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Azurelle
3/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Alors un paragraphe nostalgique dont la trame narrative finit par se serrer jusqu'à la fin. Une évolution qui est mené à son terme, intrigue saisissante. Je dirai par compte que le début à des moments est un peu hésitant en revanche l'énumération renforce la nostalgie, tous ces souvenirs qui jaillissent de cet homme sans qu'il puisse les contrôler. Chapeau Sombreheros. C'est également un récit plus que crédible, le lecteur est emporté. Rien que pour ça tu as déjà un bien plus mais j'ai même vu dans ma tête le héros parler au milieu surtout. C'était saisissant. Allez très bien moins.
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widjet
4/10/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Un petit texte mélancolique non dénué de qualités, notamment une écriture fluide et qui dit les choses simplement, sans prétention et évite surtout toute forme d'apitoiement misérable ce qui (de par le sujet qu'il traite) témoigne d'une sensibilité certaine. Pas follement original dans le fond ni la forme, mais une première tentative qui mérite qu'on s'y arrête.
Widjet PS : j'ai reperé une faute, enfin je crois sur à quel point on pouvait les vivres (pourquoi un S à vivre ?) |
aldenor
4/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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D’accord avec widjet, ce texte tout en finesse est empreint de sensibilité et de retenue.
Mais du coup je trouve que ça manque un peu de tonus et de piquant. |
Anonyme
6/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très beau texte. Un rythme particulièrement bien dosé et une bonne alternance dans les longueurs de phrases. Les quelques phrases courtes et sans verbe sont placées à des endroits stratégiques... C'est une belle idée de décrire un suicide tourné vers les moments (enfance ici) qui donnaient la sensation d'être en vie au personnage. Et le retour sur cette sensation d'être en vie : au moment du saut. Comme si toute la période entre son enfance et ce moment n’avaient été qu’une phase comateuse, sans vie.
J'aime le style et les pensées de ce personnage, j'aime sa manière de désespérer seul, en gardant une certaine forme d'humour. C'est dommage que les seuls évènements auxquels se réfèrent le personnage, dans ces derniers moments, soient des scènes hyper médiatiques (11 septembre, Hussein, Woodstock). Le personnage est sans doute un « produit » de notre post-modernité… qui finit par se réveiller ? Chapeau. |
Flupke
29/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour SombreHeros,
Ce texte m’a beaucoup plu. De bonnes trouvailles, de bonnes images. Flash back intéressant. J’aurais préféré peut-être un peu plus d’aération dans les deux premiers paragraphes qui sont assez mastocs. Ave César, ceux qui vont mourir écrivent de plus en plus. Ca semble à la mode on dirait. Plusieurs textes que j’ai lus récemment dont les « je » protagonistes expriment ce qu’ils ressentent juste avant de partir pour le pays des cent-mille fleurs. La fin est chouette. Amicalement, Flupke |