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maria
21/10/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Une nouvelle très agréable à lire. Je me suis amusée en écoutant "les personnages". Sa légèreté apparente donne matière à de profondes réflexions. Une belle histoire à raconter aux petits comme aux grands. Merci pour le partage et à bientôt. |
ANIMAL
21/10/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un conte paysan tout ce qu'il y a de classique, très agréable à lire.
Le rusé renard abuse de la naïveté et de la bêtise des deux premiers compères figuiers mais, devenu trop sûr de lui, tombe sur un os. Sa troisième victime renverse la situation et l'expose à la rude bastonnade du propriétaire floué. Notre renard perd tout ce qu'il avait obtenu par tricherie. La morale est sauve. L'écriture est simple et claire, l'histoire facile à comprendre même pour un public jeune. Voilà un moment de lecture plein de fraîcheur qui me rappelle les contes d'antan et je lirai volontiers une autre mésaventure de maître renard. en EL |
poldutor
22/10/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Encore une belle petite nouvelle à la manière des contes de mille et une nuits.Les rusé chacal à trouvé plus rusé que lui... Cette courte nouvelle très bien écrite se lit avec plaisir, même si on s'attend à une chute au détriment de Yahia, même si on essaie de l'imaginer, on est agréablement surpris par la trouvaille finale. Bravo à l'auteur(e). Cordialement. poldutor en E.L |
cherbiacuespe
22/10/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Eh, Eh! La sagesse paie toujours et le travail passionné aussi.
Conte berbère? En tout cas, c'est excellent. On pourrait être chagriné, quand même, de voir les figuiers communiquer au début et ne plus le faire quand l'ami Yahia vient chaparder leurs fruits avec des boniments. Que le premier se soit fait rouler dans la farine, soit, mais la suite... Mais tel est le charme des contes, on peut y bousculer la logique en toute quiétude, pourvu qu'on arrive à bon port. C'est bien construit, bien raconté, bien écrit. C'est bref et on y croit. Aller, un petit regret quand même : il manque un je ne sais quoi pour rire un bon coup. Pas de morale, à chacun d'en tirer ce qu'il veut, on peut apprécier cette liberté. Au final, c'est une bien jolie petite histoire. |
Corto
23/10/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
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Voici une belle histoire sans complication.
On la verrait bien racontée un soir à la veillée, devant les yeux grands ouverts des enfants en vacances, autorisés à rester un peu avec les adultes. Pas de mots difficiles, des situations simples, je crois même que c'est une histoire dont on peut facilement se souvenir car la structure en est simple. Le thème est un peu piquant, avec un peu de tension, gentiment. Merci pour ce moment. |
Tiramisu
26/10/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Tel est pris qui croyait prendre ! Jolie écriture adaptée à ce conte. Les deux premiers figuiers peuvent parfaitement représenter certains humains, jamais contents ou à moitié contents. Ils se laissent avoir par celui qui va dans leur sens, qui les plaint et les flatte, et leur apporte une solution bien étonnante, leur garder les fruits, et leur rapporter et qu'en feront-ils ? La haine vis à vis de leur propriétaire les aveugle et les rend bien sots. Le troisième est sage et avisé. Et à l'arrivée, il permet au propriétaire de récupérer son argent, en retour, le propriétaire les traitera encore mieux qu'avant. Morale interessante par les temps qui courent je trouve ... reprocher aux autres, voir le verre à moitié vide, au point de n'avoir aucun discernement ou au contraire voir clair, et agir juste. Merci pour cette lecture. |
ours
9/11/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Philo
Ce que j'aime dans vos propositions sur Oniris, c'est l'absence de manichéisme, et dans le cadre d'écriture de fables, cela doit être un jeu d'équilibriste. Vos personnages sont marqués sans être caricaturaux, le style est clair, l'écriture plus qu'agréable. La morale est bien présente, mais peut être pas celle qu'on attend : un simple rappel au discernement et à notre condition humaine, pour ne pas dire la comédie humaine. Très habile. Au plaisir de vous lire. |
David
16/11/2019
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Philo,
La naïveté de ce conte est bien dosée, elle pourrait convenir à de tous jeunes enfants sans doute. j'ai pensé à celui des "trois petits cochons" pour le même crescendo des personnages : le premier arbre donne toute sa récolte, comme le premier cochon avait une maison très fragile ; le second arbre ne livre que la moitié de ses fruits, comme le cochon à la maison un peu plus solide mais pas suffisamment ; le dernier donne enfin le modèle convenable permettant de surmonter l'adversité mise en scène par le conte. La "morale" est plutôt une transmission sur la façon de se mettre en œuvre, très largement, pour un travail, un devoir scolaire, une corvée domestique ou autres, et le personnage important est peut-être le second figuier, comme le second cochon, celui qui cherche à lésiner sur les efforts à fournir, ou ici dans ce conte, la prudence à adopter. Il y a en plus dans ce texte un contexte charmeur différent de Walt Disney. Il y a une redite malheureuse au début : " le propriétaire a un peu de mérite, il nous donne de la chaux, retaille un peu nos branches, mais cela ne mérite pas de tout s’accaparer !" Il se lit que "Il a un mérite mais ne mérite pas... " ce qui n'est pas au niveau du reste du texte. Le verbe "spolier" dans la même réplique est peut-être une nuance trop complexe de "dérober", dans le contexte d'une lecture pour enfant. Il y a aussi que n'étant malheureusement plus un enfant, cette histoire ne me sera pas inoubliable, mais ce n'était pas inintéressant. PS : le verbe "spolier" a quand même du sens dans le contexte de ces figuiers qui se plaignent de leur "patron", et il n'y aurait pas vraiment un problème de registre de langue, d'autant plus que c'est mon point de vue d'imaginer que le récit pourrait être destiné aux enfants. Je peux imaginer plus simplement que c'est juste une histoire "sans plan marketing", sans visée particulière sur un public de lecture. Dans ce cas, je n'ai pas eu une suffisante "rupture d'incrédulité", ce sentiment qui fait accepter une lecture irrationnelle, même si ce n'est pas de faire parler les figuiers ou le chacal qui posent problème, c'est plus global que cela. |
Anonyme
19/11/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai pris plaisir à la lecture
Le style me convient tout à fait; pas trop de retournement, de vocabulaire présidentiel; bref pil poil pour moi J'aurais vu le renard introduit dès le début de l'histoire: "Le renard observait trois figuiers..." m'évitant la surprise de son arrivée. J'aime beaucoup |
Donaldo75
4/12/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Philo,
J'ai lu ce conte d'une traite. Il n'y a rien à dire, tu as l'âme et le style d'un conteur et - beaucoup l'oublient trop sur ce site et d'autres sites d'ailleurs - écrire c'est souvent raconter une histoire au lecteur afin qu'il reste intéressé par l'effort demandé à ses neurones au lieu d'aller se prélasser à des activités plus relaxantes. Une fois cet intérêt suscité et travaillé, l'auteur peut faire passer des messages ou peaufiner l'esthétique car il a le lecteur dans sa main. C'est ce que tu réussis à merveille dans cette nouvelle racontée comme une fable orientale. Bravo ! Donaldo |