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Anonyme
31/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ouf ! Je craignais que le narrateur ne projetât de tuer l'agaçante Elise, il va simplement l'abandonner au milieu de nulle part... D'un pur point de vue d'aide à la décision, je pense que c'est une erreur : une telle action donnera énormément à réfléchir à la philosophe indécise !
Bon, j'ai trouvé le texte drôle, plutôt fin ; un peu trop long pour ce qu'il a à dire à mon avis. Une aimable pochade écrite dans une langue très châtiée. |
Robot
17/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Enfin, du souriant dans une nouvelle qui m' a tenu en haleine jusqu'au bout. Je voulais savoir ce que le gars avait réservé à l'envahisseuse. Bon, le mec est un peu vache! Mais le plus drôle serait que rentré chez lui la sonnette de l'entrée retentisse et qu'apparaisse... devinez qui...
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Pimpette
17/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Tout ce que j'aime!
Et particulièrement s'amuser en lisant...le maitre nageur qui laisse tomber la perche au risque de noyer son élève a fait ma joie! Beau sujet original et belle écriture, très nette, propre, sans ronds de jambe! J'oubliais...les personnages sont bien vus et bien campés...bref, tout me plait là dedans! |
Anonyme
17/11/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Piterne,
J’ai lu à votre arrivée que vous êtes formateur en communication écrite, et c’est pas moi qui vais réclamer votre démission. J’affirme que tous ceux qui suivent vos cours sauront dorénavant cirer gentiment les pompes d’un banquier, d’un percepteur, ou d’une courtisane du 17e (siècle…pas arrondissement). Le problème pour un nul comme moi, c’est que c’est trop bien écrit pour de la littérature. Cette lettre adressée à un pote, elle est pédante comme c’est pas possible ! On est dans quel milieu ? J’ai tout misé sur une bourgeoisie de province séquestrée depuis la Terreur. Alors on se retrouve avec des mots lisses, des expressions châtiées (« tes mises en garde m'ont poussé à solliciter cette demeure comme havre de retraite et de saine vérité » ou « la profondeur de mon désarroi, l'étendue de ma perplexité »), le genre de type à qui je ne prêterais jamais ma bicoque, de peur qu’il y fasse le ménage. Mais je remarque que vous n’êtes pas totalement perverti, puisque vous dites par exemple ; « Élise est professeur de philosophie dans une fac de province ». Je ne pense pas que le héros commette de telles erreurs de langage. Soit il est un bourgeois de province cul serré, et il ira jusqu’au bout (« Élise est professeur de philosophie dans une FACULTÉ de province »), soit il est à peu près débridé comme tout le monde et il dira : « Élise est PROF DE PHILO dans une fac de province ». Le mélange des deux en fait un être hybride et du coup je réclamerais encore plus de temps qu’Elise pour lire votre menu. L’humour poli et épuré n’est pas mon truc. Ça manque de percussion, on rit le petit doigt en l’air. Je suis sûr que dans cette bicoque il n’y a que du thé et des gâteaux secs (j'avais écrit "gâteux secs", et j'ai hésité à corriger). Mais bon, le talent est tellement évident que je vais tout prendre sur moi et avouer que je suis un piètre lecteur. Cordialement Ludi |
Pepito
17/11/2013
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Forme : écriture correcte sans fioritures.
"...j'ai commencé à moins comprendre les mots et distinguer sa lèvre du haut de celle du bas." ? pas saisi Fond : Bon ben, ... c'est surement drôle, mais j'avoue ne pas avoir trouvé ou exactement. L'ajout de smileys serait salutaire pour mon niveau de lecture. Cela tourne autour du pot, comme l’héroïne autour de son menu, on attend juste que la fin coupe la faim. Bonne continuation. Pepito, amateur de blagues caca-pipi-boudin. |
toc-art
17/11/2013
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Bonjour,
je n'ai pas vraiment aimé ce texte, notamment en raison de l'écriture. Non pas que ce soit mal écrit, non, mais c'est justement trop écrit à mon goût (je n'ai pas dit trop bien écrit). Tout cela manque pour moi de naturel et, pire encore, on sent trop l'auteur derrière le narrateur. Bien sûr, tout cela tient d'une convention tacite, un peu comme au théâtre, le spectateur comme le lecteur acceptent de croire à la réalité de ce qu'on leur présente, alors même que les décors sont en carton-pâte et les personnages grimés. Seulement ici, pour moi toujours, j'ai l'impression que l'auteur s'adresse directement à moi, que la lettre n'est pas pour son destinataire de papier, mais pour le lecteur potentiel que je suis. Et même si, dans la réalité, il s'agit bien de cela, je préfère quand l'auteur fait l'effort de maquiller un peu plus les choses, quand il s'efforce de ne pas juste vouloir faire quelques bons mots et saillies, mais qu'il tente de me convaincre que son histoire est vraie ou pourrait l'être et quand j'ai la possibilité d'oublier ma position de simple lecteur pour entrer dans le récit et ressentir des émotions, même si je sais parfaitement que ces émotions naissent d'une situation factice. Ici, je n'en ai aucunement eu la sensation et cela a gêné ma lecture qui, du coup, m'a semblé longue et ennuyeuse. Mais cela vient peut-être aussi du fait que nous sommes dans une catégorie "humour/détente" à laquelle je suis peu sensible. bonne continuation. |
Piterne
26/11/2013
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Commentaire modéré
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MariCe
1/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Voilà une description du personnage rondement mené, avec finesse et de délicates touches humoristiques qui relèvent agréablement votre texte.
J'imagine assez bien votre Elise invitée à Questions pour un Champion ! Quant à la conclusion, je dois dire qu'elle est bien trouvée. La leçon sera t'elle à la hauteur des réflexions de la belle ? Une suite peut-être ? |
Donaldo75
2/3/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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So what ? j'ai envie de dire. Il ne se passe pas grand chose au niveau émotionnel et l'intérêt du lecteur va diminuant. C'est de bonne facture certes mais sans souffle.
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