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Alfin
19/6/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un conte léger tel qu'aurait pu l'écrire Alphonse Daudet
Un conte naïf tel que l'aurait peint Gérard Laplau. Un histoire loufoque et tendre, qui semble être une revanche de la nature, offrant plus d'attribut au personnes qui le méritent, une métaphore bien écrite mais sans grand intérêt pour autant. Es ce important ? non pas du tout, ce qui compte c'est l'ambiance d'image d’Épinal et la saveur des mots où l'absurde semble parfaitement normal. Merci beaucoup pour ce partage ! Au plaisir de vous lire Alfin en EL |
ANIMAL
22/6/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très jolie histoire sur la complémentarité des êtres. Moins par-ci et plus par-là, le compte y est. Plus gros d'un côté et moins de l'autre, cela fait bon poids. Tant que l'équilibre s'y retrouve, qu'importent les différences.
Voilà un texte court et simple, bien écrit, qui amène à réfléchir, indubitablement. Bravo. en EL |
Anonyme
24/6/2020
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une mignonne histoire je trouve, bien printanière justement, qui ne tire pas à conséquence... Comme une glace à l'eau dégustée sur la plage.
J'ai trouvé dommage la révélation à la fin du sale caractère de Marguerite, pour moi celle de l'équilibre du nombre d'orteils retrouvé à deux aurait joliment clos le texte ! Vous êtes l'auteur, c'est votre choix. |
maria
12/7/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
J'ai été enchantée par le doigté, si j'ose dire, avec lequel tu as présenté le "supplément" à la personne de François et le mauvais côté de "la" Marguerite. Comme si en mettant de l'élégance dans l'écriture tu voulais éviter les railleries du lecteur et que François "doté d'un heureux caractère" ne méritait pas. Bravo pour le style mais l'ensemble est dans le fond trop léger, pour moi. Merci du partage. |
raphaelHarran
12/7/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
J'ai beaucoup aimé. François ne regarde jamais la réalité en face, il regarde toujours de côté. Son caractère est une personne extérieure à lui, quand il découvre l'orteil il pense tout de suite aux gens sur la plage, les médecins charcutent plus qu'ils ne soignent. De très jolies trouvailles : "un petit petit doigt", "Pour François c'était douze orteils" (J'imagine la nature avec sa caisse enregistreuse). Enfin, le fond est là. On retrouve tous ces petits hasards qu'on interprète comme des signes du destin, quand on est amoureux ou inquiet. La chute est super : les orteils complémentaires ne font pas le poids face au mauvais caractère de Marguerite. Seul bémol : J'aurais aimé voir François inquiet à un moment pour être attrapé par l'histoire. Merci du partage. |
IsaD
12/7/2020
a aimé ce texte
Bien
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Une écriture légère et une idée originale.
J'ai aimé votre approche pour raconter comment François se découvre une bizarrerie, qu'il accepte comme une chose somme toute banale. Je n'aurais pas dit non à ce que votre histoire soit un tantinet plus longue, car votre narration, joyeuse, rythmée, s'arrête un peu trop brusquement pour moi. On se prend vite de sympathie pour François et ses péripéties et je suis, quant à moi, restée sur ma faim... |
clarix
12/7/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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une nouvelle un peu absurde, que l'on dirait sans vraiment grand intérêt et que j'aime bien justement parce qu'elle est un peu absurde et qu'elle n'a aucune prétention autre que de nous faire sourire en jouant sur le concept platonique un peu rassis de la recherche de l'âme soeur. Encore un mauvais coup de Zeus qui fait de la moitié enfin trouvée, une peau se vache. Ce pied de nez m'amuse. "Merci pour ce moment"
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Bossman
13/7/2020
a aimé ce texte
Passionnément
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Ces petites histoires "sans intérêt" (les histoires sont-elles censées rapporter un intérêt sur la lecture ?) sont, je trouve, de vrais petits bijoux, justement parce qu'elles ne font pas semblant d'être plus intelligentes qu'elles ne sont. Elles brillent en cela par la largeur de leur caractère ou du caractère de leur auteur. Je vous en réclame d'autres, aussi courtes, aussi spontanées et aussi décomplexées.
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placebo
14/7/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Le texte est frais est enlevé. J'ai quelques points communs avec le héros de l'histoire :p J'aime beaucoup les explications avant le texte. Bonne continuation, placebo |
in-flight
21/7/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Ça m'a tout de suite fait penser à une vidéo que j'ai récemment vu où une femme enlève son masque, se met à sourire pour révéler ainsi qu'il lui manque les deux dents de devant. Puis elle rencontre un homme à qui il manque toutes les dents sauf ses deux dents de devant. Bref c'est parti pour s'emboîter entre les deux.
Un petit moment sympa qui se laisse lire. |
solo974
23/7/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour PlumeD,
La catégorie est bien choisie ! J'ai ri, en effet, en lisant votre nouvelle. Le titre m'a également plu, car je l'ai trouvé incitatif. Un texte à la fois drôle et émouvant sur la différence et son acceptation, le tout sur le mode de l'humour, comme dans ce passage : "Il avait une sainte horreur de cette engeance, tout ce monde-là éprouvait un malin plaisir, pour un oui pour un non, à vous allonger sur une table d’opération, à vous charcuter l’intérieur, à vous retirer ceci ou cela. Non, non, François était très bien tel qu’il était, et ce petit supplément à sa personne ne gâcherait en rien sa bonne humeur, il s’amusa même à penser en se rendant à son bureau qu’il était heureux que l’on comptât avec ses mains et non avec ses pieds et qu’il n’y avait pas de risques donc qu’il se trompât dans ses calculs." J'aurais juste aimé que votre texte soit un peu plus long... Bien à vous et au plaisir de vous relire. |
embellie
17/9/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quel bonheur ce domaine de l'absurde à la Marcel Aymé ! C'est naïf et frais. Sans trop savoir pourquoi, en vous lisant je voyais les amoureux de Peynet. Et la complémentarité, jolie trouvaille. Je rejoins les autres lecteurs, j'aurais aimé que l'histoire soit plus longue, d'autant plus qu'on lit rarement des textes se situant dans ce registre. Merci pour ce plaisir de lecture.
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SaulBerenson
20/1/2021
a aimé ce texte
Bien
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Joli conte, tristounet à la fin, j'avoue que j'ai du mal à saisir la morale de l'histoire tout en doutant qu'il y en est une.
Peu importe. Il manquait vraiment deux orteils et un cœur à Marguerite et François ne peut pas tout faire. J'ai adoré: "heureusement que l'on ne compte pas sur ses orteils"... Un bon moment. |