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alvinabec
26/11/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
C'est joli comme tout cette histoire fantasmée d'après l'oeuvre de Gustave. Il me semble que le texte gagnerait à être plus étiré, plus fouillé sur les émotions du vieil homme suscitées par la rencontre du thésard qui, somme toute, lui a fourni un regain d'énergie. Développer le 'à quel point...fortifié' est ce qui est attendu par votre lecteur. Comment par la grâce du pinceau le narrateur se réapproprie son avenir fait aussi partie du récit. |
carbona
26/11/2015
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour,
Votre nouvelle m'a attirée. J'aime beaucoup le tableau auquel vous faites référence et je trouve que c'est une belle idée d'écrire des textes en rapport à des oeuvres d'art. Or, je n'y ai pas trouvé mon compte. Déjà, je pense que le rythme est trop rapide. Je ne sais pas combien de temps a mis Courbet pour peindre "Le désespéré" mais là ça va trop vite à mon goût. J'ai visualisé le tableau au fur et à mesure de la création que vous suggérez mais je n'ai pas été emportée. D'autre part le texte balance entre l'histoire qui se cache derrière le tableau et l'exécution du tableau en lui-même, deux parties trop scindées à mon goût. La partie narrative est trop évasive, pas assez explicite. Et la partie descriptive trop superficielle, trop rapide. "J'ai donc repris mes pinceaux abandonnés le jour où ma famille a péri dans un accident. " < information mal amenée Je n'ai pas compris le titre. Séraphin est donc le narrateur j'imagine. Merci pour la lecture. Je trouve que votre initiative est tout à fait louable. Carbona |
in-flight
28/11/2015
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Court texte qui vaut surtout pour la description que vous faites du tableau (paragraphe du 7 novembre). Mais je n'ai pas eu beaucoup prise sur cette nouvelle. Ce Mario est un acteur qui semble avoir un effet curateur sur le narrateur mais tout cela semble fait dans l'unique but de parler technique de peinture (27 et 28 octobre). "Horizon bouché. Aujourd'hui le pays consacre si peu d'argent à la recherche... " --> digression. Les circonstances de la rencontre ne sont pas très bien amenées ou un peu forcées: "Notre rencontre... un pur hasard ! Je donnais à manger au compagnon de mes vieux jours, mon canari" Ce récit pourrait être le passage d'une correspondance épistolaire ou d'un journal (comme l'indique le titre) ; mais en l'état, je n'ai pas su saisir vos intentions. |
jaimme
29/11/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Et quelques jours plus tard...
Beau texte sur les attentats. Fauché en plein vol, en plein espoir de retour à la vie. Mais le tableau est un pressentiment. Une écriture épistolaire qui fait la part belle à l'humanité. Un peu court peut-être. J'ai aimé. |
vendularge
16/12/2015
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour,
J'aime beaucoup les récits de forme épistolaires surtout quand ils nous racontent l'histoire d'une œuvre ou plus exactement dans ce texte, une histoire inspirée par une peinture de Gourbet. J'ai mis un petit moment à comprendre parce qu'en vous lisant on découvre qu'il peint la photo de Mario, jeune chercheur parti en Australie, rencontré lors du tournage d'un film sur la Commune de Paris. Comme vous le savez sans doute, il s’agit d’un autoportrait du peintre peint 20 avant la Commune. Il s’agit donc d’une histoire inspirée par le portrait (et vous le dites) sans aucun lien avec la réalité de l’œuvre, ce parti pris est intéressant. Ceci-dit, c’est trop court et même si j’aime beaucoup le 7 novembre, je crois que vous avez la possibilité de développer… Merci |
lala
16/12/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour rouelibre,
Je trouve l'incipit un peu confusant. Bien sûr la toile de Courbet est décrite, mais on ne sait pas si c'est juste anecdotique ou si vous approchez aussi le contexte du peintre et l'histoire du tableau. Le titre contient la même ambiguïté, pourquoi Séraphin et pas Gustave ? J'ai vraiment aimé votre récit et ce rapprochement entre le vécu compliqué, le caractère tourmenté par nature du peintre, et la restitution picturale que livre ce « Désespéré ». Vous auriez pu développer. |