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izabouille
21/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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C'est beau, plein de nostalgie, très émouvant... J'ai été emportée par cette histoire simplement belle et bien écrite. On ressent l'émotion de la narratrice lorsqu'elle hésite à garder ou à se débarrasser de la photo. Quand un bon souvenir est lié à un moins bon, que faut-il en faire?
Merci pour le partage, j'ai vraiment apprécié |
Anonyme
10/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour plumette
Je n'ai pas pu décrocher. Le titre, la photo, la première phrase. J'ai déroulé sans m'ennuyer un seul instant. Je précise cela, parce que je ne lis jamais l'incipit et ne regarde jamais le nombre de caractère avant d'attaquer un texte. C'est simple, émouvant, tendre et vous savez faire partager ces sentiments. Et puis cette photo est vraiment belle. Je vous ai cherchée, la petite dixième en partant de la gauche. Merci pour ce joli moment. Je vous le souhaite du fond du coeur : bonne chance dans vos projets. Accrochez-vous. |
Louison
10/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une fiction qui semble réelle car racontée simplement, avec l'émotion que procure cette photo retrouvée, la nostalgie d'un morceau d'enfance mêlée à des souvenirs à la fois flous et émouvants. J'ai beaucoup aimé, peut-être parce que cela ma renvoie à une partie de mon enfance avec les "jolies" colonies et l'heure du tri quand l' âge, doucement avance.
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emju
10/11/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai adoré votre texte qui m'a plongée dans mon enfance; moi aussi je suis allée en colonie de vacances à Saint-Malo. En vous lisant, me sont revenus des visages oubliés, l'odeur du goémon, les baignades sur la plage du Sillon, le cri des mouettes, le ressac de la mer et tant de beaux souvenirs encore et encore.
Votre texte m'a beaucoup émue. |
Luz
10/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour plumette,
J'ai beaucoup aimé, c'est vraiment très émouvant. On dirait réellement une histoire vécue alors qu'il s'agit d'une fiction. La vie d'une famille que l'on peut alors imaginer à partir de ces quelques lignes, c'est vraiment fort. Merci. Luz |
widjet
10/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Une nouvelle appliquée, certes, mais dont le style trop académique (à mon goût) m’a tenu à distance (de l’émotion notamment). Impossible de me projeter, d'imaginer une existence, des personnages ancrés dans un réel. Cela manque d'incarnation.
Donc un souvenir attendrissant mais peu sublimé par la formulation assez convenue. Je m’attendais à plus de poésie. Après, je dois dire que je suis assez allergique au point d’exclamation et l’auteure en abuse un peu trop, ce qui donne un côté assez juvénile à la narratrice dont finalement j’ai eu du mal à déterminer l’âge (au moins trentenaire). Comme je l’ai dit l’écriture est soignée, mais ça manque cruellement d’aspérités, de fêlures et cette forme proprette - malgré une sincérité évidente - me rappelle combien les bonnes intentions ne font pas toujours - et même assez rarement - de bons textes. Sinon, j’ai été un peu surpris par le fait que les frères jètent des souvenirs aussi précieux que des lettres et de photos de leurs parents. Merci W PS : quelques formulations « perfectibles » : « S’atteler à cette tâche qui faisait une place à notre finitude (lourd) » « Je voulais aussi libérer de l’espace, c’était autant physique que mental » (la deuxième partie de la phrase pourrait être plus joli) « Je venais de perdre coup sur coup » (y a sans doute mieux que ce « coup sur coup ») « Nous n’étions pas habitués à être séparés de la famille, pas plus qu’au genre de discipline en vigueur à la colo » (Phrase bancale. Je vois pas bien la corrélation entre la première partie et la seconde.) « Je m’étais sentie importante et distinguée du lot » (distinguée du lot, pas terrible comme formulation) « qui seraient ou non suivies, peu importe, mais qui livreraient une piste à nos suivants » (un peu froid comme terme « nos suivants ») |
plumette
12/11/2018
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les réactions à vos commentaire, c'est ici
http://www.oniris.be/forum/avez-vous-le-souvenir-de-cet-ete-la-t26399s0.html#forumpost356483 Plumette |
Anonyme
13/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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Une histoire émouvante que j'ai apprécié. Je trouve que ça sonne vrai, ce qui me fait penser qu'il doit y avoir une part de souvenirs authentiques (je n'ai pas encore lu vos explications). J'ai été confronté au même problème de la difficulté à faire le tri dans les affaires de nos disparus. Et puis à l'instar de la narratrice, je n'aime pas entasser les vieilleries !
L'écriture est plaisante à parcourir, aucune maladresse ne vient heurter la lecture. Ce n'est pas texte frappant mais qui relate avec justesse et simplicité les sentiments de l'enfance. |
matcauth
13/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
j'apprécie l'écriture, sans fioriture, efficace et agréable. Je reste néanmoins en surface, moi qui suis pourtant intéressé par les regards sur le passé et des émotions que l'on garde en mémoire. Je ne sais pas pour quelle raison cela se produit, c'est peut-être qu'il y a trop de prénoms, ou que le contexte n'est pas assez dépeint. Si j'aime ce travail sur le souvenir, sur la puissance qui peut se dégager de ce genre d'exercice, ici, il me manque quelque chose. c'est peut-être trop court. Mais j'ai aimé quand même cette interrogation sur ce qu'on veut soi-même laisser de souvenir et d'image pour les autres. C'est intéressant. Si la lecture est agréable, j'aurais aimé que le texte soit plus étoffé et qu'on rentre vraiment dans la vie de l'héroïne. |
maguju
19/11/2018
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Modéré : Commentaire trop peu argumenté.
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jfmoods
16/11/2018
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Comme dans une autre nouvelle de Plumette ("Le déménagement"), le lecteur se trouve confronté à l'abîme de la transmission.
À la mort de ses parents, la narratrice, prise de cours, n'a pu faire valoir son héritage... "Devant les boîtes à chaussures pleines de lettres et photos en vrac, j’avais été incapable de faire un tri et j’avais dû me résoudre à regarder mes frères mettre dans des grands sacs-poubelle toutes ces strates de vie empilées." Vieillissante, elle comprend à présent la nécessité qui est la sienne de préparer sa transmission... "Je voulais mettre de la hiérarchie dans nos souvenirs, laisser des consignes, qui seraient ou non suivies, peu importe, mais qui livreraient une piste à nos suivants." Cependant, la découverte impromptue d'une vieille photo fait refluer un souvenir douloureux : cette époque charnière où le monde merveilleux de l'enfance a commencé à se craqueler... "[...] je date de cet été-là ma conscience que les parents ne sont pas les géants indestructibles que l’on croit." On comprend dès lors que le tri envisagé dans le passé intime représente un redoutable défi, une gageure presque insurmontable... "J’hésite à garder cette photo. D’un côté, elle m’attendrit et de l’autre elle me rappelle des choses confuses et douloureuses lors du retour à la maison." Merci pour ce partage ! |
Donaldo75
17/11/2018
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Bonjour Plumette,
Je dois avouer que ce type de texte n'est pas ma tasse de thé; je n'ai rien contre la nostalgie mais j'ai trouvé ici qu'elle n'était pas assez émouvante. C'est peut-être le style, trop appliqué à respecter les règles de la langue française au détriment de l'émotion que devrait provoquer la remontée de ces souvenirs. J'ai même eu l'impression, à certains moments, de lire un exercice d'atelier d'écriture sur le thème de la photo de vacances ou un truc comme ça. Bref, je ne vais pas pondre un commentaire de dix mille mots parce que ce n'est pas mon style, mais j'ai préféré des nouvelles plus vivantes, moins appliquées, issues de ta plume. Là, j'avoue être un peu déçu. Ce n'est pas que je n'ai pas aimé; c'est plutôt que je m'attendais à autre chose, une autre narration, un flot de souvenirs venant par vagues, comme une déferlante venue d'un lointain passé. Désolé. Une prochaine fois. Donaldo |
Corto
17/11/2018
a aimé ce texte
Un peu
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J'aurais aimé aimer cette nouvelle, mais... j'y trouve beaucoup de détours comme ces 3 premiers paragraphes qui me semblent superflus. Inutile de chercher un prétexte pour se plonger dans des souvenirs évoqués par une photo. Ce sont ces souvenirs qui peuvent amener à partager une émotion multiforme qui va intéresser le lecteur. En fait on se demande quel est le sujet: le rangement après le décès des parents? les souvenirs d'enfance? la dépression maternelle? la transmission aux enfants? Difficile donc d'entrer pleinement dans ce récit bien écrit mais un peu formel. Il y a pourtant une matière plutôt abondante pour entraîner un lecteur dans une vraie aventure. Bonne continuation.
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Anonyme
19/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Plumette,
Je n'ai pas encore lu tes explications, je le ferai après avoir écrit mon commentaire. Toute la première partie me parle énormément, je suis moi même en plein déménagement, et j'ai cru que tu relatais ma vie ! Je dis cela pour dire à quel point tout sonne réaliste et juste entre autre la différence dans un couple pour appréhender la façon de déménager. L'écriture est fluide et agréable. Combien de fois lors d'un déménagement, on peut s'arrêter sur une photo, et partir en arrière, faire marcher la machine aux souvenirs avec ce qui a de savoureux et de triste à la fois. Des deuils à faire, des joies à retrouver. La description de l'enfance, de la colonie, de cette rupture entre Méditerranée et Bretagne, et de ce passage tout en nuance d'une enfance insouciante à la confrontation avec le monde des adultes en l'occurence des parents qui semblent soudain faillibles alors qu'on les croyait durs comme des rocs. Si il y a un défaut dans ce texte, c'est peut être dans la première partie m'avoir emmenée sur plusieurs pistes, j'étais partie sur comment vivre un déménagement à deux et entre autre comment cela peut faire apparaitre des divergences radicales... Joli texte, tout en nuances et en sensibilité. Merci. |
Lulu
20/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Plumette,
Cette nouvelle m'a touchée, mais pas d'emblée. En effet, le tout début du texte m'a tenue malgré moi éloignée de la narration, comme si c'était juste une fiction froide, sans sentiments vraiment. Mes impressions ont changé quand la narratrice a commencé à évoquer la photo. Là, peu à peu, de nouveaux contours se sont dessinés avec une plus forte présence du "Je" et, du coup, plus d'authenticité, qu'il s'agisse d'une fiction ou de vrais souvenirs. Cela dit, si la forme du début ne m'a guère plu, j'en ai aimé les interrogations… Les traces que l'on laisse ou celles laissées par d'autres… J'ai aimé retrouver, dans les souvenirs de l'été évoqué, mes propres souvenirs en parallèle. S'ils diffèrent un peu, on retrouve, comme pour tous ceux qui ont connu cela, ces choses qui touchent tous les enfants que nous avons été : les premières cartes postales, la barre de chocolat de notre pain au goûter, certains moniteurs, certains camarades… Plus j'ai progressé dans ma lecture, plus j'ai trouvé l'ensemble réaliste, du fait des détails qui relatent les souvenirs. Enfin, j'ai beaucoup aimé cette photo que vous avez donné à regarder en amont du texte. Avant même de lire la nouvelle, j'ai été fort touchée par ces enfants qui se tiennent par les mains… Au plaisir de vous relire. |
Anonyme
23/11/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Beaucoup de nostalgie dans ce texte doux et amère. Gardez la photo, elle fait partie de votre moi.
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Anonyme
25/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Encore une tranche de vie selon le style Plumette.:))
Je trouve la première partie très juste. Ce besoin de mettre de l'ordre lorsque l'on aborde une nouvelle étape et puis aussi cette réflexion sur le tri d'après fait par les enfants. Une réflexion typiquement féminine, je pense... et qui nous entraîne bien sur la suite de l'histoire. Puis les souvenirs remontent, hameçonnés par une photo et la nostalgie complète le tableau. L'écriture est sage et appliquée. J'ai aimé me fondre dans le décor tout en sensibilité. Merci Plumette. Cat |
Bidis
25/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Touchant. Je suis touchée. Un texte qui m'atteint en plein dans le mille.
Parce que je vois comme si j'y étais la mise à la poubelle dans de compréhensibles gestes d'indifférence et d'agacement de tous ces menus souvenirs, photos et lettres, faire-parts, invitations... dont on n'arrive pas à se séparer de son vivant. Et parce que j'ai aussi des photos de colonies de vacances qui font refluer mille et un souvenirs, la petite peste qui me jetait du sable dans les yeux, la monitrice qui nous lisait des histoires palpitantes dans la tiédeur odorante des siestes, et les tartines à la confiture dont on préférait celles à la croûte un peu brûlée... Parce que c'est raconté simplement et de façon vivante. Merci Plumette. |
FANTIN
9/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un beau texte, plein de profondeur et d'humanité, aux notations justes et jamais outrées. Les souvenirs dont il est question ici, réveillés par une photo, sont ceux que tous les gens portent en eux. Ceux qui ont trait à l'enfance dont on se rappelle si bien, qu'on aimerait retrouver un moment, juste le temps d'en revivre les épisodes marquants maintenant qu'on en connaît la valeur et l'importance pour le début de toute histoire et la formation d'une personnalité. Univers de l'enfance donc, que ranime une image, mais qu'on ne peut plus désormais regarder que de loin, remué de l'intérieur, tout à la fois heureux et malheureux.
Ces sensations, ces sentiments, vous savez les transcrire avec émotion et simplicité, et dans votre histoire particulière se reconnaissent toutes les autres. Bravo pour cette évocation réussie et ces confidences-fiction qui font passer entre auteur et lecteur un vrai courant de vie. |
Amelie
14/3/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup cette idée exprimée au début du récit : trier avant que la vieillesse nous en empêche, trier pour changer de vie et laisser le chemin libre de tout papier ou objet superflu. Relire sa vie.
En revanche, cet aspect est à mes yeux juste un peu trop long, donc le début. Comme si deux thèmes allaient être évoqués, ce qui est risqué, l'un pouvant prendre la place de l'autre. Et puis cette photo, la manière splendide de la décrire. Tout est fort bien écrit (parfois un peu "familier" alors que le reste est plutôt travaillé). La colonie de vacances, l'importance du frère, tous ces élément et d'autres encore fondent une ambiance. J'ai plongé, cela se lit fort bien. J'ai juste un petit rien à la fin qui me laisse un peu les mains vides, comme si la fin n'était pas aussi précise que l'ensemble, ou comme s'il manquait un rappel au présent, à ce tri. Je ne sais trop bien dire, mais ce texte fort beau a quelque chose qui boîte un peu alors que je sens dans l'écriture toute une finesse précieuse. Merci Plumette pour le partage, merci aussi pour cette photo, originale et forte d'inspirations possibles. :-) |