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Pascal31
15/2/2012
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un texte un peu court pour en faire une nouvelle à proprement parler. Mais ces quelques lignes, plutôt bien écrites, dégagent une vraie émotion, en évoquant un événement tragique tout en restant pudique et digne.
Je trouve simplement dommage de ne pas avoir développé davantage l'histoire, peut-être en focalisant la narration sur l'héroïne que j'aurais aimé suivre plus longuement, dont j'aurais voulu connaître la destinée. Quoi qu'il en soit, c'est un texte qui, en peu de mots, a su m'amener une certaine émotion. |
placebo
21/2/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Arf, les indiens en terre sud-américaine…
Sur un autre registre, un article m'avait interpellé : http://www.courrierinternational.com/article/2011/10/06/mon-nom-est-parapluie-et-je-suis-ne-le-31-decembre . J'ai songé à en faire une nouvelle et utiliser ce "je", également. Là, je m'interroge un peu sur la dualité auteur/narrateur :) Le problème de ce texte, c'est que j'ai du mal à ressentir les émotions décrites dedans : peur, colère, notamment. Je pense que la faute en incombe à des phrases un peu trop généralistes pour un texte aussi court, déjà : "L’impact de ce long conflit armé contre notre population indigène a été dramatique, nous menaçant simplement d’extinction." Peut-être un léger souci de ponctuation aussi : "Nous, les enfants savons lire et écrire" : j'aurais mis la virgule après "enfants". "C’est au nom des habitants de Terra Verde que je veux bien évoquer notre manifestation" : c'est peut-être de là que vient le souci, est-ce le but du texte ? Bonne continuation, placebo |
costic
24/2/2012
a aimé ce texte
Bien
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J’ai aimé la simplicité de l’écriture. La première phrase embarque bien le lecteur et rappelle le début de romans sud américains. L’histoire touche et émeut. Je regrette un peu le laconisme de la nouvelle qui mériterait d’être davantage développée.
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macaron
25/2/2012
a aimé ce texte
Bien
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Un témoignage poignant sur le petit peuple de Colombie, en l'occurence les indiens Awà que je ne connais pas. Entre les FARC et les cartels de la drogue, peu d'images nous viennent de ce pays certainement magnifique. Votre texte est très court mais dit l'essentiel. L'écriture est simple, au service de la dignité de cette "marcha roja". Puisse un jour devenir un possible "ovido"!
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alvinabec
7/3/2012
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Le premier paragraphe de votre texte est très prometteur. Et puis ça s'arrête là. La suite ressemble plus à un évènement rapporté, un papier journalistique, qu'à une réelle nouvelle. L'intention est bien là, le fait divers excellent pour la trame mais développez, que diable, développez, ou votre lecteur ne fera que passer sans s'imprégner de rien. Ce serait dommage! A vous lire... |
Anonyme
7/3/2012
a aimé ce texte
Bien
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Un peu court à mon sens. L'intention est bonne, le texte est bien écrit,mais on reste sur sa faim. Quelques lignes de plus sur les indiens awà auraient enrichis la nouvelle..SR
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widjet
7/3/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Malgré une écriture simple, sobre et une refus du pathos, un sentiment de trop peu prédomine dans cet hommage. Pas le temps de plonger dans le récit, de faire plus ample connaissance avec le personnage, l'histoire de cette famille ou la grande Histoire même du pays et de sa politique.
Une nouvelle qui tournerait presque à l'anecdote, mais dont l'intention semble davantage être tournée vers le devoir de mémoire (d'où le titre). C'est un choix que je respecte. J'ai été étonné par la formule "L’une des trois filles" alors qu'il s'agit des soeurs de Rosamaria. W |
jeanmarcel
7/3/2012
a aimé ce texte
Un peu
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J’ai eu l’impression de lire l’introduction d’un roman qui occulte volontairement les événements pour mieux les développer dans les chapitres suivants.
Je trouve le résumé des faits tragique et touchant, bien sûr, mais trop plaintif, larmoyant, presque fataliste. Cette absence d’esprit combatif veut-elle démonter que la population était complètement neutre dans le conflit ? Ce village était-il entre le marteau et l’enclume, coupé du monde, à l’intérieur d’un pays en guerre ? Un peuple indigène est-il neutre par vocation ? Pourquoi la milice noire, qui se bat contre l’armée nationale, décime-t-elle les populations qui sont sensées les ravitailler voire les protéger ? Cette absence de réponses claires donne, à mon avis, un récit en forme d’épitaphe du père de la narratrice, une sorte de prière, alors que je m’attendais à un plaidoyer pour la liberté. |
brabant
10/3/2012
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour Sybelhe,
Comment un texte peut-il dire avec autant de placidité des événements aussi horribles. Ce texte parle de sang et pourtant ce texte manque de coeur. lol, je m'explique, vous avez certainement voulu faire comme Hemingway, distancier, dire objectivement dans un style journalistique, relater sans pathos. C'est votre choix et je le respecte. Mais ce texte, s'il m'a informé, ne m'a pas touché. Désolé... Une autre fois peut-être. |
matcauth
18/3/2012
a aimé ce texte
Beaucoup
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Sybelhe a compris quelque chose qu'il est si difficile de comprendre : l'écriture ne doit pas s'encombrer d'artifices destinés à embellir un texte, comme un papier brillant cache une cravate pour Noël.
Ici, tout est pudeur, simplicité, douceur des mots et des phrases. Sybelhe a été plus loin, elle a su s'affranchir de l'inutile. Elle nous livre le texte dans son essence, sans le cacher par mille artifices de sa plume. Alors, oui, on en voudrait plus, cette histoire a tant de tenants et d'aboutissants qu'elle nécessite un plus grand format. Mais cet instantané, car c'est vraiment ça, cette histoire, est très joli. |