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Anonyme
8/5/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Heureusement que c'est assez court, et bien écrit. Cette histoire de lit a failli m'endormir, mais elle m'a fait penser (avec bonheur) au combat que mena jadis Pierre Desproges, dans un de ses textes, avec les cintres.
Le lit est un loup pour l'homme. J'apprécie la personnification des lattes qui n'en font qu'à leur tête! Mais e regrette que le récit ne soit pas plus vivant , plus percutant. Et si vous introduisiez quelques répliques dans ce récit (rapportez au style direct les paroles que le narrateur adresse à son sommier)? Et quelques phrases exclamatives pour donner du rythme. |
Ariumette
8/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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L'idée est originale, l'humour est bien présent... Ce texte a vraiment tout pour plaire mais... il manque ce petit quelque chose dans le rythme pour en faire soit un texte franchement poétique, soit franchement drôle (ou les 2, pourquoi se restreindre).
Bref, l'humour est affaire de rythme et parfois, ton écriture traîne un peu trop en longueur. Peut-être en coupant en 2 certaines phrases ici et là pour rendre un peu mieux l'impression de bataille, peut-être en employant un vocabulaire moins calinant (mais là ça changerait peut-être trop l'essence du texte)... Néanmoins ce texte a les qualités du conte. En peu de mots, il nous emmene loin, et nous apprend qu'il faut se méfier des sommiers ! Merci Solidane pour cette jolie lecture ! |
Selenim
8/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Et ben non.
Malgré une écriture qui butine déci delà, la trame est ultra slim. Pour déplumer un sujet tel que celui-ci, il faut se débarrasser de sa tête. Aller au bout du délire et de l'absurde. Un récit beaucoup trop timoré et raisonnable. La personnification du matelas est juste une ébauche, une frêle esquisse. |
Menvussa
9/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le parallèle entre cet arbre qui souffre de l’arbrisseau dont on le débarrasse par élagage et cet homme qui se retrouve seul, mais finalement pas plus mal, du moins en apparence, m’a plu. On retrouve ce rapprochement à la fin du récit, une fois le lit sorti, de l’espace, oui, mais ce manque de sécurité.
Entre les deux, il ya cette longue digression. Évidemment, on y voit l’allégorie d’une séparation un peu brutale, un rejet de l’autre qui en définitive laisse un grand vide. Mais, je n’ai accroché que moyennement L’écriture est agréable, le thème abordé d’une façon un peu superficielle. |
widjet
9/5/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Alors, bien sûr c’est traité avec légèreté et drôlerie, mais ce déménagement est pour ma part la résultante de quelque chose de plus triste. Derrière ce texte, j’y ai vu autre chose, l’absence, l’absence de l’autre, celle dont le départ, engendre cette douce folie. Le lit n’est pas un meuble anodin, c’est celui des retrouvailles des corps, des peaux. Pas étonnant que le héros veuille s’en débarrasser depuis le départ de sa douce.
On reprochera à l’auteur de parfois se disperser, mais l’ensemble reste agréable, le rythme ne retombe pas (trop) et l’écriture est enlevée. Je suis sceptique sur la catégorie en revanche. W |
horizons
20/5/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai beaucoup aimé cet texte certainement parce qu'il m'est arrivé la même aventure il y a quelques années, suite à un rupture...Même efforts desespérés, même découragement, pour faire sortir le lit de la pièce (ou son occupant de ma vie?). Mais
l'humour et les jeux de mots s'ils sont ici une forme de pudeur masquent peut-être trop la souffrance affective, qui est pourtant sous jacente dans cette nouvelle. Un peu plus d'ironie encore, de grincements et de larmes (pour une fois) auraient aiguisé ton propos. Mais, pour moi c'était tt de même un bon moment de lecture. H. |
florilange
22/6/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Désolée, pas accroché du tout sur 1 texte pourtant bien écrit. J'aurais souhaité 1 parallèle plus flagrant entre le départ de la personne aimée & l'expulsion du lit, voulu sentir + de chagrin pour expliquer cette rage soudaine. Le lit n'est, après tout & en soi, responsable de rien, sinon de rappeler des souvenirs. Quant au lilas, il ne calmera rien. Déplacer le mal n'empêche pas qu'il faudra l'affronter. Alors, j'aime les symboles, à condition qu'ils soient exploités à fond, surtout avec l'humour dont l'auteur semble être parfaitement capable.
À bientôt, Florilange. |
littlej
19/12/2009
a aimé ce texte
Pas
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L'idée n'est pas mauvaise - l'intrusion du merveilleux m'a plu - mais l'écriture, quant à elle, m'a vraiment déçue.
J'ai senti une recherche de poésie dans les phrases, d'accord mais parfois (souvent) c'est lourd. Et c'est assez ennuyeux par moment. Décidément, je suis allergique à la poésie en prose. Désolé. j |