|
|
Anonyme
13/7/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Commenté en EL
J'aime beaucoup ce texte mais je l'aurais volontiers classé en "Réflexion/Dissertation" plutôt que dans cette catégorie "fantastique/merveilleux" J'aime bien cette manière didactique de répondre au questionnement de cette jeune personne. Merci pour ce partage |
Donaldo75
19/7/2017
a aimé ce texte
Bien
|
(Lu et commenté en EL)
Bonjour, J'avais lu la première mouture de ce texte dans le même espace lecture qu'aujourd'hui. Il m'avait semblé alors incomplet, pas assez développé. Aujourd'hui, il a un vrai début, même s'il reste très synthétique, comme si l'auteur voulait rentrer directement dans le vif du sujet, l'histoire de Democrates. Je pense néanmoins que l'histoire centrale est le plus intéressant de ce texte au contenu moral, presque philosophique, parce que la narration est prenante. Le reste, surtout la fin, est survolé, comme si l'auteur n'avait pas su quelle direction prendre après avoir raconté une telle histoire. Merci pour la lecture, Donaldo |
hersen
4/8/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Raconter des contes pour illustrer le propos de l'auteur n'est pas mal vu, mais je trouve le tout un peu flou. Notamment concernant la suite des nombres. 20 ? pourquoi 20 ? le mot en soi n'est pas si intéressant, c'est le concept qui compte, les mots viennent après.
Ce texte me laisse un peu sur ma faim à chaque étape. De plus, mais ce que je dis est certainement contestable, il me semble que ces contes ne correspondent pas, pour inciter à avoir sa propre réflexion, à un jeune de 16 ans. Je verrais un enfant beaucoup plus jeune, à un âge où l'on a besoin d'imager. A 16 ans, on a en principe déjà un bagage littéraire plus conséquent pour nous amener à nous poser des questions. A plus forte raison si cet enfant a été accompagné intellectuellement par son père, comme le suggère le début. Edit 4/8 : j'ai supprimé ma première phrase puisque je vois que la nouvelle a changé de catégorie. |
Anonyme
4/8/2017
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Histoire : 2/5 Jérôme, un adolescent, est mis en garde par son père sur la nécessité de penser par soi-même. C'est mince. Pourquoi? Qu'est-il arrivé à ce père pour que cette mise en garde professée sur un ton très scolaire existe? Il ne s'adresse pas à lui comme à son fils, mais comme à n'importe quel élève.
Le concept intéressant dans l'histoire des castes par nombre, c'est que chaque couche est le bourreau de la couche inférieure. Je vois là une réflexion beaucoup plus intéressante à creuser que le sempiternel "si tu ne réfléchis pas à ta vie, quelqu'un d'autre le fera pour toi". Personnages: 1/5 On est en catégorie "réflexion/dissertation", ok, mais les personnages sont inexistants. Jérôme, son père, qui sont-ils? Démocratès est le personnage central en réalité et lui aussi n'est qu'une pensée, pas un personnage de chair et de sang. Style: 2/5 Plat. Rien à dire. Je n'ai pas trouvé une phrase qui m'ait accroché. On dirait le style d'une dissertation. Lé résumé du conte d'Andersen est inutile. Ressenti global: L'introduction est la promesse non tenue d'une réflexion très académique. Cela ne secoue pas beaucoup le cocotier de la pensée. |
Jean-Claude
7/8/2017
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Bonjour Tadiou.
J'ai failli ne pas commenter puis j'ai lu un fil où, à juste titre, quelqu'un suggérait de commenter les catégories qui ne nous attiraient pas. J'ai apprécié le fond mais pourquoi ce titre puisque la société numérale est bien plus développée ? En fait, j'aurais plus apprécié un conte, sur la société numérale par exemple. Je trouve que l'encadrement par le dialogue père-fils n'apporte pas grand chose. A une prochaine lecture. |
vb
9/8/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas ↓
|
Désolé mais je n'ai vraiment pas aimé.
Le sujet m'a semblé banal, évident, tautologique, que sais-je encore? Faut-il tant de mots pour nous apprendre que "Deux et deux quatre / quatre et quatre huit / huit et huit seize... / Répétez ! ..." est une pédagogie surannée. Pour la forme : les deux textes en incise sont plus longs que le récit cadre. Le premier est un résumé d'un conte connu. Donc sans intérêt. Le second pourrait être intéressant s'il était le corps du texte. Il s'agit aussi d'un conte et d'un conte que je ne trouve pas bien écrit, où la poésie est absente et où la morale est dite dans toute sa platitude par le père du récit cadre. J'ai beaucoup aimé 22! de Marie-Aude Murail. Un dictateur décide d'interdire l'usage de la lettre V. Il s'agit aussi d'un conte et là aussi on parle de liberté, mais avec plus de poésie. Le récit cadre ne permet pas de comprendre ni les personnages ni le contexte dans lequel ils vivent. Pas de lumière, pas de son, pas d'odeur, pas non plus de description visuelle. En surplus on ne sait pas qui est le "on" de l'extrait d'e-mail cité. Le père utilise une forme ampoulée ("Méfie-toi de ces paroles doucement chuchotées") à la manière d'un conteur oriental. Désolé mais pour moi ça ne cadre pas avec le contexte moderne d'une famille éclatée ne communiquant que par e-mail. Sans rancune, Vb |
Pouet
10/8/2017
|
Bjr,
Alors pour ce qui concerne le fond, il semblerait que cela porte sur la "désinformation" au sens large. Et, qu'en gros, il vaut mieux acheter le Canard Enchaîné que de se farcir quotidiennement le journal de TF1. Enfin c'est ce que je crois comprendre et j'applique ce précepte à la lettre. Le thème me plaît donc même si bien évidemment la réflexion n'a rien de bien "innovant" ou de révolutionnaire, mais pourquoi devrait-on l'être à tout prix? Sur la forme, je crois comprendre que la première fable est tirée d'un conte d'Andersen et que la seconde est de votre cru, mais peut-être pas, je m'interroge du coup sur"l'originalité" ou non de cette deuxième illustration. Peu importe me direz-vous. Certes. Il est question d'asservissement et "d'omerta" dans ce second conte et il est interdit aux membres d'une caste supérieure de révéler son numéro aux subalternes mais la couleur des vêtements ne peut-elle pas éclairer les membres d'une caste inférieure sur le rang des autres? Je n'ai pas tout bien saisi je crois. Je suis un peu benêt mais cela m'a semblé manquer un brin de clarté ou alors je suis passé à côté d'un détail révélateur. Pourquoi ne s'interrogent-ils pas aussi sur les couleurs et seulement sur la suite numéraire? Ce peuple et son Démocratès sont-ils censés représentés les prémices de la démocratie? On le suppose. Je pense avoir saisi en gros l'intention de ce père, de voir son fils "penser par lui-même", d'avoir "l'esprit critique" et ne pas se contenter des évidences. Ce qui me manque le plus au final, je crois, c'est le côté un peu "froid" de l'ensemble, tout se passe par mail. La "chaleur humaine" m'a fait un peu défaut, sans doute que cela est voulu, que cela fait parti de la réflexion d'ensemble, les réseaux sociaux etc... Bon je ne suis pas certain d'avoir été très clair ni très constructif mais cela reflète un peu mon impression à la lecture. Cela manque pour moi un peu de clarté, de développement (psychologie des personnages notamment). Au plaisir. |
Camille-Elaraki
29/8/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'ai beaucoup aimé la mise en abyme, surtout que ces deux petits contes sont très agréables à lire. Par contre je trouve la chute un peu insipide. Et je ne saisis pas très bien pourquoi on comprend que le roi est nu dès qu'un enfant le remarque. Après tout, on peu être très jeune et peu intelligent, non ?
|
cherbiacuespe
3/4/2021
a aimé ce texte
Un peu
|
Le sujet est plaisant mais il est comme résumé et taillé au marteau piqueur. Sans libre réflexion, pas de libre arbitre. Mais ce peut être aussi le meilleur chemin du chacun pour soi... Ce texte ressemble trop à un début de méditation qui stoppe sa course et ne veut pas poursuivre.
|