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Aliceane
12/5/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Je sais pas y a peut-être des défauts mais ça m'a trop plu pour que j'en trouve.
Enfin peut-être la fin trop pessimiste? mais je la vois plutôt ouverte à plusieurs éventualités justement donc ça me convient. |
Pat
12/5/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le thème est intéressant (et assez rare me semble-t-il). C'est bien écrit : des descriptions précises (vivantes... ), un ton non dépourvu d'humour, des images qui sortent des clichés. bref, c'est clair, agréable à lire. En un mot, j'ai bien aimé.
La catégorie ne me semble pas très appropriée... (romanesque me semble plus juste : c'est une tranche de vie, même si c'est la dernière). Vous avez fait le choix de présenter le personnage puis de raconter l'événement central. Peut-être qu'un mélange entre l'événement et sa biographie aurait pu rajouter une certaine épaisseur dramatique : pendant qu'il était par terre, des bribes de son histoire lui seraient revenues, on aurait découvert progressivement le personnage : c'est un autre choix de composition, plus complexe sans doute à écrire... Enfin ce n'est que mon point de vue (et sans doute ma propre manière d'écrire). merci pour ce moment agréable en tout cas... Au fait quel âge avez-vous? |
oxoyoz
13/5/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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le rêveur à encore frappé. Un très bon texte, la tension qui se crée est étonnante, au point de réussir à nous faire compatir avec une mouche. L'humour et le ton désabusé qui plane au dessus de la tragédie sont très agréable. Quant à la fin, elle est ouverte, j'aime bcp, chacun peut y voir ce qu'il veut.
il y a juste un détail : " il catapulta le trousseau qui dessina une ellipse prometteuse " je crois que le trousseau aurai du décrire une parabole. L'ellipse, c'est plutôt si le trousseau est satellisé ?? |
nanardbe
14/5/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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superbe texte, que je trouve plein d'émotion...
continue dans le zéro défaut (mais prend pas la grosse tête ;-) Bonne continuation |
Ninjavert
14/5/2007
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Tout aussi emballé par ce texte, Tchollos. Bravo !
La qualité de la rédaction, l'humour aussi discret qu'omniprésent, et l'intrigue, parfaitement décrite contribuent à rendre ce texte délicieux... Les petits détails sont tellement bien trouvés qu'on a l'impression que c'est du vécu. Bonne continuation, c'est un vrai régal :) |
zeutlers
16/5/2007
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C'est presque épique comme récit! Bien joué. L'idée est bonne, et la rédaction parvient à la suivre. Ce vieil homme qui se bat pour la survie comme un gaillard tout frais... Très bon.
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passiflore
20/5/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Nous suivons avec affection la détresse d'un corps fatigué qui joue des tours à son propriétaire, l'attente, l'imagination, mais aussi l'humour (qui tourne en dérision la présence de la mouche) de Giacomo . Nous entrons dans son intimité. Le personnage est attachant; on voudrait lui apporter l'aide dont il a besoin. La lecture de la nouvelle peut être couplée avec l'explication qu'apporte l'auteur sur ses méthodes d'écriture. Très inéressant!
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Den
30/5/2007
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Superbe! Emouvant! Pathétique!... Et un brin d'humour triste.
Beau texte! |
Cyberalx
31/5/2007
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Une nouvelle comme je les aime : claire, imagée, vivante.
Si je savais comment on met une note, je mettrais un 18 illico. Sinon, je poserais la question dans un topic approprié mais est ce qu'on dit vraiment : "Un effort Dantesque" ? Je me trompe surement mais il me semblait que Dantesque était un terme plus approprié aux situations terribles dans le sens d'apocalyptiques. |
Anonyme
8/6/2007
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oui , un texte superbe subtilement narrée. Chronique d'une déchéance puis d'une mort annoncée. On se prends de pitié pour ce "vieux personnage" moribond.
Cette nouvelle tire la larme à l'oeil, fait presque de la peine... Le thème abordé n'est pas commun cependant bien traité. |
Ama
9/6/2007
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Quant à moi, le vieux Milo me fait vraiment de la peine. Jusqu'à aujourd'hui, c'est ce sentiment de tristesse, ces thèmes du temps, de la mort, et de l'espace, ces larmes de la vie mélangés à un humour franchement hilarant et à un style à la fois clair et subtil, qui m'ont le plus plu au travers d'une lecture. J'y retrouve un fantôme de mon amour pour Queneau. Et ce fantôme, c'est l'échange de sensibilités proches.
Voilà, c'est la première nouvelle que j'ai lu ici, et je ne me décidais pas à mettre de commentaires. J'avais peur de ne pas décrire assez bien ce que je ressentais. |
Nico
12/7/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très émouvant. Dommage que les passages qui durent le plus de temps dans l'histoire sont les plus courts à lire. Effetivement, l'idée de Pattie d'utiliser les moments moins conscients pour faire connaître petit à petit de personnage aurait permis de prendre son temps à certains endroits.
Je confirme ce qu'à dit oxoyoz. Après un rapide calcul, je trouve que le trousseau aurait dû avoir une vitesse linéaire de plus de 27000km/h pour effectuer un mouvement elliptique, ce qui me semble un peu exagéré pour ce pauvre papy. Et je ne vous dit pas l'état du mur après collision... |
guanaco
2/8/2007
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La déchéance de l'être humain...
Quand on voit ce qu'on devient, pas étonnant de voir débarquer les mouches ! Cette mouche, c'est le messager de la mort, non? Superbe texte. Effrayant. |
Fattorius
3/8/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le pire, c'est que l'auteur arrive à intéresser le lecteur avec des histoires apparemment peu passionnantes... un récit qui fonctionne, en effet! Un certain humour plutôt sombre pour enrober le tout, un côté épique déjà relevé, et beaucoup de talent.
Bon, le jeu de mots du titre est un peu vachard quand même... mais le lien est indiscutable. |
Absolue
14/9/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Que dire... J'ai vraiment adoré cette nouvelle. C'est très drôle et émouvant en même temps. J'ai eu envie de lui venir en aide à ce pauvre vieillard...Que fait-il maintenant? L'a-t-on sauvé? J'espère que oui...
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Bidis
14/9/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Mais que c'est triste !
Le jeu de mots du vieil homme au sol et de la solitude est excellemment trouvé. Mais mon esprit pratique s'insurge un peu : à notre époque de GSM, aucun vieillard ne peut plus être isolé... Seulement, c'est la même chose pour le rôdeur qui s'insinue dans une maison isolée en plein bois parce qu'on a laissé une porte ou une fenêtre ouverte. Ou de la jeune femme en minijupe qui traverse un parc désert en pleine nuit alors que le violeur du coin en est à sa vingtième victime. Sans l'imprudence des héros, il n'y plus de suspense possible... Et ici, le suspense est à ce point crispant qu'on a envie parfois de sauter un paragraphe... Des retours dans le passé, comme le préconise Pat, eussent été à la limite du tolérable... Un bon moment, mais qui m'a quand même laissée un peu désolée... Preuve que l'auteur a diablement bien su rendre son personnage attachant. |
jensairien
20/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour Tchollos
A mon avis de loin la meilleure de tes nouvelles ici publiées. Unité du temps et de l'espace, émotion, sentiment et compassion, c'est bien écrit. Je trouve à contrario que le delaiement du temps dans une nouvelle comme Mauve la vie te dessert. Tu avais sans doute de quoi en faire un bon récit mais tu t'es contenté d'une charpente plaisante en oubliant de terminer ton édifice. C'est dommage. Je suppose alors que tu es assez jeune et dans ce cas tu as tout le temps de t'améliorer et de creuser ton talent. Tu as de l'imagination, il ne te reste plus qu'à parfaire ton style et ne pas te contenter d'une bonne idée pour achever tes textes. Encore une fois je trouve ce Milo bien mené. |
widjet
7/2/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voilà un texte à la (bonne) réputation hautement méritée !
Déjà c'est très très très bien écrit. Un vrai plaisir pour les yeux. Les descriptions donnent du corps au texte, de la densité et ne sont jamais ennuyeuses. Un humour léger, presque "chantant" (quelle bonne idée de faire du personnage principal un méditerranéen !) mais derrière cette légèreté, il y a un voile plus sombre mais c'est si discret que cela ne met jamais le lecteur mal à l'aise. Et puis un vrai sens du suspense avec des rébondissement. Que de mouvements dans l'immobilisme du personnage ! Et pour finir, une fin ouverte comme je les aime. Bref, je suis sous le charme et je vais très rapidement lire les prochain textes de Tchollos qui poste peu mais visiblement, toujours à bon escient. Encore BRAVO ! W |
Anonyme
28/6/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est ma journée Tchollos...
Comme déjà dit j'aime ta plume, délicate et descriptive à souhaits. On se sent entrer par la serrure pour regarder, en compagnie de la mouche, l'homme tomber "comme une m... comme un carpaccio" (j'adore!) et agoniser alors qu'il y a tant d'échappatoires qui nous viennent à l'esprit. Les personnages (et oui la mouche) sont attachants, les situations incroyables mais probables, bref j'ai accroché! Pathétique à souhaits, saupourdré d'humour,sous une couche de fatalisme... ça ressemble tellement à une recette de cuisine (et tu sais que je suis gourmande) qu'on en mangerait! Merci, merci! |
Anonyme
28/6/2008
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Mince alors j'ai écrit le même texte (sauf que c'est une femme).
La mouche remplacée par une plante… Ne va pas croire si tu lis ma nouvelle "Fleur fanée" qui sort lundi que je t'ai copié (de toute façon c'est bien moins bien écrit alors…). Bravo Tchollos ! |
marogne
22/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé l'utilisation des détails, la flute, la pillule sous le frigo, la moche, le mouchoir, ..., pour donner, simplement, de la vie à cette nouvelle, triste par ailleurs. Et celà est fait avec art, sasn apitoiement, avec un détachement subtil qui confine à un humour très maitrisé et très pudique. Equilibre difficile à réaliser que de décrire cette mort annoncée en des phrases si légères, si pleines de vie.
Et puis, malgré la volonté de vivre, ce détachement, ce retour vers l'amour de sa vie. Beau. |
victhis0
23/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Il y a un humour sordide assez présent dans ce texte simple et hautement maitrisée; du fatalisme et une pointe de cynisme désabusé sur la valeur intrinsèque de l'homme.
En fait, j'ai pris çà comme un conte philosophique au premier degré, une réflexion sur les rapports entre l'important et le dérisoire, servi sur une trame droite et limpide qui est un régal à chaque ligne. Chapeau très très bas |
Menvussa
12/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bravo pour le titre, j'aime les jeux de mots jusque dans les titres. Une histoire malheureusement trop banale mais racontée avec humour, une pointe de cynisme, bref que du bon. Mais je reste sur ma faim... Y aurait-il une suite après cette fin ?
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Anonyme
21/2/2009
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Que Giacomo n'ait pas envie de se réjouir du temps qui passe, complètement d'accord, mais là, tel que c'est écrit dans le texte, on dirait qu'à cause de trois anniversaires fort mal venus, il déteste tous les anniversaires.
Que doivent donc ressentir ceux qui sont nés nés les 6 août suivant l'année 45... Fierté ou pas, douleur aidant, il peut toujours se servir du déambulateur quand il est seul à la maison. Ou alors il est maso. " Il faisait terriblement chaud pour un 12 septembre" pas de fenêtres ouvertes ? Aucune ouverture par laquelle il puisse jeter des objets, n'importe lesquels, ou crier s'il en a encore la force ? "Si la mort avait été une personne raisonnable, elle serait venue le chercher depuis longtemps..." parce que j'ai vécu la chose de très près, je peux donc assurer que dans ce cas précis (elle a 86 ans, il en a 80 c'est peu d'écart) la délivrance ultime est attendue comme l'espérance. Pilulle rose ou pas, je ne suis pas certaine que vu les circonstances, le supplicié ait envie de l'avaler. Avis très personnel. Ne vaut que ce qu'il vaut. Sans doute est-ce parce que ton écriture est empatique que j'ai si bien ressenti la douleur de ce pauvre vieux mais en même temps, je me disais, il écrit bien, c'est une belle histoire, mais ce n'est qu'une histoire, il manque... la vision d'un corps dans l'état décrit. A ce moment là, on comprend tout, on ressent tout, sans que la description de la souffrance endurée ait besoin d'être verbalisée. La fin laisse s'interroger sur la nature du vieux, son caractère, et la qualité de l'amour que lui portait Simona. J'ajoute que le vieux ne m'est pas sympathique au contraire de Simona, qui elle, l'est. Si c'est vraiment l'effet que tu voulais rendre, alors cette nouvelle est exceptionnelle. |
aldenor
18/4/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un style très maîtrisé, avec de belles touches d’humour nostalgique.
Mais à quoi sert l’intro des centimetrophiles ? Il n’est plus ensuite question de mesurer les distances entre les pièces. Et pourquoi les tentatives de Milo sont-elles tantôt couronnées de succès (le bloc de glace, la pilule), tantôt pas ? Il me semble que ça nuit à la progression d’ensemble du texte dans le sens de l’échec. |
Anonyme
22/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je fais le pari que Tchollos s'est couché sur le carrelage de sa cuisine pour écrire ce texte. Tous les détails pratiques sont très bien décrits... J'ai bien aimé le fait qu'il regarde sa main, comme le font les bébés... On a l'impression qu'il part à rebours, que cette main n'est plus vraiment un élément de sa personne, qu'il se désincarne déjà.
Je pense en revanche que Tchollos n'a pas encore 80 ans, ce qui explique pourquoi, à mon sens, le corps du personnage fait l'objet de moins d'attentions que les éléments du décor. Ceci dit, on est dans la catégorie "policier/thriller", et le fait que l'auteur soit concentré sur l'action (parce qu'il y en a, de l'action !) est peut-être voulu. En outre, le classement dans cette catégorie a un effet amusant : je m'attendais à ce que Giacomo soit un vieux mafioso (clichéééééé !). Raté... tant mieux ! Chipotage : je défie un humain normalement constitué d'entendre vrombir une drosophile... Et pour finir, cette mésaventure est arrivée à ma grand-mère... Merci, Tchollos, je passe de bons moments, avec vous. |
Selenim
13/9/2009
a aimé ce texte
Bien
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Un bien joli texte servit par une écriture soignée.
L'armature du récit est solide, le rythme millimétré, le style assez simple évite les écueils métaphysiques que peut parfois développer ce genre de récit. J'émettrais une réserve sur les métaphores et autres images qui ne sont pas toujours très originales. j'ai trouvé le texte un peu long. Basé sur un concept de film catastrophe à l'échelle d'un vieillard allongé dans sa cuisine, j'ai été un brin déçu par le manque d'originalité des situations à sus pense. Par contre, le coup de l'intro qui se réfère aux futurs sauvetages , j'ai bien aimé : philosophique et ironique. Une dernière remarque sur l'humour qui a le mérite d'exister, pas plus. Le vieillard ronchon et solitaire aurait à mon sens gagner à nous faire partager quelques monologues bien sentis et autres aphorismes. Dommage. Au final une nouvelle plaisante et divertissante. Selenim |
caillouq
28/6/2010
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bon, j'ai gardé les yeux secs, d'où le "moins". Que dire ? Pour moi, un sans-faute total. Un suspense parfaitement dosé - avec des ingrédients minimum. Pas de pathos. Une écriture sobre et efficace. Tout est parfaitement dosé, de toutes façons. Chapeau. (et merci W d'inciter à découvrir les "classiques" ...)
Un seul regret: que son auteur n'écrive plus ici ! |
Anonyme
16/12/2010
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Pourtant, ces futilités géométriques allaient bientôt hanter toutes ses pensées. On devrait mieux connaître son intérieur."
C'est sûr, ça donne envie de savoir de quoi il retourne. C'est un thriller, en effet, un thriller calme. Noir aussi, noir léger. C'est touchant dans sa simplicité, dans son humour discret, tendre sans effet appuyé. On a une réelle sympathie pour cet homme, ce MacGyver maladroit, ou malchanceux, dont on ne connait rien, sinon l'essentiel : une vie à contempler le gâchis, une demie vie d'absence. Il parle à nous, de nous. Et l'on s'étonne de trouver avec lui l'instinct de poursuivre encore. Et de se demander au mot FIN si tout cela était bien nécessaire. Mais moi aussi, je vais continuer... à lire un peu de Tchollos. |
matcauth
23/10/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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c'est sobre, lent, calme, paisible, comme la mort qui vous prend. Enlever le superflu est bien, elle dirige le regard vers l'unique but de Milo et de cette histoire. La fin est elle optimiste, finalement?
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FANTIN
20/2/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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L'ironie mi-figue mi-raisin du titre (O sole mio/ Au sol est Milo) donne bien le ton de cette nouvelle. Une fiction très réaliste et un "héros" très humain. Vieillesse, nostalgie, solitude, maladie et instinct de survie malgré la dérision et l'inutilité d'une existence vide: c'est le lot commun et l'échéance inévitable.
De ce triste constat et de cette issue forcément tragique que nous concocte inlassablement et sans broncher le "dieu du temps et du destin", deux éléments se dégagent pourtant ici: l'humour d'une part, qui permet, même à un homme à terre, de dominer la situation; et l'amour de l'autre, comme on le sait "plus fort que la mort", donc plus fort que le temps lui-même, et qui donne raison aux hommes en même temps qu'il leur fournit la clé de leur raison d'exister. Une remarque au passage : on voit venir la fausse bonne fin, mais par ailleurs le texte fourmille de détails bien choisis qui sonnent juste. Découverte tardive mais appréciée: un bon moment de lecture. |
in-flight
1/4/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une histoire qui pourrait devenir un classique car tous les ingrédients de la nouvelle sont là et c'est franchement tout public. Il y a juste ce cauchemar qui me semble superflu, quand bien même il sert de lien à la suite de la nouvelle (s'hydrater avec de la glace).
Du beau travail. |
cherbiacuespe
1/5/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une longue et lente agonie, et aucune chance de s'en sortir. Le ton du récit pourrait être parfois à... mourir de rire. Ce long chemin vers l'inéluctable est bien écrit, avec délicatesse à certains passages, avec force à d'autres. En tout cas, c'est une histoire qui fait réfléchir sur la solitude et le destin parfois ridicule qui nous est réservé.
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