviens-tu de mon hypothèse de l’univers fractal ? Le fou rire que tu as eu lors de ma première approche du sujet doit encore être dans ta mémoire ! Tâche, cette fois, de garder ton sérieux et d’imaginer que j’ai eu une bonne intuition. Car je te l’affirme : il l’est !" => ??? il l'est quoi ? De quoi parle-t-on ? J'ai relu cinq ou six fois la phrase je ne l'ai pas comprise. Le premier paragraphe, qui dans toute nouvelle est primordial est ici difficile à aborder : "Plus rien n'était intact" : formulation bancale. Bizarre. "Des papiers en tout genre" (ça reste des papiers) "le laser à plasma pulsé" plasma pulsé, c'est son nom ? ou le laser a été "pulsé" et encore, pulsé, ça veut dire quoi ? La ponctuation n'aide pas à mieux comprendre. "leur haute technologie, sortie de leurs boîtiers, ne valait plus rien." avec cette phrase, j'ai l'impression d'avoir à faire à un auteur qui ne s'y connait pas plus que moi, ce qui est démenti par les explications scientifiques qui suivent, mais je le répète, c'est le début du texte, et pour moi dans une nouvelle, il est absolument essentiel qu'il soit soigné. Si le sujet ne m'avait pas interpelée (le continuum espace-temps, j'adore) j'aurais arrêté là. Le ton aussi m'a plu. Bonne continuation à l'auteur et merci. |
zorglub
8/4/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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La nouvelle est un peu complexe, et il m'a fallu relire la théorie pour la comprendre. J'ai trouvé le raisonnement plutôt cohérent et relativement original.
Une chose qui m'a gêné, c'est la référence aux 6 heures. Elle est introduite assez rapidement, et comme elle est répétée jusqu'à la fin ("et toutes les six heures, en utilisant le point de fracture ..."), elle semble être une référence absolue qui serait liée à la Terre, ce qui paraît déroutant. Alors qu'en fait, si j'ai bien compris, il s'agit d'une "bête" contrainte liée au fait que la Terre masquerait le faisceau en retour. Il suffirait de se mettre sur un satellite avec un laser et un capteur montés dos-à-dos et on pourrait tirer sur un point de fracture à n'importe quelle distance, et donc moduler à volonté le décalage temporel, ce qui pourrait ouvrir des horizons encore plus larges. Je pense qu'il y a aussi moyen de creuser un peu plus sur la distinction entre ce type de voyage temporel qui ne fait transiter que de l'information, et le cas plus classique de transit de matière. Après, en effet, le héros se dévoile sûrement un peu trop par rapport à son objectif de tout cacher, mais on peut mettre cela sur le compte d'une légère vanité. Dans l'ensemble, une lecture agréable et inventive. |
Jedediah
12/4/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Merci pour cette publication.
J'ai apprécié ce texte, même si je comprends que la partie technique ait pu en rebuter plus d'un. Pour ma part je pense avoir saisi l'essentiel. Le "rappel" mathématique sur les fractales dans la lettre est peu crédible, puisque le directeur a sans doute de bonnes bases scientifiques, mais cela permet il est vrai au lecteur que je suis d'appréhender le concept. J'ai toujours aimé les histoires de continuum espace-temps, et à ce titre je trouve cette nouvelle plutôt bien développée. J'ai lu un jour un article de Science&Vie, qui affirmait que les voyages temporels étaient tout simplement impossibles, du fait d'une barrière logique qui est levée dans ce récit : "Que se passerait-il par exemple si je recevais un message que je décidais de ne pas m’envoyer par la suite ?" Si cette barrière n'existe plus et que les voyages temporels sont possibles, alors cela ne remettrait-il pas en cause le libre arbitre humain ? Ou du moins ce que l'auteur appelle ici "l'incertitude ?" Bravo pour la fin du récit, qui souligne l'ingéniosité du chercheur... qui d'ailleurs ne s'est jamais envoyé les numéros du Loto. |
Mistinguette
13/4/2010
a aimé ce texte
Bien
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Il est vrai que la partie technique de cette nouvelle est plutôt rébarbative, et pour être franche je n’ai pas cherché à tout comprendre. Mais l’ensemble est plaisant, l’écriture agréable et la chute aussi inattendue qu’amusante.
Du coup, ça m’a donné envie de lire d’autres textes de l’auteur… |
dvb
11/5/2010
a aimé ce texte
Bien
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C'est pas sans me rappeler certaines nouvelles et roman déjà lues par ailleurs. J'aime toujours ce style qui joue sur le paradoxe temporel, mais je pense que tu aurais pu pousser un peu plus loin la réflexion et de fait l'impact des décisions du protagoniste (la fin est un peu... simple, non ?)
Cela dit ça reste tout à fait agréable à lire et facile à appréhender. Le style "épistolaire" à sens unique, est assez efficace en l'occurrence. |
marogne
13/5/2010
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un exercice difficile que d’écrire sur le temps. Sur le sujet c’est toujours « The end of eternity » qui me vient en tête, et la décision finale.
Ce qui me semble intéressant dans ce type d’histoire, c’est justement l’histoire qui est contée, que des paradoxes temporels soient utilisés pour en servir de base, oui, mais il faut une histoire. Ici, elle manque, car je n’e prends pas le tour de passe-passe sur le billet de loterie comme étant une histoire (de toute façon aucun loterie au monde ne permettrait de rembourser ce qui est décrit dans ce laboratoire et de permettre une « retraite » ensoleillée ensuite – enfin je pense). La longue exposition du pourquoi, pas plus improbable ou étonnante qu’une autre, m’a paru trop longue compte-tenu de la longueur de la nouvelle. Sur la forme, il me semble que le « style » n’est pas vraiment constant tout au long du texte. Le premier paragraphe pour moi en est un exemple. Un petit bricolo pour finir, c’est une lettre, donc on la lit, mais on ne l’écoute pas…. |
Pistodrake
17/5/2010
a aimé ce texte
Bien
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Le style de la nouvelle est amusant, je pense que ça aurait gagné en étant même un peu plus humoristique, en rendant les théories scientifiques a la limite de l'absurde pourquoi pas?
Afin de ne pas être trop rébarbatif pour le lecteur. Ou du moins pour rendre plus amusante la mésaventure du scientifique, car je ne sais pas pour les autres mais moi j'ai du mal a me trouver inquiété par l'histoire. On parle de découvertes effrayantes au point qu'un scientifique travaillant sur la structure de l'univers se décide a abandonner toute science pour partir. Mais la liasse de billets impressionnante, les explications un peu décousues et la décision de tout détruire après quelques signaux de morse font de ce scientifique quelqu'un de pas très téméraire pour un scientifique bossant sur des théories aussi pointues. Ce qui rend l'histoire peu sérieuse, mais cet humour aurait pu être exploité je pense. Il y a sûrement eu pire comme théorie, ça aurait pu être expliqué plus clairement car le principe est sympa. Je partage d'ailleurs cette envie de voir dans la théorie de la matière sombre comme d'un ajout un peu forcé et pas très utile en tout cas ^^. Petite note personnelle, je doute assez fortement qu'un laser puisse être "à plasma pulsé" un laser c'est de la lumière amplifiée et focalisée. Du plasma c'est un état de la matière constitué de particules chargées, plutôt un phénomène électrique donc. A moins que le plasma ne soit la source d'énergie ce qui aurait dû être précisé pour éviter que cela soit vu comme une invention un peu bancale. A mon avis l'histoire aurait gagné en force même telle quelle. Il suffisait de préciser un peu la menace, la rendant plus tangible ou en la sous-entendant de manière plus explicite, là ça reste assez flou et même pas exploré par le scientifique. On reste un peu sur notre faim du coup. |
littlej
3/6/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Ce texte m'a vivement intéressé au départ. Intérêt qui s'est vu décroitre au fur et à mesure.
J'aime bien le traitement tout d'abord. Il est simple, on va à l'essentiel, même si évidemment il nous retourne par moment le cerveau, avec ce petit artifice j'ai envie de dire qui est de laisser paraître une sorte de démonstration irréfutable, presque logique et évidente. C'est pas mal. Je n'essayerai absolument pas de contester les démonstration - fantaisistes il va sans dire - de notre Pierre le scientifique. L'entrée ne matière est plutôt sympathique. Le cadre est planté et la tension est déjà palpable. Aussi, un léger détail, tout bête, j'ai aimé l'utilisation assez fréquente des points d'exclamations, je trouve que ça reflète bien toute l'excitation et l'agitation de Pierre au moment même qu'il écrit et révèle ses découvertes. ça le rend terriblement sympathique ; ça fait toujours beau à voir des passionnés comme lui. Donc, un personnage bien campé. Par contre, il manque quand même les descriptions émotionnelles, on a envie de vivre avec Pierre dans ses recherches, de sentir son cœur qui palpite, qui se serre, à chaque obstacle franchi dans sa laborieuse démarche expérimentale. Il me manque cruellement de ces choses-là, à peine puis-je noté quelques bricoles : Tu imagines ma joie lorsque j’ai effectivement reçu le signal en retour, comme prévu, le jeudi à 9 h du matin. Impatient, je me demandais ce que j’allais recevoir du futur. C'est à peu près tout. En fait, vous vous limitez souvent au point d'exclamation pour exprimer ses émotions. Mais c'est malheureusement insuffisant. Dommage de ce côté-là. Je regrette aussi, mais ça reste toujours discutable, qu'on ne sache pas un peu plus de choses sur le directeur. C'est tout de même l'homme à qui est adressé la lettre, celui qui est apostrophé par l'énonciateur. Juste une ébauche de portrait, tout simple, pour donner une âme, de la chair, à ce personnage tout à fait creux et transparent dans la nouvelle. Et enfin des phrases mal venues à mon avis, trop directives, explicatives, un exemple pour illustrer : La frontière entre l'impossible et le réel venait d'être franchie. Je trouve cette phrase inutile. C'est au lecteur d'en juger je pense. Au final, une lecture parmi tant d'autres, mais loin d'être mauvaise. j |
Anonyme
15/7/2010
a aimé ce texte
Bien
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Moi les paradoxes temporels ca me parle. Cependant, je vais émettre un très léger bémol au niveau du style qui reste encore a travailler.
La base de la nouvelle est excellente. L'univers fractal quadridimensionnel, très bonne idée. Le coté technique est assez convaincant et l'histoire elle même se tient. Le problème vient de la manière dont sont agencés les choses, qui manque d'un poil de cohérence. Je pense qu'un peu de travail sur l'écriture reste nécessaire. (Pourquoi détruit-il tout et laisse les papiers, même déchirés ? n'aurait il pas mieux valut tout ranger en ordre et retirer les travaux scientifiques ? pourquoi tient-il tellement a taquiner son supérieur ? ) Ça donne l'impression que la nouvelle a été écrite d'une traite, sans savoir ou cela allait, et qu'au moment d'apposer le point final, il n'y a pas eu de relecture globale. - Cela a peut etre été le cas, c'est l'impression que j'ai. La partie narrative en revanche est très plaisante. Donc je résume, Très bonne idée de base assez mal exploitée, mais rien qui soit indigeste. Bonne continuation. Bon, le coté éthique du scientifique qui joue au loto, pas terrible hein pour quelqu'un qui prône l'incertitude ;). |
David
5/5/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Perjoal,
Je ne suis pas sûr d'avoir bien compris la fin : Une fois que Pierre a compris qu'il pouvait utiliser le laser comme un moyen de se passer des info en morse à rebours du temps, il l'a naturellement, ou presque, mais c'est un cliché du genre, utiliser pour jouer au loto. En gros il se dit le lundi, par exemple, si je m'envoyai mardi les chiffres du tirage de vendredi. Le lendemain, il n'a plus qu'à lire ses signaux lumineux et aller jouer... mais mettons qu'il viennent en bus et que son bus de jeudi se prennent une météorite qui le pulvérise totalement, il ne peut plus, le vendredi, constater le tirage du loto, ce qui fait qu'il ne peut plus le transmettre en morse, ce qui fait qu'il n'est plus millionnaire le mardi. Peut-être même que le fait de ne pas recevoir le jour dit les numéros choisis serait un moyen pour lui de se prémunir d'un péril : s'il ne l'a pas fait alors qu'il l'avait décidé, c'est donc qu'il lui est arrivé quelque chose l'empêchant d'agir, entre la date de réception prévu du message du futur et le jour choisi pour récolter les informations, soit le mardi et le vendredi, donc. Mais je me demande s'il n'y a pas un problème avec la fin : Citation : j’ai joué hier les six numéros que je me suis envoyés demain. Comment Pierre a-t'il envoyer les numéros le lendemain du carnage du labo et de son outil qui me semblait unique : le laser à plasma pulsé ? Celui-ci n'était plus opérationnel le jour où les numéros sortant de la loterie devait être transmis ? |
Anonyme
2/6/2011
a aimé ce texte
Bien ↓
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Amusant. Le retour, non pas du Jedi mais de Benoit Mandelbrot et des fractales intrigantes.
C'est une bonne idée que de les avoir employées. Le plus drôle, c'est que "fractal" signifie "irrégulier" pour décrire une itération curieusement régulière. Un peu à l'image de votre nouvelle qui, de ce point de vue, est une réussite. Rien de neuf dans ce texte, bien sûr, mais les fractales n'ont jamais prétendu à la nouveauté, n'est-ce pas, juste à la répétition de formes reconnues. La dimension nouvelle qui serait le Temps, le super laser, la destruction des notes et du labo, la disparition du savant humaniste employés pour pondre un récit, c'est un peu le brocoli dans lequel le tout est l'image des parties. Dommage de n'avoir pas développé la structure "fractale" de ce récit pour en faire quelque chose de vraiment étrange. Par exemple, l'histoire véritable devrait commencer à la fin de la nouvelle. C'est assez souvent le cas avec les ( bonnes ) nouvelles de SF. J'hésite entre moyen+ et bien- Comme les dessins m'ont intéressé ( ils sont très esthétiques ) et, surtout, que c'est aujourd'hui le 2 du mois 6, ce sera bien - |