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Anonyme
26/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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Oui, j'ai été émue par cette histoire simple et non dénuée d'espoir même si je vois mal Guillaume échapper à sa prédestination sociale ; sait-on jamais...
Je regrette infiniment, en revanche, le commentaire final de Jérôme, et au-delà de l'infini cette phrase selon moi sentencieuse : Que de mystères se cachent dans le cœur le plus simple, conclut mon ami avant de se bourrer une dernière pipe. Inutile, balourde cette conclusion, tel est mon avis. Pourquoi appuyer comme ça ? J'ai pensé à cette forme d'art qui consiste à placer en équilibre étonnant les objets les plus divers ; en l'occurrence, j'ai l'impression que vous vous êtes appliqué ou appliquée à réaliser un de ces montages pour terminer par une paire de lunettes à grosses montures qui fait tout s'écrouler. Mais j'ai apprécié que la fin reste ouverte, qu'on ne sache pas du tout ce qu'est devenu Guillaume. |
alvinabec
4/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Ecriture très maitrisée, ça s'avale aussi rond qu'un caramel beurre salé. Le rendu autour du quatuor de S. bien vivant tout comme le personnage de G. taillé en finesse. Un bémol pour la dernière phrase qui me semble un rien plate. |
ANIMAL
22/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Une jolie histoire sur les bienfaits de la musique classique. Certaines âmes s'éveillent à cette écoute et se laissent emporter dans les sphères célestes alors que d'autres y restent insensibles ou détestent.
J'aurais aimé savoir ce qu'est devenu Guillaume, si cette révélation a eu une influence sur sa vie, et aussi avoir des nouvelles de Mme Lafleur. A-t-elle continué à enseigner malgré le peu de sensibilité musicale des élèves ? Peut-être d'autres histoires avec les points de vue de ces personnes sur un même événement ? |
Malitorne
23/4/2021
a aimé ce texte
Un peu
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Au niveau de l’écriture il n’y a rien à redire, du travail soigné où le cours de la lecture reste agréable. C’est au niveau de la crédibilité de l’histoire que je ne peux m’empêcher d’être dubitatif. On ne sait pas si ça se passe au collège ou au lycée, dans la première option eu égard à l’immaturité des élèves le scénario est fortement improbable. Si ça se passe au lycée on y croit un peu plus mais vraiment à peine !
Je comprends bien l’idée, cet éveil au classique, mais ça m’apparaît trop forcé, déjà par le choix d’un personnage bourru. |
Ligs
23/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Une anecdote touchante et plaisamment racontée. J'apprécie la sobriété et l'aisance du style. "Merci madame, c'était très beau". Le goût artistique n'est pas toujours où on le croit... Merci pour ce partage. |
plumette
23/4/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Mon goût un peu nostalgique pour les évocations de souvenirs a été contenté par ce joli texte, bien écrit.
pas si facile de rendre vivant de tels récits. Je trouve que vous y réussissez fort bien en jouant sur les contrastes, j'ai imaginé sans peine la frêle et timide Madame LAFLEUR, ses efforts pour capter l'attention de cette classe d'ados excités, et le gros Guillaume transporté par la musique de Schubert. Un bon moment de lecture! |
Anonyme
23/4/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Cette histoire ressemble à ce que j'ai vécu au collège dans le début des années 90. Une classe dissipée, mais ici la prof, et l'histoire semblent plus à leur place dans les années 60 voire 70 (en ayant égard pour Johnny)...
Ma prof de musique nous faisais écouter The Wall de Pink Floyd, à nous. Que le boeuf de la classe apprécie Schubert n'est pas une surprise, il faut bien une mise en situation, cela sert le texte... Je ressens beaucoup de nostalgie dans cette nouvelle. |
Corto
24/4/2021
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai l'impression d'avoir déjà lu plusieurs fois une telle histoire.
Le schéma est habituel: une classe peu réceptive à l'enseignement présenté par une prof qui ne réussit pas à capter son auditoire. Puis un jour, retournement de situation, intérêt des élèves approchés différemment. Puis enfin apothéose avec une étape difficile qui 'accroche' le balourd de la classe miraculeusement captivé. Le ressort de l'intrigue me parait très usé, en outre sur fond de souvenirs 'd'anciens combattants'. Bref peu d'originalité, avec des facilités de style coupables tel ce "elle prit une initiative d’une incroyable audace". Avec mes regrets. |
Anonyme
24/4/2021
a aimé ce texte
Un peu
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Si ce texte a, comme une belle musique, traversé mon âme et mon cœur par le pouvoir de ses mots bien choisis ; je trouve bien dommage que le disque se soit méchamment rayé sur la fin. Ô Franz, immortel Franz ! Tu ne mérites pas ce vulgaire grincement de dents :
« … se bourrant une dernière pipe ». Expression qui me fait penser immédiatement à la série policière "Les cinq dernières minutes". Je revois très bien l'inspecteur Bourrel Bourrer sa pipe. Hélas ! Trois fois Hélas ! dream |
Myo
24/4/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Plume D,
J'ai trouvé très bien tourné la mise en place de ces souvenirs musicaux ... qui ne sont pas loin de ceux que j'ai vécus. Par contre je ne suis pas convaincue par le côté "caricatural" de la "brute" qui se laisse amadouer par ce quatuor de Schubert. Je trouve que le développement de votre idée manque de subtilité. Quant à la fin, elle tombe vraiment ...comme un cheveu (ou un brin de tabac ) dans la soupe. Dommage. Myo |
Germain
28/4/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un petit texte fort bien écris, léger, d'une lecture fort agréable, et d'un sujet qui parle à tous. Il est question de sensibilité et de préjugé. Un homme d'aspect rustre et bourru peut être touché par une musique qui parle au coeur, qui ouvre de nouveaux horizons. J'ai aussi apprécié la description de la prof de musique, son côté fragile et a fleur de peau. Très bon texte.
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Ombhre
30/4/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour PlumeD,
j'ai bien aimé votre texte qui, s'il ne repose pas sur une intrigue d'une grande originalité, se lit avec plaisir. L'écriture est fluide, précise, et image fort bien cette classe qu'on finit par la voir devant nous, entre chahuts potaches et insolence irrespectueuse. Des scènes que beaucoup de lecteurs ont sans doute connues. J'ai été touché par cette description un peu naïve d'une brute un rien caricaturale émue par la musique classique au point de sortir de son habituelle réserve, et de la simplicité d'esprit qui lui est prêtée, pour imposer le silence afin de savourer. Merci donc pour cet agréable moment de lecture. Ombhre |
Anonyme
2/5/2021
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Je me demande si la narration est crédible : elle adhère à sa propre ironie et Mme Lafleur est brocardée autant par les élèves que par la narratrice. Le comportement du cancre tranche par rapport au reste de la classe aussi le qualificatif de cancre mérite une révision, d'autant qu'au collège, en général, chaque élève se fait une idée du niveau des autres à travers la réputation taillée par de petites remarques de la part des professeur, plutôt qu'à travers une prise de connaissance de sa moyenne.
J'ai failli devenir professeur de musique dans le secondaire... le chahut dans ses classes était présenté alors comme un cliché et dans mon souvenir de collégien, pas un bruit. |