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carbona
31/8/2015
a aimé ce texte
Pas ↑
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Je n'ai pas accroché, votre texte est bien écrit, ça se lit aisément mais c'est vraiment l'histoire qui m'a désintéressée. Je n'ai pas l'habitude de la catégorie "reflexion/ dissertation", peut-être est-ce tout simplement pour cela.
Je m'ennuie dans ce genre de récit, on ne voyage pas, on tourne en rond dans l'esprit d'un adolescent, c'est très répétitif. Et toutes ces références aux auteurs, ça ne me touche pas. J'ai beaucoup aimé la première avec Rimbaud et après je me lasse. Peut-être est-ce dû au thème: écrire sur l'acte d'écrire... J'ai aimé : "il allait raconter Elise" Bravo, en tout cas, pour l'écriture qui est bonne : fluide et juste ! |
AlexC
17/9/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un texte très parlant pour tout ceux qui se sont confrontés au syndrome de la page blanche. Un texte que j’ai beaucoup aimé. De par son rythme soutenu malgré sa situation statique, son style qui n’en fait pas trop et sa profondeur jamais lourdingue. Vous êtes vraiment aller au bout du sujet avec cohérence et justesse. Bravo. Quelques remarques : -trop de “au moins” -“démonté la jambe” : trop familier Je tique : -“l’attrapant, la serrant, l’empêchant de s’évader” Merci pour ce joli texte. |
ameliamo
19/9/2015
a aimé ce texte
Bien
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Une lecture sympa, même si ils sont des passages longés artificiel. Le désir d’être différent, d’être meilleur que les autres, d’être au dessus de tout le monde, d’être un génie, c’est l’élément essentiel de ce texte. Un rêve qui attend caché dans la tète et, il est suffisant un simple espoir de la parte de quelqu'un pour le libérer Bel fantasme. C’est bien décrite cet état d’esprit juvénile d’espérer.
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jeanmarcel
7/10/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un essai intéressant, bien tourné, sur la difficulté de noircir la page blanche en racontant une histoire...ou son histoire. Toutes ces références littéraires poussent le jeune auteur débutant à se croire (déjà) maudit et le bloquent dans son envol, comme si un guitariste débutant écoutait Jimi Hendrix à longueur de journée ou un peintre débutant restait planté devant un Van Gogh. Même si je n'ai jamais été touché par ce syndrome, je dois reconnaître que le texte est riche et bien documenté, intelligent et pédagogique. Strawbob en a sous la semelle et doit s'affranchir d'une certaine sagesse dans le récit pour vraiment captiver son lecteur dans ce genre particulier qu'est la nouvelle. Un petit grain de folie serait le bienvenu, mais cela n'engage que moi bien entendu. Vas-y Strawbob, lâche-toi.
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alvinabec
7/10/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Strawbob,
Le titre est bien choisi à mon sens. Bon, ce jeune homme qui se tient sec devant sa feuille, ça n'est pas une révolution mais ça se veut une réflexion sur les atermoiements de l'écrivain (ou supposé tel) débutant et c'est pas mal ficelé. Comme tout scribouillard qui se respecte, il se compare aux plus grands, les cite (mal à propos d'ailleurs ce qui rend le discours touchant), se dit que ...et puis que...ce qui prête à sourire. Un bémol: si vous pouviez enlever la référence à Wiki...ça fait cheap en diable pour un futur littérateur de belle facture. La stylistique ici employée est en tous points adaptée au récit. A vous lire... |
Blacksad
7/10/2015
a aimé ce texte
Bien
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Un texte sympathique, plutôt bien écrit et qui dépeint avec justesse les affres des écrivains en herbe et plus généralement des adolescents... je pense qu'on aura tous reconnus quelque chose de soi-même, de ses doutes, de ses espoirs, ce qui signifie que c'est bien vu, bien retranscrit =)
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Anonyme
8/10/2015
a aimé ce texte
Un peu
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Mystère et malheur, c’est vous qui l’écrivez. Voilà les deux mots marquants la page blanche devant laquelle bataille votre héros.
Deux mots qui, de mon point de vue, résument assez bien le grand « pourquoi » qui nous pousse à prendre la plume. Votre écriture est limpide à ce sujet. Après, je n’ai pas l’impression que les tourments qui agitent le narrateur correspondent à une personne de dix-huit ans, exceptés les fantasmes d’ado sur Justine et Elise. Il me semble qu’à cet âge, on fonce davantage que de se perdre en considération. Et puis, franchement, une vraie âme d’artiste se pose-t-elle vraiment la question de devenir ou pas célèbre ? Deux invraisemblances qui m’empêchent d’apprécier totalement cette nouvelle. Peut-être aussi à cause du genre « réflexion dissertation » qui n’est pas ma tasse de thé habituelle. Je vous tire cependant mon chapeau, vous qui osez faire ce que jamais je n’oserai : écrire, et vous le faites bien. Merci |
bigornette
8/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Bon, je ne devrais pas le dire, mais j'ai beaucoup aimé. Je n'aurais pas dû le dire parce que je vais devoir me justifier. Parce que si j'ai beaucoup aimé, c'est parce que le sujet m'évoque quelque chose de familier. Quel écrivain ne s'est jamais posé ce genre de questions : suis-je un bon écrivain, suis-je publiable, suis-je le nouveau Rimbaud ? Quel écrivain peut avouer sans rougir ne s'être jamais intéressé à l'âge des plumitifs célèbres au moment pour eux d'être reconnus ? Quel écrivain n'est pas intéressé par les appréciations sur Oniris ? Les commentaires, c'est une chose ; les appréciations, vous me corrigez si je me trompe, mais c'en est une autre. Votre nouvelle est pour moi un hommage sensible à tous ces littérateurs en herbe qui ont malheureusement trouvé la réponse à cette question : suis-je un génie ? Question posée parfois même plusieurs fois au cours d'une vie. Voire tous les matins. Question que je me pose en ce moment. M'aimera-t-on plus tard ? Merci. |
Lulu
10/10/2015
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Strawbob,
j'ai bien aimé votre texte dans l'ensemble. Pourtant, ce n'était pas gagné, car j'ai trouvé quelques redondances au début, qui ont ralenti ma lecture, comme, par exemple : "Alors si ce n’est pas maintenant, ce ne sera jamais : demain il sera trop tard." => le "demain il sera trop tard" me semble de trop. Cependant, plus l'on progresse dans la lecture, plus l'on a l'impression d'une écriture très fluide ; les pensées du personnages sont bien rendues, déversées à foison. J'ai bien aimé cet aspect là. De ce point de vue, j'ai trouvé votre texte très réussi. Par contre, je n'ai pas du tout aimé - vraiment pas ! - l'expression "ces putains d'enculés". Etait-ce indispensable ? De même, plus loin, on retrouve, et en majuscules, pour le cas où on serait déficients visuels... "une seule putain de fois"... Ces mots vulgaires n'ont pas, pour moi, leur place en littérature. Ils font trop oral, et c'est un oral que je déteste... Tous mes encouragements pour la suite. |
Bidis
11/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour moi, ce texte est comme une déchirure dans un bâillon. Je le trouve très fort en ce sens. Mais il demanderait peut-être une écriture plus forte, plus percutante ou plus belle, je ne sais pas, pour que le cri s'entende tout à fait bien.
Néanmoins, je trouve qu'il est très difficile d'exprimer les désarrois d'un adolescent devant la difficulté d'exprimer sa pensée, une pensée lumineuse parce qu'entière, mais une pensée inaudible par l'adulte qui, lui, a perdu beaucoup de son intégrité. J'admire donc que l'auteur soit parvenu à surmonter cette difficulté-là si je trouve l'écriture un peu maladroite. |
lala
17/10/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Strawbob,
Je me suis laissée emporter dans vos phrases comme dans une vague tiède. Votre rythme est lent mais rien ne presse, vous écrivez comme les pensées qui passent. Il y a des brins d'humour ou d'inattendu qui viennent relever vos phrases souvent longues et agrémentent une réflexion qui aurait pu devenir soporifique. Par exemple : « Rimbaud écrivait à la main », « changer celle de milliers de gens, au moins une centaine », « l’horloge tournait, les secondes, les minutes, les années », « les restes de la feuille morte » etc. J'apprécie également les différents niveaux d'abstraction, les digressions qui aèrent le propos : « demain il aurait dix-neuf ans, et demain il serait trop tard », «Il aimait bien dire « la plume » au lieu de « stylo » », « la plume crachota quelques petites gouttes d’encre séchée » etc. Globalement, c'est construit et écrit de manière très correcte et efficace. Les états, les sensations, les hésitations, les pensées, les actions du jeune sont précises et crédibles. J'ai relevé quelques coquilles (à confirmer !) : « Ça y est, il l’avait perdu » : Ça y est, il l’avait perdue (la phrase), « ils pouvaient les sentir » : il pouvait les sentir (le jeune homme), « c’était cela exactement que l’horreur » : c’était cela exactement l’horreur, « les murs de sa chambre qui ne lui avait rien fait » : les murs de sa chambre qui ne lui avaient rien fait. « demain, il avait dix-neuf ans » : demain, il aurait dix-neuf ans. |
Mauron
27/10/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le sujet est rebattu mais la façon dont vous l'avez traité me semble assez spirituelle. En tout cas, ce texte m'a parlé parce qu'il y a de le justesse. Voici ce que j'y vois: de fait, ce jeune homme cherche là où il n'y a rien, il cherche à être reconnu comme un génie, c'est-à-dire, qu'il cherche dehors, il va voir des sommités, Proust, Joyce, excusez du peu, et donc il ne cherche pas en lui. Ce qui est pas mal (mais cela a déjà été fait et refait par bien d'autres) c'est qu'en douce, le narrateur de la nouvelle, lui, écrit pendant que son personnage se morfond. Il réussit là où l'autre (son double) échoue. Il faut "mettre à mort un personnage" pour devenir écrivain, voilà ce que votre personnage ne sait pas encore... Flaubert a fait cela dans "L'éducation sentimentale" , mais aussi Gide dans "Les faux monnayeurs"... Et vous suivez leurs traces. Du moins votre narrateur...
Bon, comme je vous l'ai dit, cette "mise en abyme" n'est pas neuve, elle fonctionne mais j'aurais aimé que ce soit l'occasion de se poser des questions sur ce que c'est qu'écrire (or vous en restez à des réponses superficielles et faciles). Est-ce devenir célèbre (comme le jeune Marin Marais qui veut devenir violiste pour cela dans "Tous les matins du monde"), est-ce se confronter au temps, à d'autres, à des pères, à l'Absolu, au silence?... Tout cela reste à peine ébauché dans votre nouvelle et c'est dommage. |
Anonyme
30/10/2015
a aimé ce texte
Bien
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J'approuve le thème du texte sur l'impulsion intense d'écrire qui ne vient pas, les angoisses et questionnements qu'un jeune homme peut se poser face à tant de "génies. " Le vocabulaire utilisé est accessible et la tonalité du texte est rythmée avec une ponctuation bien utilisée. Mais ça ne va passez loin pour moi c'est à dire qu'à la fin,il manque un vrai rebondissement. Peut être qu'il y a une suite? Et même s'il n'y en a pas le texte pourrait être plus riche encore des turpitudes de ce jeune homme vis à vis de ces grands auteurs qui écrivaient à un âge similaire. On ressent bien la frustration mais pas vraiment l'autre gamme de sentiments abordés comme l'angoisse de la page blanche. L'écueil de ce genre de texte est de mieux décrire l'envie de plaire que l'envie d'écrire.
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singuriel
14/4/2016
a aimé ce texte
Bien
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Le héros est impuissant mais l'auteur à la solution. Jeter sur le papier son angoisse à trouver la première phrase.
Le texte est fluide et bien écrit. Il communique efficacement le malaise et chacun peut s'identifier. L'essai est réussi pour entrer dans la tête de ce jeune homme plein d'illusions et perméable aux comparaisons stéréotypées. Le sujet de la page blanche étant très anxiogène, j'aurais aimé le vivre au travers d'un héros plus âgé et explorer d'autres raisons plus profondes, plus personnelles qui l'empêche d'écrire. La réflexion reste un peu courte bien qu'elle soit adaptée à ce jeune homme de 19 ans. |
AuteurFanatique
11/11/2018
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé oui... mais malheureusement trop d'erreurs et de bêtises...
Je trouve l'histoire intéressante, mais il y a des choses inutiles de racontées et certaines phrases mal formulées. Malgré cela je suis parvenu à me glisser dans l'histoire et je n'ai pas lâché, ce qui montre que c'est malgré tout une belle écriture. Parfois, il y a des phrases qui tombent "comme un cheveux sur la soupe" et je trouve cela dommage, car souvent cela brise la fluidité du texte. Pour conclure, c'est à retravailler par moments mais bravo tout de même! |