|
|
jensairien
25/1/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
presque amusant mais il manque le petit quelque chose qui ferait que ça ait du goût. Un peu facile aussi mais pour un livre illustré d'enfants, ma foi, c'est tout à fait respectable.
|
Filipo
25/1/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
La transition est étonnante entre la partie "adulte" et historique du duel et la réalité enfantine... Le but étant de créer une surprise comique, j'ai plus été déstabilisé qu'amusé... Un effet qui n'a pas fonctionné (sur moi).
L'expression est fluide, quelques répétitions, mais la lecture reste agréable. |
dude
25/1/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Je n'ai pas été emballé par la scène du duel. L'action n'est pas assez fluide, plombée par la lourdeur de certaines phrases.
Par contre, la suite est plus réjouissante. J'ai bien aimé la transition entre l'imaginaire et la réalité des deux garçons en train de jouer. Et les dialogues font sourire. Le coup de la petite soeur et son jouet cassé (pauvre Monsieur Hippo) ont un air de déjà-vu. Un peu cliché pour une telle histoire. C'est une histoire plaisante mais pas suffisamment écrite à mon goût. |
Togna
25/1/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Je vais être désagréable, mais c'est pour t'aider :
Les répétitions : « une riposte magistrale qui fit perdre l'équilibre à son opposant qui se retrouva dans une position plus que ridicule. » 2 « qui », un « que » dans la même phrase. « Et messire Gontrand leva son épée, prêt à l'occire, mais messire Louis roula sur lui-même et se releva prestement pour récupérer son épée. » 2 « épée » dans la même phrase. « Messire Gontrand eut un moment de doute et baissa sa garde, profitant de cette opportunité messire Louis attrapa le gros homme par le bras, mais messire Gontrand agrippa le bedonnant par son autre bras, chacun tirant de son côté le pauvre homme qui n'avait rien demandé. » 2 Hommes. La ponctuation : Les enfants mettent beaucoup d’intonation dans leurs jeux. « - Rends-toi misérable au nom du cardinal ! » > « Rends-toi, misérable ! Au nom du cardinal ! « - Jamais au nom du Roi, rétorqua messire Louis en fixant son adversaire droit dans les yeux, plutôt mourir ! » Ici, le manque de virgule après Jamais, donne l’inverse du sens voulu. « - Au nom du Roi, Jamais ! Plutôt mourir ! rétorqua messire Louis en fixant son adversaire droit dans les yeux. » Lis ta phrase à haute voix : « - Bien monsieur Gontrand il est temps de partir couler un ou deux navires de la garde royale ! » Maintenant celle-ci : « - Bien. Monsieur Gontrand, il est temps de partir couler un ou deux navires de la garde royale ! » Ce sont des exemples, je pense que tu devrais revoir la ponctuation de ta nouvelle en la jouant à haute voix. Sinon, c’est mignon et sympa. |
victhis0
26/1/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
il y a une idée sur la transition dans le monde des enfants ; à part ça, le style manque de muscle, de joie, de jouissance presque. Ca vaudrait largement le coup de la reprendre, à l'aide des commentaires (surtout ceux de Togna) pour en faire un truc plus travaillé, plus équivoque dès le début (mélangeant le crédible et la dythirambe) afin de piéger, d'intriguer davantage le lecteur...
|
Menvussa
26/1/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Alors que je trouvais ce duel un peu tiré par les cheveux, voilà que je me retrouve dans un grenier en compagnie d'un hyppo. manchot et de deux gamins. Surprise fort agréable. Bravo.
|
Ephemere
29/1/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Le début est un peu ridicule mais heureusement contrebalancé par la fin. Trop simple à mon goût.
"Il est vrai que la rue pavée de Paris..." donner plus de soudaineté, le grenier était pour les enfants la rue pavée ; exemple, soudain, la rue pavée de Paris disparut ... FMR |
Nongag
11/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Sympathique mais un peu mince...
Effectivement, ça ferait peut-être l'affaire pour de jeunes enfants. Mais, le vieux gamin que je suis reste sur sa faim... |
marogne
1/4/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
J'ai commencé par trouver un peu long la scène du duel au début, me demandant s'il n'y avait pas erreur de catégorie. Le basculement dans le monde réel m'a surpris, je ne l'avais pas vu venir, mais la suite m'a encore laissé sur ma faim. Peut être un manque de rythme pour ce genre de texte, oin devrait être essoufflé à la lecture, mais on regarde, presque, à combien est de ligne la fin.
Peut être une question de ponctuation en effet, et de phrases peut être trop longue pour de l'action, et trop longues pour des enfants. |