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widjet
23/6/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Moui. Bien tendre tout ça. Trop sage. Je m'attendais à plus de délire, plus de trouvailles, plus de mordant. Solidane, y'avait moyen de plus se lâcher, non ?
Merci pour le clin d'oeil néanmoins. Widjet |
Anonyme
23/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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L'idée est très bonne, courir après son héros, le pister pour faire connaissance avec lui, imaginer qu'il est bien réel et que son auteur le découvre au fur et à mesure dans sa vie c'est bien vu et ça ouvre des perspectives.
"À ce stade du récit, mon héros vivra, mais moi ?" par contre cette phrase me laisse perplexe. Je ne la comprends pas. Bonne continuation solidane, et au plaisir ! |
nico84
23/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'aime bien l'idée et les commentaires à la fin nous lie un peu au récit (Selenim fut bien le précurseur).
Comme widjet, j'aurai voulu plus de folie. J'ai adoré les réflexions en italiques et j'aurai aimé que tu gardes cette idée jusqu'à la fin. C'est léger mais te connaissant tu aurais pu encore aller plus loin. Original, bravo. Bonne continuation. |
Anonyme
23/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Selenim fait des émules ! Bonne idée que ce "décorticage" d'un texte amenant des commentaires le plus souvent aussi divers que variés... Pour ma part je trouve celui ci Bien sous tous rapports !
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Anonyme
23/6/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Donc l'écrivain son héros et les commentateurs, revisités.
Ca se lit avec un petit sourire mais sans plus. Il y a des pointes d'humour mais pas assez exploitées des idées pas assez poussées, les réflexions en italiques il me semble que c'ets plutôt ce que l'auteur ne s'autotise pas à cause justement du regard des autres non? Pour les jeux de mots il y a du bon et du moins bon... Un peu de facilité. Le tout est distrayant, merci pour ce moment. Xrys |
florilange
23/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bizarre, bizarre... Même le titre. Le héros n'a rien tué puisque, fort heureusement, Solidane est toujours là. La petite promenade bien écrite était amusante. Elle ressemble à 1 joli geste d'amitié, comme pour dire "je suis là, je vous aime & veux être des vôtres". Non? Je peux me fourvoyer mais, selon moi, c'est 1 façon comme 1 autre de se lâcher, quand on est timide. Pourquoi pas de cette élégante façon? (sinon, faut me détromper dare-dare, car je n'aurais rien compris!)
Amicalement, Florilange. |
Anonyme
23/6/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Estcetoi tient la route, le reste...
LOL Non mais bon, Sarbacane, tu aurais pu aller encore plus loin dans le délire... Par rapport à Selenim (que tu cites) l'avantage de ton exercice est qu'un texte y est présenté en avant-propos... un texte ou presque une nouvelle dis-donc! Donc, pour rester cohérente avec ma note à Selenim, je dirais que : - Texte avant coms = Bonne nouvelle - La nouvelle en soi, oui, j'ai aimé les incursions de... de qui au fait? de nous ou des correcteurs? mais j'ai pas vraiment d'absurde et pas vraiment de fil en vrai, mais faut dire qu'avec ces lourds qui te coupent tout le temps, pas évident!!!! - Les commentaires = bof... pas convainquants ou en tout cas pas assez osés, t'aurais pu faire plus... plus vache, plus réaliste... Enfin bel essai en tout cas! |
Manuel
23/6/2009
a aimé ce texte
Bien
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Un peu d"humour, fait du bien; et ce texte est léger.
J'en redemande |
Selenim
25/6/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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L'idée est étonnante mais j'ai vraiment regretté que l'auteur oscille avec trop de superficialité entre l'humour et la réflexion.
Ce texte, il me semble, pourrait très bien "vivre" sans les copies de commentaires finaux. Cet écrit apporte une réflexion sur la création, est-ce l'auteur qui dirige son écriture ou le contraire. Je suis déçu que l'auteur n'ait pas poussé plus loin son introspection, surement prisonnier de ce sens de l'absurde qui le définit souvent. Finalement, je me demande si l'auteur n'a pas eu un peu peur de son sujet, comme si trop se livrer dans ce texte pouvait remettre sa motivation d'écrire en cause. La phrase À ce stade du récit, mon héros vivra, mais moi ? est assez éloquente. Selenim |
DaisyLewis
25/6/2009
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Bonjour
J’ai bien aimé ton texte, car il décrit avec humour les effets secondaires que peuvent avoir les commentaires et les petites plumes sur les apprentis écrivains que nous sommes. Les commentaires sont, malgré nous, au cœur même de l’écriture, au risque d’en perdre sa spontanéité et de ne plus écrire que pour les lecteurs-auteurs d’Oniris. Les « qu'est-ce qu’y vont penser sur Oniris ? » finissent par occulter un peu la création elle-même et freiner les prises de risques. L’exemple du train est assez révélateur. Pour éviter l’humiliation suprême de la répétition des mots – inimaginable chez tout auteur qui se respecte ! - on trouve des textes farcis jusqu’à la nausée, de périphrases alambiquées là où un synonyme ou bien un simple pronom suffirait largement pour éviter les répétions –oups ! Je voulais dire les redites ! Ces effets sont poussés à un tel point d’en ton histoire que le personnage fuit son créateur pour se proposer en offrande aux écrivains du site. Avec cette étrange question en suspens : Mon héros vivra, mais moi ? Je la trouve remplie de souffrance. Je comprends les doutes, mais s’effacer à ce point, n’est ce pas excessif ? Je trouve dommage que le héros ne donne pas d’explication sur son attitude. La relation créateur-créature est si intense, que je ne peux pas croire à un tel renoncement sans la moindre scène ! Un agréable moment de lecture. Au plaisir de te lire DL |
leon
28/6/2009
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai trouvé ça sympa. Dommage que ça fasse un peu la lèche à la fin. Encore que si j'avais été cité, je n'aurais peut-être pas râlé !
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Menvussa
1/7/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Alors j'ai lu et me suis dit : Merde Cékoissa.
C'est étrange, ça me fait même pas sourire, c'est pas mal écrit mais tout de même... j'ai failli descendre en marche. Et puis sur la fin, je me suis mis franchement à rigoler. Finalement tu emmène le lecteur n'importe où, tu le perds un peu mais à la fin il se retrouve. Je ne sais si on peut appeler ça une nouvelle mais c'est un sacré clin d'œil et en définitive, ça me plaît. Bien - Je crois qu'on me l'a un peu soufflé. |
NICOLE
11/7/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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"Tout ça devient un peu fastidieux, et pour le compte, je commence à douter de l'intérêt de poursuivre ce récit"....franchement, moi aussi.
Les commentaires, viennent tant et si bien perturber la lecture (là, c'est voulu!), que l'attention du lecteur finit par ce relacher jusqu'à dissolution compléte (et là, pas sùr que ça soit le but recherché). Je salut quand même l'exercice de style, à l'évidence compliqué. |
marogne
3/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bon, je n’ai pas d’humour, et il est peut être top tard pour lire ce type d’histoire. C’est bien écrit, mais je cherche sans doute trop un sens à ce que je lis, ou attend trop que l’on me raconte une histoire qui titillera la raison ou le cœur. Ici malheureusement je n’ai trouvé qu’une blague entre copains, de celles qui m’ont toujours étonné
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Perle-Hingaud
20/12/2009
a aimé ce texte
Bien
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J'ai aimé l'originalité de ce texte, qui fait intervenir le héros (là, c'est normal), l'auteur (déjà plus rare) et le commentateur (ouarf, je m'implique). Ceci donne des passages savoureux, l'auteur perdant le fil de son intrigue, le héros se cherchant un nouvel auteur sans doute plus stable, alors que le commentateur se tait enfin (mort d'ennui ou contrit, l'histoire ne le dit pas). Dommage, la fin n'est pas à la hauteur, je pense que les commentaires sont superflus. La chute aurait été plus percutante, à mon sens, en abandonnant tout ce petit monde à "Surprenez-moi, et surtout surprenez-les ".
Une lecture cependant agréable. |
Anonyme
21/4/2010
a aimé ce texte
Passionnément
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Rien que le début, grand éclat de rire ; je ne sais si le petit rosé y est pour quelque chose mais « Quel humour ! » !
« - Ah bon, sont tous malades, une épidémie ? C’est ça ! De peste ! » : enfin un auteur qui tient compte des inepties que (nous) j'écris à propos de son texte. « Tu aurais pu écrire : Paris roupille mais Paris houspille. C’eut été plus court et puis ça aurait eu du chien. » : oui du chien, oua oua quoi ! Ptain les auteurs, dès qu'on touche à bébé le chien mord ! Et attendez la fin ; ils vont la vouloir à leur manière les coms. Non, je ne descendrai pas à la station Botz a rit. « je viens de Livarot » : coulant l'humour ! On se croirait sur Oniris ! « Quel humour ! » ; heureusement je n'ai pas de voisin, sinon chez le psy illico le rigolo. « Rien n’est développé » : si ! mon fou rire. |