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Anonyme
7/10/2007
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bon il y a une histoire qui pourrait être intéressante si s'était mieux écrit. Reconnaissons que l'auteur sait rendre des atmosphères mais dessevies par un style trop touffu.Bien retravaillé cette nouvelle aurait beaucoup d'attrait
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macalys
7/10/2007
a aimé ce texte
Pas
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Pour ma part, au-delà des maladresses d'expression, je ne trouve pas l'histoire très intéressante, mais plutôt très banale, sans rebondissement majeur (ou alors mal mis en valeur). J'avais deviné la fin dès le début, et je n'ai eu aucne surprise au cours de la lecture. Par contre, de nombreux passages m'ont semblés incohérents : pourquoi l'homme du début veut se débarasser de Doria ? Comment d'amoureuse en vient-elle à rencontrer un autre homme ? Les deux personnages principaux ne sont pas assez développés. Par exemple, dans le passage ou Doria demande au narrateur de lui dire si telle ou telle partie de son corps lui plaît, il aurait fallu selon moi expliquer pourquoi ces parties plaisaient au narrateur, sinon on a juste une énumération inutile qui ne nous révèle rien sur Doria ni sur le narrateur et qui pourrait s'appliquer à toutes les femmes.
Certaines phrases sont mal construites et gagneraient à être élaguées, ce qui permettrait de dégager certaines idées et de mieux les développer, comme dans la phrase : "Notre relation par la suite après cette malheureuse soirée continua quand même son petit bonhomme de chemin, mais je me rendis compte au fur et à mesure qu’elle venait me voir que c’était simplement pour parler à quelqu’un, raconter sa journée, raconter un tas de conneries." Je pense qu'il y avait là moyen de développer l'idée de fêlure dans le couple puis l'idée de routine. Et puisque nous en sommes à cette phrase, le mot "conneries" passe une fois, mais pas deux je trouve, or on le retrouve dans la suite. C'est un mot assez fort, et employé par le narrateur alors qu'il croit encore à son histoire d'amour à ce moment du récit, c'est peu crédible. Dans cette nouvelle, d'ailleurs, il y a peu de recherche de vocabulaire et beaucoup de répétitions, mais cela est peut-être voulu. |
Lariviere
8/10/2007
a aimé ce texte
Bien
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C'est intéressant de publier sur Oniris...
Cela permet d'avoir des avis différents même si ensuite, c'est déroutant pour appréhender la véritable qualité de son texte. Moi, j'ai beaucoup aimé "Doria Diamant"... Je trouve la fin améliorable, mais dans l'ensemble, je trouve à la différence des deux autres commentaires, que la nouvelle est plutôt bien écrite. L'humour et l'autodérision sont présent dans l'écriture et rien que pour cela, l'histoire m'a plu. Il y a aussi un regard décalé et sarcastique sur notre monde. C'est bien... Parmi les maladresses sous entendus par mes comparses, avant moi, je ne retioens de lecture qu'une qui m'a gêné : quand le perso fume un joint chez la demoiselle, j'enlèverai "la drogue" dans le passage "tout en fumant de la drogue..." (on sait qu'il fume de la drogue, il vient de nous le dire puisqu'il est question de joint juste avant. Répétition, donc à mon sens...). Au plaisir de lire... |
Anonyme
8/10/2007
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Les filles qui s'appellent "laisse moi tranquille", franchement, j'adore !! Tu as beaucoup d'humour, et tu sais mettre de la distance dans ta manière de voir le monde... J'ai bien aimé cette histoire... Cela nous rappelle tous forcément un peu quelque chose, et juste pour ça c'est déjà bien pour moi !!
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Bidis
8/10/2007
a aimé ce texte
Bien ↓
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C'est, entre autre, l'originalité d'un rebondissement inattendu dans une histoire banale qui provoque le plaisir distrayant de la lecture. Ou alors, un très beau style.
Ici l'on n'a ni l'un ni l'autre. C'est dommage car on sent une potentialité. Et, je rejoins là Larivière, un humour léger et bienvenu. |
Anonyme
8/10/2007
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Ah ! je souhaite ajouter quelque chose, à mon sens "la qualité de la musique" est intrinsèque, mais dépend AUSSI de la qualité de l'oreille qui l'écoute... Et il en est de même pour la littérature...
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Anonyme
4/11/2007
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une nouvelle bien écrite. Enfin!
Style clair et élégant. Seule l'histoire qui se veut tracer la banalité d'une rupture, reste en demi-teinte. |