|
|
Nongag
31/1/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
D'assez belles phrases au service de... je sais pas trop quoi! Une longue description avec des images parfois très réussies, une ambiance glauque, on pense à une ville au temps de l'ère industrielle. Un monde gris, pollué, moche.
Mais tout ça tombe à plat. Une ville sans âme, habitée pas des humains gris et, soudain, il pleut et, soudain, plus rien... Pas très satisfaisant! Ou bien je n'ai pas compris. Et l'intro, c'est supposé être un microcosme de notre monde? Nous serions alors comme ces microbes, facilement détruit?? Fantasme de fin du monde??? |
Claude
31/1/2009
|
Ben... moi non plus, je n'ai pas tout capté ! L'ambiance glauque est bien rendue... mais il manque un je-ne-sais-quoi pour faire le déclic.
Mais il est tôt, je ne suis peut-être pas encore réveillé... |
marogne
31/1/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Volonté de créer une ambiance glauque, de fin du monde, sale. Critique si souvent rabachée de ce que l'homme peut faire de mal, et de l'inutilité de sa quète. Mais l'homme est un tout, dans ce qu'il fait de plus beau, comme dans ce qu'il fait de plus abominable, et l'eau salvatrice effacera tout, le beau, le sale, l'idée du beau, l'idée du sale.
|
Anonyme
31/1/2009
a aimé ce texte
Pas ↑
|
Etrange à lire. On ne sait trop où l'auteur veut en venir. Certes c'est bien écris, il y a de jolie tournures, mais le fond du texte est trop abscons, même à la relecture.
La forme sans le fond encore une fois. c'est dommage parce que je pense que le potentiel est là. |
Ephemere
31/1/2009
a aimé ce texte
Pas
|
Bonjour, je suis d'accord avec tous.
La description d'une ville industrielle, soit... Le style n'est pas si bon ; voilà ce que j'ai relevé sur le début du texte, ensuite j'ai fatigué : "voilà un halo pâle", lourd et incompréhensible, "redevient à la normale", "Nous sommes en pleine rue", d'autres verbes que être existent, "qu'à chaque fois qu'il", que que, chaque employé cinq fois en trois lignes, "les voitures et bus", et les bus. Chemin caillouteux qui ne va nul part, pas d'histoire ! Ah, si, si, une phrase qui m'a plu bien qu'il soit possible de l'alléger : "Les passants ne sont plus que des petits points noirs sur le visage vieilli de la ville, ridé par de longues entailles" routières FMR |
Faolan
31/1/2009
|
Je n'ai accroché ni sur le fond ni sur la forme.
J'espère que des précisions seront apportées quant au message que l'auteur voulait transmettre car je suis malheureusement passé à côté. Désolé. Merci. |
Poète à mi-temps
31/1/2009
|
L'idée de départ était de partir d'un petit point de la rue et de déplacer la "caméra" comme s'il elle s'en éloignait pour décrire à chaque fois ce que l'on voyait.
C'est une description du gris et du morne qui habite le monde, avec un constat d'une routine que personnellement je vois s'ancrer chaque jour un peu plus dans mon quotidien et qui me révulse. D'ailleurs, Ephemere, la répétition du mot "chaque" a été faite pour insister sur ce caractère routinier, automatique de nos vies. Je te trouve d'ailleurs très dur(e) avec le style, même s'il est vrai que je n'ai pas relu des dizaines de fois ; ce texte a été vite écrit. Tout cela est parti d'un point de vue global. Bien sûr, l'Homme est capable de belles choses. Mais pour moi, si l'on prend un angle général, l'Europe industrialisée et "mondialisée" devient de plus en plus triste, monotone. L'intro n'est pas un microcosme de notre monde, j'ai juste essayé de montrer, en faisant une comparaison avec la fin, que l'Homme est en effet comme un microbe, pouvant facilement être détruit. Tout dépend dans quel "angle de caméra" on se place. Ici, il est en fait détruit par lui-même puisque la fin est le résultat du dérèglement climatique provoqué par l'industrialisation décrite auparavant. C'est là où je veux en venir avec ce texte, Kaos. |
Poète à mi-temps
31/1/2009
|
Mea culpa pour les deux "d'ailleurs" adressés à Ephemere ^^
|
jensairien
31/1/2009
|
à la fin ça m'a fait penser à un tableau de Max Ernst "L'Europe après la pluie" qui pourrait très bien illustrer ce texte.
Des défauts dans la narration mais j'ai bien aimé cette phrase : "comme si tout l'azote de l'atmosphère se liquéfiait et venait s'abattre brutalement sur les belles idées des physiciens" une belle image |
Menvussa
2/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
J'ai commencé par apprécié cette progression du plus petit au plus grand... le monde sous la pluie vu par... un microbe !
Puis l'image s'agrandit, un trottoir, une foule, la circulation, une ville. Et en terminant le récit je me rends compte que je me suis fourvoyé. C'est la terre vue du ciel, un gros nuage sur l'Europe, une pluie que l'on devine diluvienne et le nuage passe, un coup d'éponge et la civilisation a disparu sur ce petit espace du globe. Un nouveau déluge sans arche justement. "Tout redevient à la normale." je ne pense pas que l'on puisse écrire cela... Tout revient à la normale ou tout redevient normal. Je trouve qu'il y a trop de digressions qui n'apportent rien à l'histoire, qui ne renforcent pas l'attention, ne construisent en rien le suspens. |
guanaco
5/2/2009
|
Même si le thème est original, je dois reconnaître que ce texte ne m'a pas intéressé plus que cela.
La forme est problèmatique, avec des lourdeurs ou des répétitions: - "sinon, on s'ennuierait ferme. / on s'ennuierait assez" - "Tout redevient à la normale" => tout redevient NORMAL ou tout REVIENT à la normale - "Elle est partout, à mon esprit." => DANS mon esprit (?) Merci Guanaco |
melonels
5/2/2009
a aimé ce texte
Pas ↓
|
Je suis sans doute idiote mais je n'ai rien compris au texte, j'ai vite décroché. L'auteur nous donne des explications dans les commentaires des lecteurs ce qui est une bonne chose en soi quand on s'apperçoit être mal compris, mais malgrè ses efforts, le texte ne me paraît pas plus clair ni attrayant. Désolé.
|
Bidis
6/2/2009
|
L’écriture me fait bien voir un boulevard, et me met dans une ambiance de grouillement humain. Mais quand j’arrive à « Les rues sont saturées d'hommes et de femmes qui se dépêchent d'aller au point B. Le plus vite possible, ne plus rester au point A ; sinon, on s'ennuierait ferme. Et puis ne surtout pas passer par C : on s'ennuierait assez. On ne produirait pas, à C. », je n’ai guère envie de poursuivre ma lecture. Ces A, B, C en littérature, cela me gêne absolument.
Puis « C'est comme si tout l'azote de l'atmosphère se liquéfiait et venait s'abattre brutalement sur les belles idées des physiciens. Les passants ne sont plus que des petits points noirs sur le visage vieilli de la ville, ridé par de longues entailles routières. », les impressions données par ce bon passage me semblent refroidies par les « belles idées des physiciens », trop abstraites. Et c’est sans doute parce que je trouve les images très bien rendues que je trouve gênantes les réflexions métaphysiques, d’autant que je ne les trouve pas très claires. |
David
12/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Bonjour Kahlu,
J'aimais bien au début cette impression du monde vu par les yeux imaginaires... d'un glaviot ?! C'est comme cela que je l'ai lu en tout cas. La fin du monde arrive un peu abruptement, mais j'ai apprécié les changements d'échelle. |
Ariumette
22/2/2009
|
D'abord félicitation d'avoir relevé le défi de ce concours !
Mon avis : Des répétitions inutiles pour cet original travelling arrière. Je salue l'idée mais je pense qu'il faudrait retravailler la forme, retirer les répétition pour laisser la place aux métaphores. Pas de note cause concours |