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Tchollos
10/6/2008
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Très envoutant et très particulier. J'ai beaucoup aimé. Difficile d'expliquer, comme il est difficile d'expliquer un poême, j'imagine. J'aime beaucoup la tendresse et la "profondeur" du récit qui ne se laisse pas dompter facilement. Quelques phrases, surtout au début me semble un peu biscornues, mais je me suis assez vite laisser bercer par leur mélodie et leur rythme. Merci.
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Pattie
10/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quand j'ai lu le résumé en Centrale de correction, je me suis dit "Ouh là... Le truc bien compliqué, pas crédible, embrouillé... mouof". Et puis j'ai lu le texte, et là, wow ! Avec une idée aussi bizarroïde, faire une nouvelle si émouvante, si construite, c'est quand même fort. Et c'est beau !
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xuanvincent
10/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Un joli texte, original, dont j'ai apprécié la lecture.
J'ai bien aimé le début, que j'ai trouvé percutant et qui m'a donné envie de lire la suite de l'histoire. Surtout pour le thème, un narrateur qui se dit être devenu l'âme d'une baleine. Le portrait de la baleine ensuite, entrecoupé des réactions du narrateur homme, m'a intéressée. Je relève cette phrase, qui m'a plu : "J'ai perdu quelqu'un, un moment à part, quelque chose qui n'arrivera plus, un livre qui se referme, une réalité masquée par des portes, les serrures de ma petitesse. ". La fin, simple, m'a plu. |
widjet
10/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sous ces allures de petite brise marine, ce texte est une petite tornade où soufflent des émotions puissantes et des sentiments profonds. Je ne vais pas tourner autour du pot : c'est très beau.
Grace a une écriture soignée, poétique et d'une émouvante délicatesse, je me suis laissé bercé par cette déclaration d'amour maternelle, d'une pudeur et d'une tristesse aussi intériorisée que profondément émouvante. Rarement la perte d'un être cher a été évoquée avec autant de dignité et de grâce. Mes yeux m'ont légèrement piqué (c'est rare), mon esprit critique s'est laissé cueillir et n'a même jamais tiqué aux répétitions (le mot baleine ....mais je ne vois pas trop ce qu'on aurait pu mettre d'autre). N'ayons pas peur des mots : Dans l'âme d'une baleine est tout simplement ma plus belle surprise depuis des lustres et probablement le plus beau texte que j'ai pu lire ces dernières semaines. Un auteur séduisant, une sensibilité qui me parle, un authentique talent à n'en pas douter. Je suis ravi. Merci. Widjet (pas coulé....mais bien touché) |
belaid63
10/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Renzo écrit:
"Elle raconte aussi le voyage du prophète Jonas, sur lui soit la paix. Car les baleines rassurent. Leur foi est simple et claire. Leur monde est monde et il n'y a pas de haine entre elles. L'homme est petit, c'est pour cela qu'il est méchant. La baleine, elle, n'a peur de rien, sauf des hommes." L'homme est petit et c'est pour cela qu'il est méchant, une vérité philosophique et un peu le résumé de ce joli texte, je rejoins les autres commentaires pour dire toute l'émotion que j'ai ressenti à la lecture de ce texte. trés bien et meme un peu plus merci renzo |
Anonyme
11/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Oui, c'est une manière douce, sensible et originale d'évoquer la perte d'un être cher. Une belle métaphore. Cependant j'ai relevé une bonne trentaine de répétitions du mot "baleine", parfois 4 à 5 fois sur 3 lignes... Je trouve que ça fait vraiment beaucoup et j'avoue que cela a un peu parasité ma lecture.
Sinon, j'ai bien aimé. |
strega
11/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Oui, j'ai adoré le style d'écriture. Si léger et si lourd de sens, un peu envoûtant c'est vrai. Un peu beaucoup même. Le thème évidemment est émouvant est touche à peu près tout le monde me semble-t-il. C'est très bien fait, pas du tout pathétique, et ça, (pour ceux qui en doutent encore) j'aime beaucoup.
Sinon, pour la phrase à propos de Jonas et de l'homme méchant. J'emprunterai les paroles du grand Reuno (non, je ne me trompe pas d'orthographe) "les gens, monsieur tout le monde les connais bien. Il est comme eux, voilà pourquoi monsieur tout le monde ne les aime pas..." A bonne entendeur. Je reviendrai quand même lire avec plaisir les futurs textes. Ne serait-ce que pour ce style si particulier. |
Anonyme
11/11/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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J'en sors tout ému. J'ai trouvé ce texte vraiment magnifique.
En Sentimental/romanesque. Mais pourquoi pas en Fantastique/merveilleux ? Mais peu importe. C'est vraiment superbe. On se sent nous aussi dans l'âme de la baleine. On comprend un peu, on ressent beaucoup. Avec l'auteur, avec les baleines, avec la baleine, avec l'enfant, la mère, la mer, les nuages, les lecteurs. C'est vraiment parfait. Enfin je trouve. L'écriture un peu hésitante au début, comme uen découverte de la découverte de cet enfant. Et puis elle reste frêle et simple, mais prend de plus en plus en plus d'ampleur, de poésie. Pour l'histoire, c'est parfaitement calibré. Un rêve flou et précis, comme les vagues. Entre la première et la dernière phrase, il pourrait ne rien s'être passé. Alors que… Et puis non, pas alors que ; car peut-être ne s'est-il rien passé ? C'est ça que j'ai toruvé magique dans cette nouvelle. |
Anonyme
11/11/2008
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Oh, quelle perle que ce texte ! Merci Ululo de l'avoir exhumé, il le mérite vraiment.
Poésie douce-amère, récit onirique, initiation, voyage aux confins de l'imagination débridée... des mots et un style très particuliers en tout cas. On reste étonné, sur cette plage, à la fin de l'histoire. On se demande un peu quel voyage on a fait, et si on n'a pas rêvé tout ça. Je déplore également quelques répétitions inutiles du mot "baleine", qui alourdissent un tout petit peu certains passages. Mais c'est si peu de choses à côté du reste, à côté de la vastitude des océans, des mémoires qui s'imbriquent jusqu'à l'origine du monde. Un très beau moment de lecture pour moi, de poésie même. |
Anonyme
11/11/2008
a aimé ce texte
Passionnément
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C'est le plus beau texte que j'ai lu depuis cinq semaines que j'ai découvert Oniris. Et pourtant, je n'ai pas chômé.
Merci de l'avoir fait revenir à la surface. Est-ce une nouvelle? Est-ce une poésie? On ne cherche pas, on se laisse emporter par le chant des baleines. |
Menvussa
12/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est complètement surréaliste, poétique et tout simplement beau.
Elle rend l'eau à l'eau. Des sanglots de baleine. Un poème de larmes. Une leçon d'humilité que nous donne la baleine. |
Selenim
19/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un texte délicat porté par une poésie naïve et hypnotique.
Il y a dans ce récit un peu du chant des baleines. Une litanie enivrante, qui laisse le lecteur fasciné comme face au balancement d'un pendule. L'écriture n'est pourtant pas exempte de défauts : répétitions de mots, redondance des thèmes, vocabulaire limité. Mais il y a une douce alchimie subtile, un truc indécelable, la cannelle dans la tarte aux pommes, le jus de citron dans la blanquette ; cette pincée de rien qui transmute l'eau en océan. Indéfinissable et primordial. Selenim |
littlej
14/5/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Magnifique.
Sans doute une des meilleurs nouvelles que j'ai lu sur Oniris (dans le top 5). Le fond est d'une originalité, à mon avis, quasi-inégalée sur le site. Quant au style, oh ! qu'il est beau ce style. Comment exprimer d'une manière si claire, si limpide quelque chose de presque indéfinissable, de tortueux, de bizarre ? Je salue cette prouesse hors-norme. Véritablement, à plusieurs reprises, je me suis exclamé : "c'est très fort !" Et, véritablement, je ne m'exclame ainsi qu'à la lecture des œuvres de grands maîtres. C'est très fort. Toutefois, il y a un manichéisme qui me rebute un peu : les hommes c'est les méchants et les baleines c'est les gentilles, bof bof. Une morale que ne mérite pas la nouvelle. Mais ce n'est pas méchant. Encore une fois, je reste admiratif. j |
Anonyme
28/12/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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"et moi je regarde la mer", ainsi renzo finit son texte, un texte d'une grande poésie, un texte très sensible, très visuel. Beaucoup de grâce dans cette écriture, d'amour de la nature dans ce texte. La baleine, symbole de la majesté de la nature. Humaniste est le regard de l'auteur.
Des répétitions oui, mais je ne vois pas comment les éviter. bah on dira que ça fait litanie. |
placebo
2/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un long appel déchirant à sa mère qui m'a profondément ému. Peut-être est-ce ce regard d'enfant, déjà annoncé dans le résumé, sans doute aussi le rôle de la mer... Il se peut que la nuit qui m'entoure joue son rôle :p
Sans m'étendre dessus, on va dire que l'océan, sa profondeur, m'effraie. Être une baleine, c'est n'avoir comme ennemi que l'homme. Mais quel prédateur ! Et la souffrance glacée du quotidien bien décrite... dommage que les sentiments soient ensevelis dessous. Pas envie de chercher les problèmes dans le style. Pas vu de problème. Bien que l'alternance mère/maman soit bizarre. Encore qu'il y ait une logique due à l'intonation de la phrase :p Jolie idée. Le corps de baleine, c'est mieux que celui de cafard. Bonne continuation. placebo. |