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Anonyme
2/7/2018
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Quel dommage cette fin expédiée. J'ai apprécié le rythme, l'écriture de cette nouvelle courte. C'est enlevé, agréable, ça m'a pris sans me lâcher.
Mais voilà, la fin arrive d'un coup, hop comme ça et me laisse une sensation d'inachevé. C'est vraiment dommage parce que le reste est très plaisant. |
plumette
2/7/2018
a aimé ce texte
Bien
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Cet épisode de l'enfance de Chloé a un petit parfum de mystère avec cette fin qui met un questionnement dans la tête de l'enfant au sujet de son père.
J'étais avec Chloé, sur son vélo, en train de dévaler la pente. Les sensations sont là, la vitesse, un peu de peur, le tressautement sur les pavés et puis il y a la chute avec cette portière qui s'ouvre brusquement. Je n'ai pas réussi à croire à la réaction du type qui s'occupe de l'état de sa portière au lieu de s'occuper de la gamine qui gît au sol! Le récit de la mort de la chienne est émouvant . Sur le plan narratif, il intervient comme une remémoration, dans les pensées de Chloé, alors qu'elle est à terre et peut-être blessée ? Cela m'a fait bizarre cette sortie du récit principal qui nous emporte ailleurs. Comme ces digressions sur les gens que Chloé veux mettre dans sa liste. je me demande s'il ne faut pas choisir plus franchement entre action et commentaires sur la situation. globalement, la lecture m'est agréable, je pense qu'il ya encore du travail pour la construction du récit/ les ingrédients sont là, la sensibilité est toujours présente, c'est le positionnement de Chloé qui me pose parfois difficulté. Bonne continuation Plumette |
vb
3/7/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Génial! Génial! Génial!
Tout à fait mon genre! Je sens le vent, la pente, les secousses des pavés. Je vois Ella qui crève sur sa couverture. J'entends le bruit des clochettes. Je vois ce type qui veut son constat. Oui, il manque quelques virgules, mais, franchement, hein? Est-ce tellement important? J'aime tellement que je ne peux être critique. |
Jean-Claude
5/7/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
J'aimais bien la lecture, à peine gêné par un ou deux problèmes de ponctuation mais... c'est quoi cette fin ? Moi aussi je veux savoir pourquoi. Un entrepreneur ? Au sens propre ou au sens figuré ? Et en quoi cela motive le changement le comportement de l'homme à la portière ? Etc. etc. Cette fin casse le texte. Le titre me parait inapproprié. Un texte rempli essentiellement de digressions : la description de la boutique, son passé, la vielle dame, l'accident du chien et l'attitude du père, le copain battu. Pas forcément pertinentes. Au plaisir de vous (re)lire. JC |
Tailme
18/7/2018
a aimé ce texte
Pas ↓
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Il y a des problèmes dans ce texte qui méritent de disparaître après relectures.
Je vais commencer par le style d'écriture. On suit une enfant, donc vous avez opté pour un style simple, parsemé de déformations orales. Pourtant, on retrouve des mots qu'un enfant ne prononcerait jamais : "asphalte" par exemple. Les "on" et les "nous" s'entrecroisent et finissent par déboussoler. Garder le "on" aurait été préférable pour une enfant. Certaines phrases sont longues, parfois infinies. Et certaines répétitions brusquent la lecture comme les "ça". Concernant l'histoire. La digression de Chloé sur son chien casse totalement le rythme. Je me suis un peu perdu. Et cette fin mérite d'être étoffée. Qui est ce père ? Le Diable ? Peaufinez et surprenez ! Ce texte en a la capacité Au demeurant, j'ai lu votre histoire en entier, ce qui est déjà un bon point. Bonne continuation. |
Vanessa
18/7/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
J'ai attendu après l'accident de retrouver le lien avec le petit magasin vert et surtout les bonbons.Je n'attendais même que ça et ce n'est pas venu. J'ai malgré tout apprécié votre narration, avec un très juste côté enfantin . Les tournures de phrases sont parfaitement adaptées à l'âge de la narratrice. Je reste malheureusement sur ma déception . Mais qu'est-il advenu des précieux bonbons ? |
Anonyme
18/7/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour,
Bravo les filles pour cette tranche de vie comme chapardée à l'enfance. Tout est si authentique. On se sent dans la tête de la gamine, dans ce petit magasin vert où je revois le papy qui me servait des caramels à 1 centime (de francs nouveaux à cette époque), le même sans doute mais dans une autre rue, une autre ville, une autre vie. On ressent la détresse de la chienne s'excusant pour cette dernière bêtise, et le père vengeur auquel sans doute il ne fait pas bon se frotter (ce qui donne une bonne explication de la fin). Le style est diablement sautillant comme l’espièglerie des enfants, c'est réellement une jolie histoire même si elle n'a pas de fin. La vie en aurait-elle une ? Mille bravos pour ce souvenir ensoleillé. |
SQUEEN
23/7/2018
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solo974
13/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour SQUEEN,
J'aime beaucoup votre nouvelle. L'usage du présent de narration constitue tout d'abord un gros plus selon moi : il contribue, en effet, à rendre la scène très vivante et favorise, de surcroît, l'identification aux personnages principaux. Vous avez su par ailleurs - grâce aux dialogues notamment - nous les rendre attachants : on suit Elena et Chloé, on a peur avec elles de cette "mauvaise personne" ! Un récit très bien mené, empreint de cet "esprit d'enfance" si cher à Georges Bernanos. Merci pour cette lecture et au plaisir. |
matcauth
14/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
J'ai plutôt aimé votre histoire, cette tranche de vie qui se suffit à elle-même, avec un contexte qui se crée très vite et pour lequel il ne manque rien. On n'est jamais perdu, d'ailleurs même la fin ne m'a pas perdu. J'ai bien vu la situation, l'état d'esprit des filles, l'ambiance, le côté réaliste qu'offre ce contexte. Peut-être que la fin reste un peu en suspens, mais libre à chacun d'interpréter ce qu'il veut, puisque ce n'est pas ça le propos, mais l'état d'esprit, le ressenti et cette évolution dans un monde mystérieux, quand on est enfant. On ne sait pas toujours ce que l'on doit faire, on ne comprend pas tout, tout comme, à un autre niveau, on ne comprend pas tout, une fois adulte. De plus, les choix de chacun sont connectés, sont une conséquence de milliers de critères. Je retiens tout cela dans ma manière de vous notre ici. Merci donc pour cette lecture. |