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Anonyme
18/11/2010
a aimé ce texte
Bien
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Une nouvelle simple et très agréable pour ça. D'une part j'aime l'effort fait pour planter le décor, pour nous plonger dans la vie d'Athènes. Certes la multiplication des noms grecs est parfois un chouïa lassante dans le sens où celà n'apporte pas grand chose au texte, mais c'est quand même une bonne mise en place. J'aurai aimé que l'auteur insiste un peu plus sur les sensations cepenadnt et les bruits.
La suite roule doucement, et se lit facilement. Certes le poisson rouge n'est pas tropical, mais dans ce genre de récit ce défaut est bénin. Et une chute attendue mais pliasante en ce sens où elle ne nous trompe pas, et se lit avec plaisir. Breef, un bon texte plaisant. |
costic
21/11/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai adoré faire la connaissance de l'admirable Richter. L'écriture est soignée et on dévore la nouvelle avec facilité. Seule la mise en route et les explications sur la rue Athinas m'ont parues un peu superflues . Les autres descriptions sont savoureuses. Je souhaite bon vent à ce poisson devin et aventureux espérant qu'il connaisse de fortes houles.
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doianM
24/11/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Si j'ai bien compris l'histoire le poisson Richter ne prévoit pas les séismes: il les interprète à sa manière, quand ils se produisent, il s'en réjouit.
Toutes les secousses lui sont agréables, d'où la fin de sa carrière sur un bateau. Amusant sujet. Et davantage la communication établie par le narrateur à l'aide du code Morse. L'écriture est fluide, plaisante. On peut trouver le style un peu prétentieux. Ca gêne pas outre mesure. Puis ça dépend du goût du lecteur. L'économie du texte. On lit tout, on apprécie la précision des détails sur la rue Athinas. Intéressants. Cependant, le sujet étant ailleurs, nous arrivons au micro-drame ressenti par les auteurs, professionnels et amateurs: un passage est sublime, exceptionnel; or, la mort dans l'âme, je le trouve inutile dans l'architecture de l'ouvrage. Et je dois le supprimer. J'ajoute, pour éviter tout malentendu, que les passages peut-être superflus, ne manquent pas cependant d'intérêt. Merci et bonne continuation |
Anonyme
24/11/2010
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Histoire amusante avec un poisson sympathique.
Des passages un peu longs dans la description des rues, c'est le cas des trois premiers paragraphes. Les idées sont intéressantes comme le cas de la rue Athinas, et l'ambiance créée par les commerçants. Mais on ne rentre pas assez vite dans le vif du sujet. Comme cette partie :"Cette année-là cependant, je ne pouvais m’attarder très longtemps dans la capitale. J’avais dû céder à l’insistance d’un couple ami ... ils gagnent Kimi tous les week-ends et s’y installent pendant leurs deux semaines de vacances." Est ce que tout ce paragraphe est utile à l'histoire ? A mon avis, cela casse le rythme. En fait cela donne l'impression qu'il y a deux histoires : l'histoire du poisson, et une visite touristique en Grèce, les deux mériteraient à mon goût d'être davantage mêlées. Bonne continuation |
alifanfaron
1/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une histoire pour le moins originale, une écriture très agréable qui, par sa maîtrise, nous fait passer les "bizarreries" du texte pour normales. C'est rafraichissant et léger. C'est un texte qui donne le sourire.
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aldenor
5/12/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J’ai un faible pour Athènes ; je me suis réjoui de la promenade, un peu insistante quand même…
Les traits d’humour sont nombreux et réussis. Encore que pas toujours suffisamment mis en valeur. Car il manque à l’écriture une certaine concision. Par exemple, prenons le grand moment, la rencontre avec Richter : « … au lieu de s’ébattre bêtement et de faire, comme l’Argan de Molière, des allées et venues dans le sens de la longueur ou de la largeur, il restait au milieu de sa cage de verre et me fixait de ses yeux bagués de blanc. À force de l’observer, je me rendis compte que les bulles qui sortaient de ses lèvres suivaient une cadence tout à fait irrégulière, comme si elles transcrivaient une sorte de code. Je battis alors le rappel des notions que j’avais pu acquérir en ce domaine pendant les douze mois où, sous prétexte de défense nationale, les autorités de mon pays m’avaient fermement invité à porter l’uniforme et où j’avais pu, grâce à des protections inavouables, servir comme plombier auxiliaire dans une unité du contre-espionnage. Je compris qu’effectivement cette pauvre bestiole, elle-même initiée aux codes secrets par un vieux morse qui avait fait retraite dans les eaux tropicales, essayait de me transmettre un message. » Beaucoup de détails sont très drôles : cette manière de glisser les « protections inavouables ». Le vieux morse ! Plombier auxiliaire du contre-espionnage ! Et bien sûr les bulles, une idée géniale ce morse en bulles. En même temps certaines lourdeurs gâchent la lecture : « À force de l’observer, je me rendis compte que les bulles… » ; suggestion : « Etonnamment, les bulles … » « Je compris qu’effectivement » est superflu et « bestiole » me semble inapproprié pour un poisson… Un point d’exclamation serait le bienvenu : « …me transmettre un message ! » Merci pour le bel extrait de Yannis Ritsos, mais ces citations de poèmes me paraissent ici déplacées. Un peu confus sur le thème, entre code-bulles et prévision des séismes, sans qu’on n’en saisisse le lien. L’échelle Richter tarde à paraître. Le titre, (inspiré de « A fish called Wanda » ?), n’est peut-être pas le meilleur. Mais plein de bonnes idées et de bons passages d’écriture. |
marogne
5/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Il manque presque les jambes de Wanda … Non c’était le poisson n’est ce pas ? Mais il n’est pas forcément anormal que l’on se rappelle des jambes, non ?
Commentaire du texte ? Pourquoi pas, dans le film le sort du héros est moins gai, mais presque plus poétique. C’est la poésie qui me manque un peu ici. On rentre dès le début du texte dans la Grèce, on arrive presque à sentir les odeurs, à entendre les bruits de la ville, mais on hésite entre brochure et passion, et l’auteur donne l’impression de fuir son cœur pour se réfugier dans la raison. C’était beau de voir le poisson communiquer par bulle, ou en regardant le passant, et l’explication « mammifère marin » de peu d’utilité, voire contre-productive (« productivité » en voilà un mot dont on ne pourra pas critiquer la trop grande poésie). L’épisode sur l’île, qui aurait pu aussi donner prétexte au voyage, pas au voyage, à l’immersion, passe aussi pour moi à côté de l’intention, ou du moins bien sûr à côté de ce que j’aurais voulu ressentir : le soleil sur les pierres blanches, le gris des oliviers, les cigales, …..voire le goût de l’anis. |
Anonyme
10/2/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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For-mi-dable ! ( Ce poisson , bien évidemment ! )
Blague à part : Joli texte que voici ! Un décor suffisamment posé pour qu'on ressente une atmosphère , un air de ne mener à rien de spécial , de badiner avec le texte , mais seulement un air , enfin une petite histoire bien complète ponctuée d'humour et ... d'une certaine tendresse . Que demander de plus ? Une légère audace consistant à ajouter quelques citations poétiques ? Je prends ! Merci à l'auteur(e) pour ce joli moment ! |
victhis0
10/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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C'est sur que la balade détaillée à Athènes est un poil longuette et finalement assez inutile.
L'histoire est plaisante à souhait, poétique et originale. Je note un style un peu emprunté, parfois même vieillot (les galèjades notamment, très surannées) mais qui contraste plutôt bien avec l'inventivité/fraîcheur de cette petite histoire animalière bien menée |