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Coline-Dé
9/6/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un beau texte plein de trouvailles poétiques, dont certaines sont de vraies perles !
On lit parfois des textes - certes plus accessibles- mais dont la recherche littéraire avoisine le zéro, alors que là c'est plutôt l'abondance qui ferait reculer. Tout ne me parait pas de la même qualité, je trouve certaines préciosités qui nuisent à l'ensemble, mais quel plaisir de ne pas rester au ras des pâquerettes, de se laisser embarquer par un souffle poétique aussi fantasque ! Parmi mes préférées : j’essaie de transpirer intérieurement. Je pense à toi comme on perd l’équilibre, Je pense à toi comme on saute d'un pont Je m'endors près d'un cri certaines cheminées toussaient des elfes pâles, En revanche, je trouve plus banal Je me souviens… Le doux bruit des perles d’eau qui s’entrechoquent… L’existence fugace des vagues d’émeraudes qui s’élèvent fièrement Si je pense à la mer et qu’elle panse mes plaies, Devrais-je résister aux écumes premières ? Et carrément trop affecté Une larme de sirop d’érable décore la gourmandise de tes joues Exposées aux gerçures de mes yeux. un Labrador orange dévorait une rose morte, et quelques autres... Un petit ponçage serait une vraie mise en valeur... |
Robot
20/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai apprécié ses entrelacs de prose et de vers. Le texte est vraiment riche et même après plusieurs lectures, je pense n'avoir pas tout absorbé. Car c'est par imprégnation qu'il faut intégrer ce texte foisonnant. J'y reviendrai encore pour goûter cette littérature par petits couplets. Je me doute qu'il vous a fallu un énorme travail pour arriver à cet aboutissement, et pourtant tout à l'air si fluide. Nostalgie, un peu de tristesse, même un peu d'espoir aussi affleure. Je suis conforté dans cette impression d'une vague espérance par le dernier vers:
"La terre ne meurt jamais. À peine soutient-elle la mer…" Mon appréciation n'est peut-être pas définitive. Peut-être aurais-je à compléter ce commentaire plus tard. J'ai passé en tout cas un bon moment sur cette lecture. |
chVlu
21/6/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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bluffant,
j'ai adoré me promener dans ces mondes imbriqués, celui des états de conscience tenue aux instants créateurs, en passant par celui l'inconscience aux réveils des cauchemars, jusqu'à cet univers imaginaire habité. Une histoire sentimentale en diable traverse le tout. Fantastique c'est bien la bonne catégorie !!! Subtil mélange de poésie nouvelle, d'introspection écarlate; de prose poétique en versification le chemin est lumineusement obscur. Tout est sans dessous dessous, et pourtant je m'y suis trouvé bien et bien retrouvé. J'étais chez vous comme dans un lieux commun pour une histoire pas banale. Dire que je me suis régalé est utile ? |
Anonyme
21/6/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Pouet,
Un conte fantastique, un conte merveilleux ! Toute la prose n’est que pure poésie. Chaque phrase m’a entraînée à sa suite dans des dédales aux miroirs lumineux. J’ai vite arrêtée de chercher à comprendre l’histoire pour suivre le fil de vos tableaux immergés dans un monde réel que vous rendez onirique à force d’images superbes. Vous avez labouré profond. Bref, c’est beau et je ne sais comment le dire davantage. Merci pour le partage de cette lecture, qui demande plusieurs lectures et relectures et qui transporte les yeux ouverts vers des contrées rutilantes. A vous relire Cat Transportée à Dushy |
Lulu
22/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un très beau texte au rythme régulier et fort agréable. J'aime beaucoup, vraiment. C'est éminemment poétique. Je ne relève pas tout, mais certains passages m'ont plus touchée que d'autres, comme :
"Je m’inonde des stalagmites de ta présence Je porte la rature de mes lettres effacées Le froid suspend son voile aux rides du silence Voici le trou béant des âmes crevassées Ici ne repose pas l’enseigne des consciences Mais la monotonie de nos éternités." J'ai aussi beaucoup aimé l'idée du dernier mot. Ca me fait penser à ce que je dis souvent (Le soleil brille toujours au-dessus des nuages, lorsque ces derniers sont là)... Globalement, j'ai lu votre récit-poème comme ce qu'il est : un vrai récit-poème. Au plaisir de vous lire de nouveau. |
emilia
24/6/2014
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Une nouvelle fantastique et merveilleusement poétique, qui foisonne d’images parlantes, où le drame, démarré sur le quai d’une gare dans un endroit dénommé « Dushy », se noue entre je et tu, se joue entre passé et présent, rassemblant des lambeaux de souvenirs, des poussières de silence, avec déjà des images très suggestives de « mouchoirs déchirés », d’une « dernière larme de fumée lourde entre les doigts glacés du ciel ( comme un chaud et froid vecteur de cataclysmes), de « valises qui hurlent »…, avec cette souffrance oppressante qui conduit à l’enfermement, au repli sur soi comme enterré vivant… ; avec cette description récurrente qui évolue sur quatre temps (« du trou, du petit tas de sable, de deux bougies et d’un demi-miroir… ») évoquant une tombe, une « prison sans fenêtres jonchée de lettres brunes », couleur du sang séché après un sacrifice : un décor sombre pour une atmosphère sinistre, ponctuée d’une musique ironique orchestrée par la mer qui joue sa partition « de notes exutoires et lancinantes, où les rires agonisent, les sentiments sont vaincus, les soleils couchés, les cœurs éclatés, les bonheurs froissés, les tendresses envolées… », tout un corpus de mots significatifs exprimant une perte irrémédiable, une détresse bouleversante qui affleurent dans ce vers central : « Et au fond de tes yeux : s’éternise le reflet de mes derniers espoirs… »
Le narrateur, « allongé », en position d’analyse, scrute les éléments clés de ce passé qui traduisent le délitement de la relation amoureuse : « je me souviens… » de ce temps d’avant « où tout était calme et ordonné, où tu m’attendais, quand ta bouche avait le goût d’une averse de cerises, quand le bonheur nous regardait au fond des yeux… », mais aussi plus tard, « quand tes yeux n’étaient que Solitude masquant les morsures de l’ennui, avec dans ton regard des orages de verre, les éclats d’une pupille brisée…, quand nous échangions nos rêves et nos mensonges, quand toi tu voulais rentrer et moi, je n’ai rien dit…, quand nous nous étions promis quelque chose… » Ainsi, le non-dit s’installe avec sa part de responsabilité transformant « les âmes inséparables » en « ce trou béant des âmes crevassées où repose la monotonie de nos éternités… » Il mêle habilement à l’intrigue les effets dévastateurs de la rupture sentimentale : « je pense à toi comme on perd l’équilibre, comme on saute d’un pont… », à en perdre progressivement la raison… Les descriptions visuelles de « Dushy », à la manière d’un flash cinématographique, contribuent par leurs contrastes saisissants à mesurer le gâchis d’un univers dévasté: la très vieille dame, la poupée édentée, les missives invisibles, la rose morte dévorée, le chat tombé de l’échelle… , comme en opposition avec la sublimation gourmande du portrait de l’aimée : « je pense à toi comme on se rappelle de la saveur d’un fruit oublié sur un banc de l’enfance, comme à un éclat de vanille… » Il fait alors ce constat accablant : « à trente ans, je me sens triste comme un vieillard, il est temps pour moi de ne pas revenir … », comme une décision apaisante pour mettre un terme à la souffrance, à la torture mentale… Il prend conscience « de la perte d’un temps précieux à ne Rien faire », d’être l’acteur de sa propre condamnation : « je ne me laisse aucune chance de refaire surface, je saborde les espoirs de mon propre navire dans la peur d’une vie qui n’apporte aucun réconfort » ; plus rien n’existe semble-t-il auquel se raccrocher : « J’habite à Francheville-sur-Rien… » A cet instant, l’aspect tragique atteint son paroxysme : « quand les bougies s’éteignent, que le miroir se fend…, dans l’acceptation de la mort, je garde les yeux ouverts pour l’écouter… ! L’analyse psychologique s’appuie également sur des réflexions philosophiques : « Je ne cherche pas à comprendre ce que l’inutilité m’apprend… » ; « Nous broyons le sursis de nos indépendances extirpant de nos cœurs nos dernières utopies … » ; « cette effrayante normalité… » ; « en face de moi-même, l’apparence du monde me tombe des mains en une effervescence d’objets trouvés et d’idées préconçues… » ; en tournant le dos aux masques de l’oubli… » Dans le naufrage annoncé où l’anéantissement de soi est particulièrement bien rendu dans l’expression :" je porte la rature de mes lettres effacées… », quels sont ces « cadavres opaques et mystérieux qui tapissent le fond d’un drame inespéré », mais qui apportent la paix… ? La nouvelle qui laisse une forte impression s’achève sur cette phrase énigmatique, laissant ouvert tout le champ des possibles à travers le couple terre/mer : « La terre ne meurt jamais. A peine soutient-elle la mer… », dans une permanence peut-être porteuse d’espoir… |
Lyl_mystic
24/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aurais bien vu ce texte en 'poésie en prose' dans le sens où la trame narrative et l'intrigue d'une nouvelle ne sont pas vraiment présentes, mais c'est bien le style que j'ai beaucoup apprécié : une grande richesse dans les images, beaucoup de densité de ce côté-là, peut-être même un peu trop ceci dit.
Autant il y a des images et des tournures de phrases que je trouve sublimes et originales, autant certaines métaphores me semblent trop affectées, précieuses, et ne m'évoquent donc pas grand chose. "...Des rides de solitude se peignent sur le mur des sentiments vaincus Sur lequel agonisent des guirlandes de rires, des couchers de soleil et des cœurs éclatés." Je trouve que ce passage détonne par rapport à ce qui précédait, c'est tout à coup plus lourd surtout cette succession d'images tout à fait "hétérogènes", et il me faut faire un effort d'imagination dans ce grand fouillis, c'est surtout pour la deuxième partie de la phrase. Bref, c'est un exemple des moments où j'ai l'impression de basculer dans l'emphase. "Entre tes paupières perlées de paillettes de chocolat amer," Le chocolat a beau être amer, je trouve cela trop sucré... =) Je n'ai pas trop aimé tout ce passage gastronomique. Si on ne se perdait pas dans cet onirisme, s'il y avait une plus grande construction narrative, je lirai bien tout un roman dans ce style là. =) Je trouve, et cela m'arrive rarement, qu'il y a énormément de potentiel et de talent même, dans cette écriture. J'ignore si c'est un choix mais la ponctuation m'a semblé manquer par endroits, je ne cite pas parce que ce "défaut" est trop récurrent. Pour résumer, certaines phrases m'ont semblé trop riches et ce qui est un peu dérangeant quelquefois c'est la surprécision adjectivale pour ce qui est trop dans l'abstraction et moins dans l'évidence, personnellement ça crée pour moi une sorte de distance dans l'identification. Je ne citerai pas tout ce qui m'a plu, il y a bien trop de beauté dans ce texte mais voilà certaines images que je trouve superbes : "Il y a des parasols qui épousent la nuit Et des hivers jaunes qui reflètent l’été." "Je pense à toi comme on ouvre une faucille pour cueillir toute une rivière de papillons," "Tu voulais profiter de cette pluie battante pour te promener, nous nous étions embrassés : ta bouche avait le goût d’une averse de cerises, je me souviens…" "Je suis incrusté dans la proue d’un bateau à la coque de cire, ne voulant chavirer qu’auprès d’un phare en immersion qui viendrait éclairer les veines sous-marines et les aortes creuses des coraux torturés comme les lignes de ma main." J'aime beaucoup cette image, cette personnification marine, elle m'évoque le trouble face à l'avenir incertain, instable comme les mouvements marins... Bien sûr l'émotion, la nostalgie, la souffrance dans l'absence d'un être cher sont tout au long présentes et leurs accents sont plus saisissants dans certaines phrases qu'on a déjà citées; ceci dans une expression d'une grande délicatesse où l'évasion est permise. La fin plus positive évoque un certain renouveau et s'arrête sur une note plus énigmatique qui m'a donnée envie de lire plus en avant si cela avait été possible. Au plaisir de vous lire. |
David
25/6/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Pouet,
Une histoire qui a le don de capturer. L'écriture a eu suffisamment de conviction pour me faire douter le temps de la lecture de ce qui était absurde ou non, c'est très proche de l'effet d'un rêve, en plus miroitant, kaleïdoscopique. La mélancolie est extrême et en même temps il y a une énergie incroyable des images, il y a des sortes de "refrains" avec ces "lettres brunes", ce "demi-miroir" et d'autres encore, qui agissent comme avec une musique. La fin est encore un nouveau jeu de palais des glaces, quand le narrateur se dévoile, c'est encore une immersion dans quelque chose d'autres. Bref, une lecture de ouf :) |
Neojamin
26/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Pouet,
Oui, c'est une poésie...ou pas, un voyage sans aucun doute, dans l'au-delà, dans une mémoire triturée...Au fur et à mesure de ma lecture je n'ai pas pu m'empêcher de chercher un sens, de comprendre, d'attendre un dénument, quelque chose. Ce n'est qu'en arrivant à la fin que j'ai ressenti ce que tu avais écrit. Il me faudra le relire. Ce texte m'a semblé trop personnel pour être commenté. J'ai eu le sentiment de pénétrer dans les profondeurs d'une âme. Si tu l'as écrit d'un coup, je ne me surprendrais pas tant la lecture de cette aventure fantastique fut fluide et agréable. J'ai particulièrement aimé la coupure net du passage de présentation du personnage et toutes ces incohérences qui n'en sont pas. Très bien écrit, très facile à lire et pourtant si complexe dans sa construction. Je me suis un peu perdu dans toutes ces métaphores...mais c'était peut-être le but. Merci |
Anonyme
29/6/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Pouet,
Ce n'est pas une nouvelle, c'est un poème. Une plume énigmatique, écorchée vive, des trouvailles à tomber, il y en a tellement mais je vais relever ce passage qui m'a fait fondre: "Sur les épaules squelettiques d’un ange écorché tes cheveux dessinent Les cicatrices des âmes inséparables et la mélancolie des tendresses envolées." Comme je suis amoureuse de ces mots. C'est d'une profondeur, d'une intensité, ça vient des tripes, l'émotion à l'état brut, un battement de cœur votre nouvelle, un battement dans mon cœur. Une nouvelle que je reviendrais lire et relire. |
Bleuterre
1/7/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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Très beau, c'est pour moi de la pure poésie, chaque phrase est une belle invention, un texte qui redemande à être lu, plusieurs fois, il m'a enchantée....
Tu arrives avec tes mots à mêler les éléments à une réflexion personnelle dans un onirisme puissant. Merci beaucoup de ce beau partage. |
Anonyme
2/7/2014
a aimé ce texte
Un peu ↓
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En effet, c'est plus de la poésie qu'autre chose. Il n'y a pas véritablement de trame narrative ou si elle existe noyée dans une abondance de métaphores et d'expressions lyriques. D'un point de vue personnel je trouve que vous en faites trop, que vous privilégiez exagérément l'esthétique au détriment de l'histoire. Ce déferlement de vocabulaire et de tournures emphatiques appesanti considérablement votre propos. On a envie de tailler dans ce maquis pour savoir ce que vous cherchez réellement à dire, où sont finalement vos émotions tant elles se perdent en circonvolutions littéraires. J'ai quand même la forte impression d'un espèce de tape-à-l'oeil.
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Zoe-Pivers
1/5/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je suis tombée sous le charme. Allongée à son pied, la tête au vent d'un autre espace, j'ai lu chacune de ses feuilles. Il y avait dans le tronc un ascenseur en colimaçon et à chaque étage une porte qui s'ouvrait sur une branche en construction. Je suis passée d'un rameau à l'autre avec cette impression de vivre un saut quantique entre des mondes parallèles.
J'ai adoré ! Merci Pouet |
Perle-Hingaud
29/8/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Oups !
Je découvre une autre "nouvelle"... dont d'ailleurs quelques mots/images sont presque mot à mot repris dans votre dernier texte. Vous aimez tant que ça la bière iranienne ? A 30 ans, vos narrateurs se sentent-t-ils tous des vieillards ? ;) Je ne me souviens pas avoir lu ce texte auparavant, mais j'ai peut-être oublié... Selon moi, c'est davantage une longue poésie en prose qu'une nouvelle. Trop "écrit", comme là, par exemple: "Me serais-je assoupi à l’intérieur d’une cathédrale flottante ?". Bref, pas ma tasse de thé pour la partie "récit". Par contre, certains vers me plaisent, comme "Je pense à toi comme on perd l’équilibre" et ses déclinaisons tout au long du texte. En conclusion, une autre fois, en tout cas en nouvelles ! |
Joss
26/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il faut prendre son temps, car le texte est riche ! Mais que de trouvailles, un très beau voyage, merci !
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