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Mistinguette
13/1/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Une écriture agréable pour un récit vraiment étrange. Tellement étrange que je n’ai absolument rien compris.
Peut-être faut-il être adepte du genre « Fantastique/Merveilleux » pour saisir toutes les subtilités de cette histoire ? Je ne sais pas, mais, en ce qui me concerne, cette lecture me laisse avec une foule de questions et aucune réponse. J’ai relu la dernière partie ainsi que certains passages ; je ne suis pas plus avancée. J’en suis vraiment désolée car j’aurais bien voulu comprendre le message de l’auteur. D’autant que, je le répète, j’aime bien l’écriture. Malgré tout, j’ai la sensation qu’avec un ou deux éclaircissements supplémentaires tout deviendrait limpide. J’espère les avoir un jour… En attendant je souhaite une bonne continuation à l’auteur et lui présente mes meilleurs vœux pour 2011. |
Anonyme
18/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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J'ai eu ce texte un peu avant tout le monde et je dois dire que le travail est remarquable.
Certes il subsiste des petites imperfections: le meurtre du chat est un peu trop édulcoré comme si l'auteur avait hésité à montrer la folie et la cruauté intérieure de l'enfant. Entre crispation et une larme sur le papier, c'est un peu brouillon, comme si le texte cherchait un scond souffle qu'il peinait à trouver. Mais l'ensemble est bon et agréable. Un texte^plaisant. |
Selenim
24/1/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Etrange histoire...
J'ai dénombré 3 parties distinctes : les jeux de Rémi, le zigouillage du matou et la lettre de la maman. Dans le premier tiers, c'est plutôt sympathique. On suit avec plaisir les envolés imaginatives du petit Rémi. Ses jeux, ses points de vue, cette façon qu'ont les enfants de transformer leur entourage pour nourrir leurs jeux. Cette partie est plutôt bien écrite, simplement, sans chercher des effets qui, de toute façon, ne colleraient pas avec Rémi. Par contre, j'ai eu du mal avec les dialogues, mal situés. Je ne savais pas qui parlait. Ce n'est qu'après avoir lu la scène, après avoir identifié les protagonistes, que j'ai pu reconstituer le puzzle verbal. Sur la partie dîtes du zigouillage félin, on change de registre et c'est assez bien amené. Comme dans la première partie, j'ai trouvé étrange le changement de mode de narration, tantôt à la première personne dans la troisième. Ce n'est pas un problème de compréhension mais plutôt d'intérêt. Dernière partie, le trip Xfilien ou syndrome Mulder. Là j'avoue, j'ai pas aimé du tout. La météorite tombée dans le jardin avec des bèbètes à l'intérieur... noooooooooooon. Jusqu'à ce moment, le récit est évasif, laisse planer des doutes, arrive à rester implicite sans larguer le lecteur. Et baf, voilà la maman-chercheuse-découvreuse qui nous fait le coup de la météorite. Pas glop. Non seulement je trouve l'idée en plein contre sens avec le reste de l'histoire mais en plus elle assène des faits au lieu de rester évasive. Ça me donne l'impression d'une nouvelle en kit où la dernière pièce proviendrait d'une autre boite. Un peu comme si on greffait à Aladdin la fin de La petite Sirène. Aladdin qui se marie avec le prince Eric !? Un fin en queue de poisson non ? |
Anonyme
3/3/2011
a aimé ce texte
Un peu
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En ce qui concerne la forme, rien à redire. L'écriture est de qualité.
Pour le fond, j'ai été entrainé par les jeux innocents du petit garçon jusqu'à l'acte atroce de cruauté. L'intérêt pour l'histoire s'est envolé dans un tourbillon. Je me suis astreinte à en terminer la lecture, sans plaisir aucun. La violence explicite me révulse, ce texte aurait plus sa place en thriller. "J'ai tout de même apprécié la première partie du récit". |
victhis0
4/2/2011
a aimé ce texte
Pas
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Que c'est embrouillé, que c'est brouillon...Pas aimé du tout ce truc mal fichu, déséquilibré, mal relu...
Moi j'aime bien quand les auteurs s'appliquent un peu pour finalement respecter le temps de lecture des volontaires ; j'ai un peu l'impression ici qu'on à affaire à peu de négligence. Du coup forcément j'ai un peu l'impression de m'être fait avoir. Ce qui est frustrant car il y a là matière à faire un bon texte et que le style de l'auteur est plutôt de qualité. |
Calissonne
5/2/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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J’ai passé tout le début du texte à me demander où il voulait en venir, tout en trouvant la construction narrative confuse et à vrai dire un peu ennuyante. Je ne suis pas entrée dans ces jeux d’enfant. Mais j'ai aimé certains passages, celui avec Julie par exemple, une manière originale de la décrire.
La fin aurait pu sauver cela, on voit venir le meurtre du chat mais ça a réveillé mon intérêt, notamment par une cruauté enfantine bien vue. Ainsi que le passage sur la mort du mari, mais que c’est dommage d’avoir été inventer cette histoire de particules. C’était une bonne occasion de dresser des portraits psychologiques fouillés, pas besoin d’une intervention de météorite pour justifier que des sévices peuvent rendre fou ou déséquilibrer un petit garçon, peuvent conduire une femme à tuer son mari. Pourtant il y a un je ne sais quoi dans ce texte qui rend la lecture pas désagréable, une certaine finesse, une touche de poésie, quelques pincées d’émotion. En résumé il y a du bon mais gâché par certains choix. |
Margone_Muse
6/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Bon, tu ne vas pas apprendre grand chose de ce que je vais te dire ici, si ce n'est que ce sera mieux formulé qu'en 3 lignes sur le chat :)
L'écriture est fluide, agréable. J'aime beaucoup les verbes à l'infinitif, j'ai l'impression qu'ils rapprochent le lecteur du petit Rémi. "Retourner parmi les restes de sa cabane, faire le bilan du combat..." "La saluer, discuter un moment, sortir par derrière. Ah non, elle veut faire durer la conversation. Sourire, sourire. Ouf, c'est fini." etc. Toute la première partie est complètement bluffante. C'est dingue comme tu es arrivé à re-créer l'univers des enfants. Déjà au début, la préparation au combat sous la couette est une excellente accroche. Mon passage préféré, c'est celui-ci (je le mets en entier tellement je l'adore ^^) : "Des feuilles ? Il approche de la forêt, aucun doute là-dessus ! Rémi court et, à peine quelques pas plus loin, les premiers arbres se dressent. Une moiteur l'enveloppe, chaude, hypnotisante. Il lui faut une protection contre les vapeurs maléfiques des marais, vite ! Un serpent rampe sur le sol, prêt à attaquer, Rémi tire une épée de la cape magique, embroche la bête. Le corps de l'animal se convulse, fond et devient lumineux. L'odeur de la neige... l'ennemi l'a téléporté ! Les premiers ours polaires arrivent, ils puent le poisson et le sang mais sont encore affamés ! Fuir au plus vite, dans le froid. Heureusement, la cape possède une doublure en peau de renne qui permet de résister au blizzard mortel." Bluffant, c'est le mot, j'en trouve pas d'autres. Tu ajoutes des choses, les unes après les autres, de façon très rapide. Des choses qui sortent de je ne sais où, comme un enfant. Ta première partie est vraiment très réussie. Pour le coup de la petite Julie, je n'avais pas du faire trop attention la première fois mais le "mange, lèche" vient en effet juste après le jeu des pirates de l'espace donc ils sont "forcément" ensemble, c'est vrai. Mais quand même... Vu son caractère et comment elle est décrite, on n'imagine pas qu'elle se "laisse violer" si "facilement". (Je dis ça avec 36 pincettes, on ne sait jamais...) Et donc, quand il parle de Marion, même si je sais aujourd'hui qu'elle est une de ses inventions, c'est pas super flagrant. Et "j'ai toujours envie de penser" que c'est la Marion qui passe un sale moment sous la couette. L'idée de ce mensonge est bien, mais je l'aurais aimé plus explicite. Bon alors ensuite, le chat. ... Qu'est-ce que je peux dire ? lol C'est moche, c'est affreux. Mais c'est bien écrit à nouveau. Les miaulements, écrits en minuscules puis en majuscules... Ceci aussi "La cage thoracique résiste, cède." (terrible à imaginer)... J'ai aussi vachement aimé comment est amené l'attaque, puisque tu ne dis nulle part ses intention, on les comprend juste (on commence à bien deviner en tout cas) quand il se saisit du couteau à la cuisine. J'adore, et puis ça entretient le suspens ^^ Je me disais "noooon, il va quand même pas faire ça à ce petit chat ?" :) (sans savoir si le "il" faisait référence à Rémi ou placebo dans ma tête ^^). Pour ce qui est de la troisième partie, comme je sais ce qu'il en est, ça va, mais c'était un poil confus à ma première lecture. Une confusion qui s'éloignait vite cela dit, on comprend assez vite que c'est la mère qui écrit une lettre. J'aime bien l'idée de ton passage sur les armes et les porteurs d'arme, avec cette phrase ci après : "le père devient la ceinture et l'enfant la peau". Je pense aussi avoir retrouvé la passage tu sais qui m'avait fait ressentir un truc du genre "il faut que ça saigne. N'importe où, n'importe qui, même soi, mais il faut que ça saigne" (c'est l'idée, même si je ne sais plus très bien comme je t'avais formulé ça sur le coup). C'est celui-ci : "De plus, je l'ai compris bien après, un appel résonnait en lui. Celui du tambour, celui du sang. Il fallait le libérer de ses pulsions pour qu'il puisse reprendre une vie normale." Mais... La toute première fois, ça m'avait semblé être long et là, ça se résume en deux phrases. Et je l'ai moins ressenti. Ca m'a fait moins d'effet qu'à ma première lecture, dommage. Dans le thème de l'univers des enfants, tu t'en tires aussi très bien dans le passage où la mère est dans le noir à côté de son mari (qui dort encore à ce moment là), et qui se sent redevenir petite fille et avoir peur... de rien en fait, peur de son imagination peut être. Encore un passage de qualité je trouve. Sur le fond. J'aime bien cette idée de poussière, qui déculpabilise un peu de personnage de Rémi : c'est pas lui, c'est la poussière. Après, la violence ne se dirige pas toujours contre qui il faudrait et ça devient un cercle vicieux : t'as pensé à Julie hein ? :) Il faudra qu'elle évacue aussi. Le truc ici, c'est que la mère est assez égoïste dans son action avec la poussière. (C'est peut être la mère de base et son instinct de protection aussi, c'est bien possible.) C'est tout pour son fils et les conséquences, elle ne s'en occupe pas. Peut être que tu aurais pu faire naitre une pointe de regret quand elle évoque le viol de Julie dans sa lettre. Mais globalement, la seconde partie ne m'a pas choquée, et puis ton texte est classé dans fantastique/merveilleux donc bon. Le seul petit reproche serait en effet une légère confusion à la première lecture, même si paradoxalement, c'est cette première lecture que j'ai préféré. Un texte original (encore une fois) qui m'a plu. Continue comme ça :) mumuse |
monlokiana
11/8/2011
a aimé ce texte
Pas ↓
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Dé-cep-tion ! Ah déception ! Je me dois d’être sincère comme dans la plupart de mes commentaires…
Première partie de mon commentaire : première partie du texte : C’est d’une fluidité extrême. L’histoire se laisse lire, c’est léger. On sent bien les personnages. Oh que j’ai adoré ce petit Rémi et cette petite Julie. Les lire jouer ensemble. C’était une belle et bonne sensation. Avec un début pareil, on ne peut s’arrêter. Il faut continuer, les mots emportent la lectrice que je suis. Des causes qui ne m’ont pas plu : « Elle possède également un rugissement impressionnant » le verbe « posséder » me semble mal choisie « L’excitation ressentie par Rémi » « l’excitation de Rémi. » « le jeune humain » lourd je trouve. Le chat et le petit garçon sont seuls. Je pense que c’est une précision inutile. On sait déjà qui est humain et qui ne l’est pas. Sur le fond de la première partie, je ne vois pas trop pourquoi Rémi dit que Julie n’était pas intéressante. Ils se sont pourtant bien amusés. Ma partie préférée de cette première partie : (hé oui, j’ai l’âme romantique) « Je vais t’offrir un monde Aux mille et une splendeurs Dis-moi princesse N’as-tu jamais laissé ouvrir ton cœur. » Deuxième partie de mon commentaire : deuxième partie du texte (commençant à « dans le laboratoire dévasté. » C’est à ne plus rien y comprendre. Tu n’étais pas au mieux de ta forme quand tu as écrit ça, n’est-ce pas Place. D’accord, je comprends. Dans cette deuxième, tout change : l’écriture, le style le rythme, tout. On se perd même. Un instant, on parlait d’un petit garçon avec son chat et sa voisine Julie, un instant, ça tourne complètement. Je n’ai pas trop compris ce changement de situation et je n’ai pas trop aimé. Ça m’a ennuyée ces termes scientifiques. J’ai failli arrêter ma lecture. (Mais tu es trop sympa avec moi, je ne te ferais pas ça :-) Donc, Place, je n’ai pas aimé la fin de ton histoire que j’ai trouvée décevante. J’aime bien que les histoires qui m’ont accroché par leur début me laisse une impression de « oh je n’oublierai jamais ce texte. » Sur le tout, pas trop bien compris ces strophes en italiques (qui viennent souvent perturber la lecture) Donc, bref, je pleure de déception (Après avoir tellement a-do-ré Saveur Citron :-( |
Bidis
12/8/2011
a aimé ce texte
Bien
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Je suis frustrée parce que je comprends que cette histoire est lumineuse dans l'esprit de l'auteur alors que je nage, moi, dans une incompréhension un tantinet irritante.
Or il y a quelque chose de palpitant et/ou de troublant dans ce texte, et donc du plaisir à en tirer. Un petit goût de mystère, une certaine participation à la construction de l'intrigue, de légers doutes de-ci delà, ce n'est pas du tout déplaisant. Mais il faut garder quelques fils quand même. Ici, j'ai l'impression qu'ils s'entremêlent jusqu'à ne plus pouvoir en tirer un seul... Dans cette famille de cinglés, je demande un personnage bêtement normal, siouplaît, et qui ne fasse pas seulement de la figuration... Mais je ne me suis pas du tout ennuyée à cette lecture, et ça c’est appréciable |
placebo
12/8/2011
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Oups, ça fait un moment que le forum est ouvert mais que j'ai pas donné le lien ><
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