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Anonyme
9/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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En voilà une nouvelle chevaleresque. Tout ce que j'aime ! Quelle belle aventure en compagnie de ce chevalier envoyé par son roi régler une affaire des plus périlleuses et sanglantes... A ses côtés, Prescotte, qui l'accompagne depuis cinq ans dans ses aventures dangereuses mais ô combien stimulantes, et qui se révèle au final être une sorte de sorcière tueuse de lémures et bienveillante... et qui s'offre un mariage à la clé - certes païen, mais tout de même !...
L'histoire m'a immédiatement fait penser à la Bête du Gévaudan, sans pour autant tomber dans le plagiat ou le cliché. On y retrouve l'atmosphère de l'époque (plus ou moins), l'épisode du Gévaudan ayant eu lieu dans la seconde partie du 18ème siècle (dans les années 60 ou 70 il me semble), alors que cette nouvelle devrait plutôt se dérouler dans la période du Moyen Âge. Bref, je me suis régalé en vous lisant. Bravo, Wall-E |
carbona
11/2/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je n'ai pas du tout accroché, désolée. On patauge, les dialogues sont agaçants avec le parler patois de Prescotte. L'écriture est dense, chargée, peu fluide. Mais c'est l'histoire surtout qui coince, la Saint-Valentin semble vraiment rajoutée mais ça ce n'est pas grave, mais l'histoire des démons, de la sorcière du chevalier... ça ne me botte pas. Et pourtant j'étais très emballée par le début. Le couple pendu aux crochets, c'était extra ! Un serial killer en somme. Mais finalement l'intrigue ne repose pas là dessus donc c'est dommage. Carbona |
vendularge
14/2/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Voilà une vision originale de la St Valentin, le chevalier et sa glaiseuse de sorcière, les lémures et les paysans du coin à la Pasolini..ça change du petit diner obligatoire du 14 février avec roses rouges et déclarations d'amour sans intérêt à l'américaine. La phrase: "Un hall faisait office d'hôtel de ville" crisse un peu dans ce moyen âge...;) Merci |
Anonyme
16/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le style et le thème sont tellement caractéristiques que je n'ai aucun doute sur son auteur. Il y a, en effet, nombre de similitudes avec une autre de vos histoires où le héros s'enfonçait dans un souterrain. Créatures maléfiques et sorcières étaient aussi présentes.
Ceci ne gâche en rien mon appréciation qui ne peut qu'être admirative. Surtout dans la restitution de l'ambiance médiévale, finement rendue. J'ai bien aimé également les remarques appropriées et pertinentes sur les conditions de la foi, le rapport à Dieu. Reste un malaise. Prescotte a utilisé la magie noire, elle va donc en payer le prix. Moi qui aurait voulu qu'elle coule des jours heureux avec son chevalier balafré... |
Bidis
26/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le texte accroche dès le début, dès la présentation d’ailleurs. Une énigme policière, chouette ! Et bien enlevée : l’écriture emporte la lecture.
Et j’ai lu la suite avec un enthousiasme qui est allé croissant. Peu importe que, par moments, j’aie trouvé le texte un peu embrouillé, l’action est rudement menée. Moins d’intrigue et plus d’horreur : le registre est différent que ce que j’attendais. Mais je n’ai pas perdu au change. Je me suis bien amusée et j’ai trouvé plaisant qu’il y ait, à mon avis, une philosophie sous-jacente. |
hersen
26/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Les "Glaiseux". Retour.
C'est la saint-Valentin, on parle d'amour. Mais c'est corsé, car Dieu s'en mêle, et la magie noire (l'un va-t-il sans l'autre ?) Mais l'amour triomphera. J'ai adoré c't'ambiance d'un village moche, en plein hiver, du glauque partout; exactement là où je n'aimerais pas être. Dans le fond, j'aurais peut-être préféré que la blondine et le chevalier ne tombe pas tout de suite en amour, ( ou ne le dise pas explicitement, ça faisait mon affaire aussi) et cela seulement dans le but égoïste d'en avoir un autre épisode bientôt ! Une petite question :"originant" ça le fait pô, j'crois ben en bon français. Une petite déviance vers le verbe anglais "originate" ? Mais j'ai peut-être tort... Merci pour cette lecture. |
troupi
27/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je découvre Shepard et m'en vais de ce pas lire d'autres nouvelles de cet auteur.
Moi aussi j'ai immédiatement songé à des images du pacte des loups. J'ai adoré ce texte, une saint-valentin comme jamais. Une atmosphère terrible servie par une écriture sans faille. En plus une période que j'apprécie beaucoup, en plein dans le mille pour me plaire. Merci. |
Anonyme
27/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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C'est plaisant à lire. Il y a du style. Des niveaux de langage différents. La simulation du langage paysan, avec ses élisions de lettres et ses apostrophes, si elle est utile, possède le dont de m'agacer très rapidement (la lecture n'en étant pas très aisée), mais vous avez su ne pas en abuser pour jouer aussi sur d'autres registres, sur la syntaxe et le vocabulaire. J'imagine que situer l'histoire à une époque assez ancienne n'est pas chose aisée, mais j'y ai cru.
J'ai noté deux trois choses au passage : 1. "Reynald Cantebrian, chevalier en armure, se gelait le souffle malgré son épais manteau de fourrure" : j'ai essayé d'imaginer le voisinage d'une armure et d'un manteau de fourrure, mais n'y suis pas parvenu. Est-ce possible ? Bien sûr, le terme "chevalier en armure" ne signifie peut-être pas que l'armure est portée à ce moment-là, mais tel que c'est écrit, j'ai l'impression que oui. 2. "Pourtant, ça a entombé pendant six années !" : Je ne connaissais pas le verbe "entomber". J'aurais pu croire à un néologisme, ce qui aurait été incongru, dans ce récit. Eh bien, non ! Merci pour cette découverte. 3. "Il avait depuis longtemps abandonné l'idée de trouver une compagne autrement que dans un bordel" : j'ai tiqué sur l'emploi du mot "bordel", le trouvant un peu trop moderne pour ce récit, mais, vu le soin apporté pour le reste, je suppose que vous devez avoir raison et que je me trompe. 4. "Sa mère lui avait décrit la laideur des lémures et leur absurde désir de vengeance originant d'une mort cruelle." : je ne connaissais pas le verbe "originer". J'adore ce genre de découvertes. Ca donne beaucoup de style à la phrase. 5. "Il sera la femme contre lui, le destin lui jouait une farce de mauvais goût." : je suppose qu'il manque un "r" au verbe "serrer" car je ne peux pas croire au verbe "être". Je ne suis pas particulièrement amateur de ce genre de récits, mais vous avez su le rendre agréable par l'écriture. |
Anonyme
28/2/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonsoir,
Je ne suis pas bonne lectrice pour ce genre de récits, avec mes excuses à l'auteur. Le style est assez fluide, et l'histoire en soi pas trop mal tournée, mais le champ lexical ainsi que la narration ne m'ont pas du tout plu. J'ai du mal avec le patois parlé par les protagonistes, même si je trouve le texte semé de très jolies choses. (il manque un r à serra, je pense...) De plus, je ne suis pas convaincue par la mise en exergue de la St Valentin, somme toute assez accessoire dans le récit. Pour m'accrocher il aurait peut-être fallu que le récit comporte plus d'émo. Là tel quel, je n'y ai rien trouvé de réellement accrocheur. Merci pour la lecture. Bonne chance pour le concours ! |
macaron
29/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Du bon travail je trouve! Une histoire moyenâgeuse avec sorcière et démon, chevalier sans un, mais preux et mystique. De quoi passer un bon moment! L'histoire d'amour boitille un peu, c'est le seul défaut que je lui trouve, l'émotion à peine suggérée; tout est dans la douleur, très religieux après tout. La scène du combat contre le lémure, détaillée, visuelle, animée par le doute et les appels à Dieu, reste le grand moment de cette nouvelle, agréable à lire, dépaysante, dans un genre peu représenté sur le site.
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Misou
29/2/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Voilà une histoire que j'ai adorée.
Les personnages sont bons. Le twist de la sorcière est très bien utilisé pour mettre à mal les croyances, sinon les fondements, du héro. Avec sa remise en question qui commence par ce «Quel imbécile, jamais je n'aurais pris tel risque pour quinze écus…», c'est si «vrai». C'est une Saint-Valentin qui tourne mal, qui fini bien. Cette liberté avec le thème imposé sert l'histoire et le héro auquel ont s'attache d'autant plus qu'il ne se révèle pas fanatique. J'ai découvert que j'étais dans de la fantasy en lisant «son épée sanctifiée pourfendeuse de démon». Il est de ces détails qui vous situe un texte sans trop en faire et permet ensuite d'amener monstre et sorcière. Excellent. |
MissNeko
25/7/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J ai adoré!!!!! J avais aimé leur première aventure et je les retrouve avec plaisir dans cette histoire d amour de sorcière et de chevalier.
Merci pour ce partage. A quand la suite ?????? |