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Anonyme
28/1/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bon, pour être franche je m'attendais à une fin dramatique annoncée en loucedé par ce bout de phrase :
une brusque mutation dont les causes étaient restées obscures Ah ah, que je me disais, le père de Julien est un violeur, ou il a détourné des fonds ou assassiné sa grand-mère pour avoir l'héritage... Bref, du sérieux, du qui va jeter son ombre sinistre loin sur la vie de Julien et par contrecoup sur celle de Gaby ! Eh bien non, pas du tout, on est en plein dans le proverbe "les gens heureux n'ont pas d'histoire". J'ai tendance à attendre de la littérature qu'elle me présente des événements dramatiques tels qu'on n'en rencontre heureusement que rarement dans la vie, du coup vous imaginez ma déception. Déception tempérée par l'écriture que je trouve agréable, fluide, et les dialogues naturels à mon avis ; sinon, je dois dire qu'un texte dont le sommet est une pauvre vache à la jambe cassée aurait tendance à m'ennuyer. Même pas une dégringolade dans le ravin pour nos amis ! Enfin, tant mieux pour eux, ils peuvent poursuivre leur existence sans relief. |
vendularge
25/2/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Plumette,
J'ai lu avec plaisir ce moment particulier entre deux jeunes adultes forts d'une amitié remontant à l'adolescence, comment leur comportement est empreint de leurs souvenirs communs et pourquoi ce qui pourrait les amener à un différent, les rapproche ou plus exactement ne les sépare pas. Les personnages sont bien campés et Gaby est le personnage attachant de l'histoire. Les nouvelles ne sont pas forcément "à chute" (c'est même un genre particulier, plus apprécié parce qu'il sous entend une atmosphère tendue vers un dénouement inattendu). Elles se doivent surtout être la narration d'un seul évènement. Celle-ci est donc située dans un genre qui lui convient, dès lors c'est l'intention de l'auteur qui prime (de mon point de vue) sur le goût que nous avons ou pas de l'intrigue. Je dis cela parce que ce sujet avait été évoqué sur un de vos précédant fil (chute, pas chute) et que j'aime bien ce genre de narration. merci vendularge |
Hareng
25/2/2017
a aimé ce texte
Bien
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Une nouvelle attachante car elle raconte si peu.
Gaby est bien campé. Si vous permettez, je veillerais à des phrases plus concises. |
Anonyme
25/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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"C'est un cadeau de ma moraine" [Le Génie des Alpages]
Le décor - C'est important l'emballage, pour un cadeau. Ici, le décor est bien montré. J'ai bien vu le glacier, le sursaut, là où ça devient paumatoire. J'y étais. Ambiance. L'histoire - Il y a peu d'événements, sinon le choc avec la vache. Il y a peu d'enjeu, sinon la crainte de rendre la voiture en retard. Mais ce n'est pas une critique. Je ne considère pas qu'une nouvelle doive contenir des retournements de situation, des horreurs, ni même une chute surprenante. Débat éculé. La chute, ici, est heureuse et pleine de promesses, pour peu que la gardienne du refuge soit amène et audacieuse. Le lecteur choisit. Moi, j'ai décidé qu'elle était affamée ;) Les personnages - Bien décrits mais trop décrits. Trop d'explicite : "Au contact de Julien, Gaby s’était recentré, s’était mis à réfléchir avant de parler à tort et à travers, avait pris conscience de son corps et de ses capacités physiques. Et Julien s’était ouvert et détendu. Car il était timide..." C'est à la limite du diagnostic. Mais je reconnais qu'arriver implicitement à ce résultat doit être difficile. Je n'aurais pas essayé. L'écriture - Très agréable. Bon rythme. L'alternance des différentes longueurs de phrases est heureuse. J'ai buté deux fois. Au début, quand Julien pense. Je ne sais pas expliquer pourquoi. Et dans la description de Julien, au début du bloc central "Julien était arrivé en cours d’année...", son nom est mentionné quatre fois en six phrases alors qu'aucun autre personnage ne s'est intercalé. J'attends la suite. Pas pour la vache. Mais si je dois monter à 2600 pour connaître la gardienne du refuge :( |
Anonyme
25/2/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Plumette,
Ouf, a-t-on envie de dire à la fin, pourvu que la jolie fille des Evettes ne vienne pas s’encastrer dans la génisse ! Cela dit, compte tenu des détails de la biographie de Julien et Gaby, je m’attendais au moins à une avalanche. Sans les crampons, brrrrrr… bonjour l’angoisse. Quelle idée de les avoir retrouvés, ceux-là ? Bon, finalement on a droit à une bluette, un speed dating à venir (malheureusement, puisque vous éprouvez un plaisir sadique à nous priver des bonnes choses), devant une génisse amochée et un Gaby dont Julien va probablement débarrasser l’asphalte, en lui demandant de ne pas se grouiller pour trouver de l’aide. C’est marrant, j’aurais presque commencé l’histoire là, moi. Parce que franchement, hein, Julien et Gaby, à la bourre sur un glacier, ils ont l’air de s’en faire encore moins que vous pour finir votre histoire. Voilà, c’est ça, l’histoire de Julien et Gaby n’est pas la bonne. Je préfère la rencontre de Julien et Plumette (j’adore ce prénom, je trouve qu’il va bien à cette jeune femme des Evettes qui ne va pas tarder de se poser avec la même légèreté), avec en contrepoint les réminiscences Julien/Gaby. Je conseille à quiconque n’a pas d’idées pour commencer une histoire, de venir lire la fin d’une des vôtres. Car vous m’aviez déjà fait le coup avec « Disparition » :) Question style, et malgré le contexte, on voit bien que vous ne cherchez pas à renverser les montagnes. Vous avez le style léger des bons conteurs de pâturages quand moi je m’attendais à en baver dans les glaciers. Pardonnez-moi la familiarité, mais j’ai envie de dire à quelqu’un de votre talent, « sortez des Remparts d’Ainay où Julien a fait ses études, et faites un tour de manège à Vaux-en-Velin :) Vos personnages aussi me semblent moins affûtés que vous. C’est toujours un peu dommage, surtout quand on a l’occasion de voir l’auteur s’exprimer ailleurs. Ce n’est pas un conseil, juste le cri d’un petit cœur, lâchez la bride à tout ce beau monde, style et personnages. Si vous cherchez des clients, trouvez-vous des ennemis, car s’ils n’existent pas c’est le plus souvent qu’il n’y a pas de marché (j’ai vendu cette maxime 10M$ à Donald Trump. Vous avez vu la suite… :). Je ne désespère pas de voir une plus belle plume encore tomber un jour dans ma main ouverte. Cordialement Ludi Etudes de marchés |
Tadiou
26/2/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Jolie histoire simple et bien racontée. Les deux personnages sont bien décrits, physique, caractère, comportement, insertion sociale, parcours professionnel, antécédents familiaux; une belle tranche de vie attachante avec comme cadre le montagne, sa beauté et ses dangers.
J'apprécie d'autant plus que ce récit éveille en moi bien des réminiscences de randos montagnardes et d'escalade (que j'ai pratiquées et pratique toujours, avec de belles émotions). La descente des deux amis, leur matériel, l'environnement... sont décrits avec précision et fleurent bon la montagne. On se demande si Gaby, qui n'arrive pas, a été victime d'un accident. Mais il ne s'est rien passé de déterminant. Et puis on attend un rebondissement lors du voyage retour. Rien de grave et rien d'extraordinaire, ce qui permet à une suite heureuse de peut-être se dessiner. Le titre m'a intrigué : il est bien trouvé. Tadiou |
Anonyme
26/2/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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D’une nouvelle, condensée en deux, trois pages, j’attends, à tort ou à raison, une histoire forte, avec chute assortie.
Ici j’ai davantage l’impression de lire un fragment. Mais ce n’est pas déplaisant du tout. Et puis l’écriture fluide, les dialogues bien menés m'embarquent facilement. J’aime la tranche de vie de cette « cordée » formée par et très certainement pour la vie. Les portraits des deux garçons, de leur environnement, de la construction de leur histoire d’amitié, ainsi que les termes d’alpinisme qui semblent d’une grande précision (je ne connais pas la montagne), participent à donner un movie très réaliste. Est-ce mon attente particulière ou bien c’est voulu de votre part, tout le long de l’épisode j’ai le souffle en suspend. Forcément c’est du côté du copain, bon gros plein de bonhomie, intelligent de surcroit, que le rebondissement va se produire…Et puis, non, rien d’ébouriffant. Bien sûr, il y a l’arrivée à point nommé, comme un coup de baguette magique du destin, de la jolie gardienne des Evettes qui donne du grain à moudre à l’imagination du lecteur affamé par le manque d’imprévu. Au final, un moment le lecture reposant et agréable. Merci, Plumette A vous relire Cat |
Pepito
26/2/2017
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Bonjour Plumette,
Forme : kriture impec, comme d'ha. Pour chipoter (comme d'hab ;=) "on peut décider" m'enfin Plumette, un "on" en kriture ?!!! "adossé à son sac" à main ? ;=) > "vautré sur" ou une truc du genre... Pour "s'adosser" à un sac à dos, faut le mettre devant-derrière. ;=) "Ces deux-là s’étaient connus en 3e" > "Se sont connus", non ? C'est un temps court. Fond : "Son apparence encore enfantine de garçon bien élevé l’avait marginalisé dans cette classe où dominaient les filles." > les filles préfèrent les branleurs, c'est ça l'idée ? ;=))) "C’est là que s’était constituée leur cordée : la Jugab, comme disaient les copains un peu jaloux de leur complicité." > "complicité", en montagne, avec un gars qui part seul devant, en abandonnant le plus lent ?!!! ;-( Virééééé ! dirait Frison Roche... j'aimerai vous dire que "j'ai tremblé, happé par une histoire aux multiples rebondissements et ... !" mais je dois avouer que sans une écriture au top, je n'aurai pas fini la nouvelle. Mais je l'ai fini ;=) A une prochaine Pepito |
Vincendix
27/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une histoire relativement banale mais qui « tient la route », et puis l’écriture lui donne un relief supplémentaire, elle se lit avec plaisir. Le décor de montagne, les grands espaces, la liberté, autant d’éléments favorables.
L’amitié de deux garçons différents physiquement, de condition et de caractère opposés, c’est assez courant, ils se complètent. La perte des crampons met Julien dans une situation négative et Gaby sauve la mise, le dualisme fonctionne parfaitement. La brusque « rencontre » avec la vachette provoque une autre rencontre, cette fois agréable, encore une dualité qui justifie l’adage « à toute chose, malheur est bon ». |
hersen
27/2/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J'ai eu le tort de me cramponner aux crampons !
J'attendais une aventure musclée à cause de leur perte, du genre à les obliger à dormir en montagne, avec juste les fruits secs à manger, aventure qui aurait montré à quel point les deux amis étaient soudés. Ou peut-être qu'être au pied du mur les aurait dessoudés. Je me suis donc accrochée à une fausse piste et j'ai attendu, attendu, et tout à coup c'est la fin. j'ai un peu l'impression de ne pas m'être mis grand-chose sous la dent, même si, l'écriture aidant je pense, je n'ai pas non plus songé à abandonner ma lecture. Dans un sens, j'aurais presque mieux aimé qu'il n'y eut pas de chute, car alors je serais restée dans une impression de belle balade en montagne, bien racontée, avec deux amis sympathiques. D'autant que cette chute me semble un brin étrangère au reste, je la qualifierais de 'facile' d'autant plus qu'elle est un peu légère dans tous les sens. En effet, si je me fais bien l'idée de ce qu'est une Golf, je ne suis pas sûre qu'un animal aussi gros qu'une vache puisse s'encastrer dessous. De plus, elle a une patte cassée, rien de grave nous dit-on. Surtout quand on sait qu'une vache à la patte cassée, c'est l'abattoir. Du coup, c'est elle qui est dessoudée ! Enfin, déplacer une génisse qui doit bien faire ses 450 kg, ces deux amis ont des qualités physiques impressionnantes. Moi, j'aurais déplacé la voiture. Mon avis est que la fin est bâclée alors que le texte est plutôt rédigé de manière recherchée. Et comme l'impression qui nous reste, c'est celle de la fin, elle n'est pas ici assez percutante (!) pour être à la hauteur du texte. A vous relire, bien évidemment. hersen |
PierrickBatello
27/2/2017
a aimé ce texte
Bien
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Voilà deux personnages bien différenciés et auxquels on s'attache volontiers en cordée... Beaucoup de descriptions des personnages sont faites à l'imparfait et plus-que-parfait. Je trouve que cela alourdit un texte qui doit rester dans cette belle légèreté de ton. Le texte gagnerait en fluidité si les mêmes informations étaient données par le biais de dialogues (par exemple, une engueulade entre les deux compères avant le rabibochage). Il y a très peu d'actions au final et trop de descriptions passives (qui ne participent pas à l'action).
J'aime bien que la fin ne soit pas dramatique. Cela colle à l'ambiance générale. Vos deux personnages m'ont fait penser à Frodon et Sam dans le Seigneur des Anneaux ;-) |
widjet
27/2/2017
a aimé ce texte
Bien
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Bon, je vais pas m’appesantir sur cette fin un peu abrupte ni pester sur l'auteur pour avoir crée inutilement auprès du lecteur une d’attente qui ne sera jamais comblée (la vie des deux hommes est pourtant suffisamment jalonnée de drames - soeur trisomique, parent décédés ou divorcés… - pour y développer tout un tas de trucs).
Non. Je présume qu’il s’agit d’un bout de roman, ou d’une nouvelle à suivre…Je sais pas. Pas grave. Je vais juste m’arrêter sur ce qui m’a plu, dire qu’il s’agit là d’une lecture agréable, l’écriture est simple, mais ciselée, efficace, travaillée en somme. C’est plaisant à lire (jolies descriptions, visuellement efficaces) et cette apparente simplicité n’a rien de simple à réussir. Donc, bravo. L’amitié entre les deux héros est bien retranscrite et en peu de lignes, preuve une fois encore que le peu, lorsqu’il est bien fait, suffit amplement. Après, l’auteur prend le risque de frustrer à nouveau son lecteur soit en désamorçant très vite le suspense (les crampons égarés finalement sont vite retrouvés) et la dramaturgie (accident avec la vache et le secours qui arrive également très vite). Bref, pas le temps de s’inquiéter pour nos deux montagnards. Plumette a décidément bon coeur. W |
macaron
28/2/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une belle amitié racontée avec une écriture fluide et souple, d'où se dégage des caractères et des sentiments communs mais tellement vrais. Peu de suspens, une pause dans la montagne en agréable compagnie.
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matcauth
28/2/2017
a aimé ce texte
Bien
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Ah Plumette !
on en a déjà parlé, pourtant, de vos fins ! vous nous emmenez quelque part et finalement la destination n'est pas celle promise. Vous le pouvez, mais pensez au malheureux lecteur qui, comme moi, attend beaucoup. La déception est à la hauteur de l'attente. Surtout qu'on attendait une histoire avec ce père banquier aux agissements obscurs... Eh oui, vous nous emmenez quelque part, on suit ! Du coup il reste donc cette chronique, et dans ce cas, peut-être faudrait-il le dire dès le départ, de deux personnes que je ne parvient pas à aimer plus que ça. L'un est trop intelligent, l'autre trop dilettante, il y a d'ailleurs peu de chances qu'ils restent amis aussi longtemps. Par contre, pour camper un contexte, pour écrire et décrire, là, pas de problème, c'est fluide, on comprend tout immédiatement, et c'est agréable à lire. Mais je me fais la même réflexion que la dernière fois, que vouliez-vous dire, quel message doit nous rester ? je n'ai pas la réponse. Mais merci pour le moment de lecture car, je le répète, c'est agréable de vous lire. |
plumette
28/2/2017
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les remerciements, c'est là:
http://www.oniris.be/forum/la-jugab-precisions-et-remerciements-t23616s0.html |
Anonyme
4/4/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir,
Joli moment de lecture. Une belle histoire d'amitié avec les petits et grands drames de la vie ( rejet divorce, cancer...), avec les belles rencontres aussi. Celle de Julien et Gaby, personnalités complémentaires, est de celle qui dure. Ils nous emmènent avec eux en montagne, s'inquiétant comme cela nous arrive pour des crampons, une voiture à rendre... Contrairement à un commentaire lu, je trouve que la vie réelle inflige au quotidien, loin ou proches de nous, tant de drames, d'horreur... Qu'elle fait du bien votre chute, heureuse, un rien espiègle... et bonne chance à Gaby ! ;-) Merci pour cette nouvelle emplie d'humanité simple, un texte qui fait du bien. Nadine |
Ombhre
28/1/2018
a aimé ce texte
Bien
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Un texte simple et beau, une tranche d'humanité et d'amitié, une montagne extrêmement bien décrite (elle a évoqué bien des souvenirs en moi qui ai fait bon nombre de courses de moyenne montagne, et quelques autres un peu plus près des étoiles), une nouvelle agréable et qui se lit facilement.
Mais il y manque pour moi la fameuse chute, celle qui vous surprend, qui vous chamboule parfois, qui vous fait sourire en vous disant "il / elle m'a eu !". Mais... peut-être y aura-t-il une suite ? Car en tant que simple lecteur, j'aimerais bien connaître la suite :-) A vous lire. Ombhre |