|
|
Neojamin
31/12/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour,
J'ai bien aimé le ton employé, l'innocence qui se dégage de ce texte. J'y ai cru à la petite Sabine qui évolue dans un monde trop compliquée pour elle. Des phrases simples et directes, comme je les aime. J'apprécie particulièrement les détails peints d'une manière sobre. On se concentre sur le récit, sur les personnages, pas de fioritures ou de mots pour faire beau. L'histoire n'est pas exceptionnelle, la chute un peu banale, mais peu importe, j'ai aimé me laisser entraîner, doucement, comme en plein été. Dans les bémols... l'histoire peut-être... il y a un petit quelque chose qui m'a dérangé dans le comportement d'Yvonne. Et cette histoire d'assistance m'a paru un peu surfaite... les remarques d'Yvonne un peu forcée... il faudrait voir de quelle époque on parle pour juger. En tout cas, c'est là que j'ai un peu tiqué. Pour le reste, pour Sabine et ses observations, je l'ai sentie très juste, très présente, très réelle. Merci pour ce bon moment! |
Anje
27/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Un bon moment de lecture. Des phrases courtes, simples, sans ambages qui donnent un ton naïf, enfantin. Une histoire tout aussi simple mais bien menée jusqu'à la conclusion qui vient toucher l'émotion.
Merci du partage. |
chVlu
27/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Une lecture d'une traite, sans impatience, savourant ce tableau sensitif. Un très bon moment de plaisir.
Une écriture fluide qui file comme une petite musique délicate. Une intrigue conduite avec beaucoup de maitrise qui dans ces moments où il ne se passe pas grand chose m'a tenu en haleine. Il y a bien un narrateur posé en observateur pourtant je reste avec la sensation que la narrateur est Sabine tant les émotions de Sabine envahisse ce texte. Cette fin taiseuse et sensible m'a ravi. Merci pour ce bon moment de lecteur encore dans la magie des émotions de tes mots. |
in-flight
27/1/2019
a aimé ce texte
Bien
|
Une nouvelle qui interroge sur la parentalité et les différences de classes sociales.
Le texte met en parallèle la présence transparente d'une mère face à sa fille et l'absence contrainte d'une mère (biologique) face à son fils. au milieu, Yvonne joue un rôle de pivot et gère du mieux qu'elle peut cette situation. Je vois dans la chute une prise de conscience d'Yvonne: elle semble vouloir annihiler les différences de traitement entre Thierry et Sabine pour mieux effacer les pleurs. N'est-il pas trop tard ? J'ai repéré une toute petite coquille: "Pourtant elle plus grande que les petits qui sont encore à l’école maternelle" --> "Pourtant elle EST plus grande que les petits qui sont encore à l’école maternelle" |
Anonyme
27/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Si j'osais je dirais que c'est du Plumette tout cru. Ça démarre l'air de pas y toucher, tu plantes gentiment le décor où la vie se déroule tranquille - une belle assemblée de cousins en vacances dans la maison de famille, comme dans tant d'autres, et puis au bout, une histoire qui déchire le cœur d'une petite fille plus sensible que les autres et bouleverse la destinée de deux enfants. Le point final cependant laisse ouvert l'espoir, car tout est permis tant que l'irréversible n'a pas été écrit.
J'ai bien aimé les touches glissées ça et là dans les pensées de la petite, qui rendent plus vraie que nature cette histoire. Merci du partage, Plumette. A te relire bientôt Cat |
Bidis
27/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Une histoire émouvante et bien écrite. Emouvante et pourtant on a évité le pathos. Bref, un moment de lecture agréable et qui interpelle quelque peu.
|
STEPHANIE90
27/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonsoir,
Une charmante nouvelle, je suis revenu la lire, avec envie. Une histoire de vie banal jusqu'à cette conclusion qui touche en plein cœur. Les non-dits, la vie qui s'écoule paisiblement puis, tout change si rapidement que cette petite Sabine se trouve toute chamboulée, et cherche le pourquoi de ces changements inhabituels. la lecture a été agréable du début à la fin qui est joliment tourné. L'empathie de cette "fausse" mère, son attachement à cet enfant qu'elle a élevé un peu comme le sien et que l'on va lui reprendre. Sa colère sous-jacente que l'on sent poindre et celle verbaliser par ce petit Thierry.... Merci pour cet agréable moment de lecture, StéphaNIe |
senglar
29/1/2019
a aimé ce texte
Passionnément
|
Bonjour Plumette,
Un vrai sens de l'atmosphère Une construction et une chute aussi Lecture prenante Peut-être la dramaturgie fait-elle un peu XIX ème siècle ?... |
Corto
28/1/2019
a aimé ce texte
Un peu
|
Un texte bien écrit, dont le déroulement permet une lecture sans aspérités jusqu'à la fin.
Par contre sur le fond on se retrouve dans l'ambiance de temps anciens. Le choix du sujet nous ramène à l'époque où les enfants lisaient "Les malheurs de Sophie" ou "Sans famille". On aurait aimé un peu de modernité même si la souffrance d'une enfant et d'une mère séparées sont évidemment d'une actualité permanente. Mais tout le monde n'est pas obligé d'aimer une poésie qui regarde la société d'aujourd'hui au fond des yeux... |
Malitorne
28/1/2019
a aimé ce texte
Un peu
|
Je n'ai pas tellement été emballé par ce récit qui m'apparait trop lisse, tant au niveau du style que du thème abordé. Une dénonciation de la différence de classes plutôt superficielle, il manque des évènements ou situations qui accentuent le fossé entre ces deux mondes. Les réflexions naïves d'une petite fille ne sont pas suffisantes.
J'ai noté aussi deux maladresses où l'auteur rentre trop dans l'histoire, abuse d'explications inutiles pour le lecteur qui a bien compris ce qu'il se passe : « Ça lui rend pas service de vivre tout l’été avec les enfants des patrons… Faudrait pas qu’il oublie d’où qu’il vient ce môme ! », « Yvonne n’en mène vraiment pas large ». Enfin la situation familiale de Thierry me semble superflue, un tire-larme dont on pourrait se passer. |
Anonyme
28/1/2019
|
Bonjour Plumette,
Laissez tout en plan, je viens de signer votre texte avec Walt Disney. On embarque demain à 14H de Roissy, pour Los Angeles. Ils m’ont juste demandé l’autorisation de compléter la généalogie de Thierry par une mère phtisique et un père violent qui carbure à l’absinthe. Sur ce coup, on peut se permettre de bouder Gallimard, j’espère que vous ne m’en voudrez pas. Ils disent n’avoir rien lu d’aussi déprimant depuis La petite fille aux allumettes. Ici, même pas un grattoir pour éclairer le moindre rêve. La fin laisse le lecteur se débrouiller, comme si l’auteur avait eu des rutabagas à éplucher. C’est pas moi qui l’ai dit. Voilà une autre de leurs conditions : faut surtout pas qu’Yvonne flanche. Faut qu’elle se débarrasse de Thierry et que Sabine en bave toute sa vie, avec un briquet Bic tout pourri dans la main. Je leur ai dit qu’en plus, pour le prix, c’était plutôt bien écrit. Ils m’ont répondu que ça, ils s’en foutaient. Pour quelques millions de $, on va pas finasser, c’est jamais que des ricains. A demain, donc. FrenchKiss Agent de scénarios catastrophe |
Anonyme
28/1/2019
|
Il me manque quelque chose, je crois, peut-être des situations plus concrètes rendant les différences de classes sociales, mais j'ai globalement aimé suivre Sabine dans ses interrogations empreintes de candeur quant à la place que chacun devrait occuper dans un univers complexe et j'aime lorsque cet univers est montré à hauteur des yeux d'enfants.
J'avais moi-même proposé autrefois une nouvelle similaire (dans laquelle, d'ailleurs, il y avait aussi un tennis), et en lisant la vôtre, j'ai retrouvé l'esprit qui m'avait guidé en écrivant la mienne. (s'il y a au catalogue d'Oniris d'autres nouvelles de vous montrant le monde à hauteur d'enfant, je suis candidat lecteur). |
jfmoods
29/1/2019
|
En lisant ce récit qui se passe dans les années 60 ("Belphégor à la télévision"), j'ai repensé à ce que j'avais écrit à propos d'une autre nouvelle de Plumette intitulée "Cet été-là"...
"... cette époque charnière où le monde merveilleux de l'enfance a commencé à se craqueler..." Tout en arpentant un territoire dont le banc de pierre marque la limite, la petite fille se heurte aux aspérités du monde adulte... - distance maternelle ("Elle lui trouve un air dur dans l’effort, presque méchant. Elle aimerait bien caresser son visage, effacer tous ces plis et retrouver sa maman."). - distance générationnelle ("Sabine trouve que c’est pas juste, aux petits on donne toujours les restes du repas de la veille et le dessert c’est toujours yaourt et compote tandis que les grands mangent les bons gâteaux préparés par Yvonne.") - distance sociale ("Sabine se jette contre Yvonne, l’entoure de ses bras, lève vers elle son petit visage inquiet et supplie. – C’est pas vrai ? Il va pas partir Thierry, la dame, elle peut pas l’emmener comme ça ?"). Merci pour ce partage ! |
senglar
29/1/2019
|
Bonjour Plumette,
Texte qui intrigue, tient en haleine. J'aime cela. Ce dont je voulais parler en premier (j'en parle en second car je tenais en premier lieu à vous complimenter) c'est L'AMBIANCE. EXCELLENT(E) ! Vous avez tapé dans le mille : Années 58 - plus ou moins - (j'ai déjà un certain âge, non ! pas un âge certain !) la télé qui est encore un lieu de convivialité et d'émerveillement voire de frissons (Ah Belphégor ! Mystérieuse, envoûtante et adorable Juliette ! Amour de jeunesse ! Fantasme !), les cyclistes de plomb (si aériens) auxquels j'ai joué : Gaul, Bartali, Copi, Kubler, Koblet, Robic, Bobet (l'immortel Louison, Louison champion pleureur, champion charmeur, champion des champions)... puis Anquetil. NOSTALGIE ! Oui l'ambiance ici, une atmosphère ! Quelle gueule ! Tout cela m'a été très agréable à lire. VRAIMENT Est-on censé donner des conseils ? J'ai vagabondé bien sûr. J'ai adoré cela. Mais j'aurais aimé vagabonder davantage. Car j'ai senti à mesure que progressait ma lecture que ce récit tendait de manière peut-être trop intransigeante vers son but, sa chute. Et ce but contrariait mon errance, ma rêverie. Il fallait couper ce fil d'Ariane qui conduit votre histoire, mettre plus de fils effilochés, d'épissures, de barbules. J'eusse aimé une épée de Damoclès sans fil, sans catastrophe annoncée. Mais la fin rattrape tout, les personnages ne sont pas si mauvais et les tensions s'apaisent. ça n'est pas un HAPPY END, on n'est pas en Amérique, mais c'est une fin heureuse et c'est très bien ainsi. Les possiblement méchants ne sont pas si méchants voire ne le sont pas. J'y ai retrouvé d'une certaine façon la chaleur d'un Hector Malot (d'avant la télévision bien sûr). Dans ma bouche c'est un compliment, il y a tant de merveilleux auteurs oubliés. Bravo à vous ! Senglar PS : Je n'ai trouvé la case évaluation dans la rubrique "commentaire" : bien sûr je vous mets "passionnément". J'ai aimé passionnément votre nouvelle ! |
Sylvaine
30/1/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Le texte tout en finesse épouse avec justesse le regard de la petite fille confrontée aux différences sociales qui structurent le monde des adultes et qu'elle comprend mal. Par touches légères, le lecteur est amené à comprendre l'abîme qui sépare Sabine et Thierry sans qu'ils en aient bien conscience. Il y a là une cruauté feutrée, discrètement émouvante. Le ton sonne juste. Une réussite.
|
hersen
30/1/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Plumette,
En fin de lecture, je me suis dit, c'est du Plumette tout craché, ça ! :)) Il y a à peu près tout ce que sont ces histoires d'enfants abandonnés ou retirés à leur famille. de ce point de vue, je pense que c'est une réussite. Tu réussis plutôt bien le langage de Sabine, ses interrogations, Tu places les parents "défectueux", si j'ose dire, la famille bourge et le tennis (tu nous a déjà fait le coup du tennis, je crois...) la femme à tout faire qui a un coeur assez grand pour prendre en charge un enfant rejeté. Et puis ces deux enfants qui s'aiment, comme des enfants que le hasard a mis l'un à côté de l'autre. Par contre, je trouve au texte un ton trop égal.Pour plein de raisons, une petite Sabine devrait avoir des réactions plus exacerbées. je crois que si les enfants n'en savent pas les causes, ils sont très affûtés pour saisir le fil de ce qui se trame. un adulte ne cache rien, vraiment, et les enfants nous devinent. je trouve que, en gros, nous restons du côté de l'assistante sociale, sans être véritablement dans le coeur de Sabine. naturellement, c'est mon ressenti, peut-être que rien de ce que je dis n'est réel. Mais j'ai eu, il y a bien longtemps, une amie assistante sociale. Elle m'a racontée un nombre de cas impressionnants, en nombre et en gravité. Mais j'ai, dans le même temps, été témoin d'un cas social qui m'a littéralement sciée. j'avais 18 ans et je ne savais même pas que cela pouvait exister ! Eh bien j'ai alors considéré le fossé qui existait entre ce que me racontait mon amie, quasiment cliniquement, comme un cas de plus, et tout ce que moi j'ai ressenti à être témoin d'une situation que je n'aurais pu imaginer, vivant dans une atmosphère familiale équilibrée. Il manque donc pour moi à la fois une rébellion, de révolte fondamentale chez Sabine, et l'acceptation désabusée de Thierry. Tout ceci est présent, mais en filigrane. désolée, Plumette, mon com est un peu long et je me suis peut-être égarée... Mais en tous cas, merci de la lecture ! |
CyrilRodriguez
1/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
J'ai aimé la simplicité de l'écriture et de l'histoire, qui nous emporte pour une poussière de temps dans l'univers de Sabine. La trame est naïve et c'est cela qui la rend émouvante.
|
Luz
2/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour plumette,
J'ai bien aimé cette nouvelle qui a ravivé en moi des souvenirs un peu tristes, mais bon... Cela veut dire que l'histoire est simplement et très justement racontée. Je voudrais que Sabine et Thierry se marient un jour, malgré la difficulté du "faudrait pas qu’il oublie d’où qu’il vient ce môme..." Merci. Luz |
plumette
6/2/2019
|
pour les retours sur commentaires c'est ici:
http://www.oniris.be/forum/un-moment-sur-le-banc-de-pierre-t26622s10.html |
Donaldo75
7/2/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour plumette,
Ce n'est pas facile de raconter une histoire d'enfants en prenant le regard de l'enfant comme angle de vue. A cet égard, ta nouvelle est réussie. Ce que j'aime le plus, c'est la psychologie de l'enfant, Sabine en particulier mais aussi un peu Thierry, qui m'a semblé réaliste. Et ça aussi, ce n'est pas facile. L'histoire est de fait bien racontée. J'aime moins la fin, un peu cucul la praline quand même avec Yvonne qui prend les enfants presque dans ses bras. Mais il faut bien terminer une histoire, je suppose. |
Amelie
21/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Une histoire très belle, simplement mais fort bien écrite. Une belle manière de nous inviter dans les réflexions de cette enfant avec un ton juste (l'idée que les adultes éprouvent le besoin de signifier que le garçon n'est pas de la famille).
De très belles images aussi (l'hypnose face à la balle qui va, fuse). Beaucoup de messages sous-jacents, laissés à la compréhension de qui voudra (l'histoire d'être assez grand pour manger ici ou là, les décisions des adultes sans compréhension). Mais ce faisant, vous nous montrez une belle idée de la différence entre l'enfance et l'état adulte. Si je peux, j'oserai dire qu'il y a deux ou trois lourdeurs (pas plus !). Par exemple, "en freinant un peu quand même", il me semble à l'oreille que le "quand même" est de trop, à moins d'écire "tout de même", pour rester en harmonie avec la qualité du texte. Une autre chose est parfaitement décrite, sans rien de trop : la manière dont les adultes n'expliquent pas, restent dans l'implicite, sans voir la charge que cela fait porter à cette petite-fille qui doit combler les trous (c'est quoi l'assistance publique ? Pourquoi cela semble-t-il relever de la honte, du secret ?). Il y a une très grande sensibilité dans ce texte. Merci :-) |
Anonyme
26/2/2019
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Une petite réserve sur l'histoire de l'accouchement parce que je ne suis pas sûr qu'on en disait aussi long aux enfants il y a plus de cinquante ans, même à la campagne.
Mais dans l'ensemble j'ai été séduit par la sobriété du récit, et même touché en tant que petit-fils d'enfant de l'Assistance. |
Anonyme
5/3/2019
a aimé ce texte
Bien
|
Même si ce n'est pas du tout un style (sentimental) que j'apprécie en temps habituel, je me suis laissé porté par l'histoire. Le vocabulaire est très bien choisi et on vit les histoires de Sabine.
C'est bien écrit et ton texte est fluide avec ses phrases courtes et très "hachées" si je puis dire. Bref, même si je ne suis pas un grand fan du sentimental et des textes assez réaliste, vous avez réussi à me transporter l'espace d'un instant dans ce récit touchant. |
mirgaillou
18/10/2019
|
Après la bibliothèque rose, on passait à la verte. Cette nouvelle entrerait dans cette catégorie proprette et bien intentionnée.
Il faudrait, me semble-t-il créer une catégorie "jeunesse" pour ce genre d'histoire. Cette nouvelle, mignonne ne convient pas à un lecteur expérimenté mais peut "accrocher" une classe générationnelle. Un élément plus mature retient toutefois l'attention: ce banc comme frontière symbolique du permis/pas permis selon l'appartenance d'âge ou de rang social. Cette symbolique englobe aussi les sentiments de la fillette qui ressent la distance avec une mère longtemps absente, distante et peu affectueuse. Quand à Yvonne, parfait stéréotype de la bougonne au grand coeur. Question style: un petit abus du verbe être. Je ne trouve pas à inscrire mon ressenti dans les choix proposés, je n'en choisis donc pas. |