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Pascal31
15/1/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je suis un peu ennuyé à la fin de la lecture de cette courte nouvelle. Nonobstant le petit souci de renvois à la ligne en plein milieu de phrases, c'est surtout le message global que vous avez voulu faire passer qui me laisse perplexe. J'en comprends l'intention (louable) mais le traitement, avec cette histoire de vache récalcitrante et de bruit assassin, me laisse dubitatif. C'est dommage, car j'ai lu ce texte très facilement. Pourtant, je suis resté en dehors du sujet. Désolé.
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hersen
15/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Nous sommes sans aucun doute possible dans une autre dimension...sauf que les vaches nous rappellent à l'ordre !
Je n'ai pas trop compris le cheminement, que je trouve un peu décousu. Il me faudrait, avant d'en arriver au baiser à la vache, quelque chose de plus clair. J'ai l'impression qu'on se promène dans une campagne, belle, certes, et qu'il y a une inquiétude, bien transmise je dois dire par seulement quelques réflexions sur les gens du village. Mais je reste un peu sur ma faim et je n'ai pas bien compris si la vache est une allégorie, et si oui, que représente-t-elle ? Et le fait que ce soit la 7ème. Donc, mitigée sur ce texte pour lequel j'aurais aimé quelque chose de plus clair, mais avec cependant certains beaux passages, par ex " mes yeux mangent la lumière de l'automne comme une tartine de miel" Merci de cette lecture. |
carbona
15/1/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Une jolie histoire qui mérite d'être lue plusieurs fois pour parvenir à bien saisir l'atmosphère. L'incipit aide et c'est tant mieux. Une remarque sur la mise en page : je ne comprends pas certains retours à la ligne en cours de phrases. De jolies choses : "mes yeux mangent les lumières de l’automne comme des tartines de miel. " elles sont, dans la dépression du coteau, des châtaignes au creux d’une paume." "On parle debout sur les ponts, assis sur les bancs de pierre, près du moulin, sur la place, à l’auberge, à l’épicerie, chez le charron, devant la fontaine. Les langues aiment répéter le miracle. " "Je redescends avec ce bruit dans l’oreille comme un caillou dans une chaussure." De moins jolies : "une petite maison de pierres est posée. On dirait le cerveau du paysage" "Sur l’autre versant le cerveau fume." mais "La petite maison de pierres pense comme un homme." < j'aime bien - "On voudrait plonger nu dans le ciel pur." < bof - "Le silence des cimes est un clown espiègle au visage coloré. À chaque arrêt pour reprendre mon souffle, il me crie sa joie d’être au monde. Il joue à saute-mouton par-dessus les monts et m’encourage à le rejoindre au sommet. Ses grands rires semés germent de tout côté à une vitesse céleste. " < j'aime bien ce passage même si je n'ai pas fait tilt de suite, ce silence correspond au bruit du vent j'imagine - "Je suis le seul à entendre ce bruit horrible qui est près de nous étrangler." < pourquoi ? ce bruit est-il vraiment présent ou est-ce l'intuition du narrateur et celle des animaux qui permettent de l'entendre ? Un texte plein de poésie et de délicatesse pour exprimer l'approche de la guerre. J'aurais apprécié quelques mots de plus à ce sujet pour bien placer le lecteur en contexte, pour mieux comprendre dès sa première lecture ce qui se passe. Merci, Carbona |
vendularge
4/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
En premier lieu, j'aime particulièrement cette écriture belle et serrée où chaque mot porte un sens précis, bravo, c'est remarquable. L'histoire semble être une métaphore ou pas mais elle existe pour elle seule sans qu'on y cherche un sens précis et ce résultat est du précisément à l'écriture, elle est supérieure à la narration. Merci, j'aurais bien écrit "passionnément" mais je trouve ce mot dénué de sens ici, alors ce sera très très beaucoup. |
Anonyme
9/2/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je ne suis pas séduite par ce texte. Pour moi, il y a trop de métaphores et à m'appliquer à les comprendre, j'en ai perdu le fil de l'histoire. Ce qui est tout de même le point central d'une nouvelle. Au point final, je suis totalement incapable de raconter votre histoire. :-( Désolée. |
Perle-Hingaud
10/2/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour terlub,
C'est une nouvelle un peu trop obscure pour moi... mais j'ai aimé l'atmosphère qui s'en dégage. La première partie est réussie, je me suis très bien identifiée au narrateur. Dans ce paragraphe: "Aujourd’hui l’ascension est ravissante. ...", j'ai été gênée par l'uniformité du rythme des phrases. (lisez-vous vos textes à haute voix ?) Le "sourire humain" me semble étrange, mais je comprends l'idée. Par contre, sur le fond, la métaphore de l'amour qui écarte la guerre (si j'ai bien compris ?) via l'enfant et la vache, cela me laisse assez indifférente... mais je ne suis pas très douée pour décrypter. Sauf le bruit inquiétant pour la guerre: l'idée a déjà été exploitée, mais elle est bien amenée dans votre texte et efficace. Merci pour cette lecture |
henriette
18/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Je voudrais pouvoir écrire avec tant de poésie une nouvelle !!!! Chaque phrase est une touche picturale et à la fin , même si je n'ai pas entendu de guerre venir , j ai pleinement ressenti la sensation d'un événement malin en devenir . Peu m'importe de ne pas avoir bien appréhendé le sens concret du sujet , j'ai aimé le style beaucoup beaucoup beaucoup Merci |
Sylvaine
26/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beau texte qui entretient une sorte de "suspense" poétique dont le fin ne résout pas le mystère. Le "bruit" parasite représente-t-il on ne sait quelle nuisance moderniste qui menacerait la magie des paysages montagnards ? Peu importe: l'atmosphère est prenante dans son étrangeté, et il n'est pas mauvais que des éléments demeurent inexpliqués. L'écriture témoigne de recherches intéressantes, mais, si certaines métaphores sont très bien venues ("J'ai l'impression qu'un rat ronge l'avenir", "Le silence prend sa voix de rouge-gorge") d'autres paraissent artificielles et gratuites (les rayons du soleil comparés à "des bambins curieux", le silence "clown espiègle au visage coloré") Dans l'ensemble cependant, c'est une voix plaisamment originale que vous faites entendre.
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Coline-Dé
26/2/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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"J'ai un souvenir très violent de l'innocence des vaches"
Cette phrase de Marguerite Duras a-t-elle inspiré votre texte ? je n'ai pu m'empêcher d'y penser... votre vache incarne tellement une sorte d'innocence salvatrice ! A quelques exceptions près votre écriture pleine d'heureuses trouvailles m'a énormément plu, en particulier la comparaison de ces vaches fauves au creux d'un vallonnement " comme des châtaignes dans une paume", la petite maison qui " pense comme un homme" et beaucoup d'autres... En comparaison avec ces pépites, certaines images un peu forcées, déçoivent : tout le passage sur le silence a quelque chose d'artificiel à mes yeux. "Le silence des cimes est un clown espiègle au visage coloré. " bof... La joie du silence a, à mon avis, un côté plus extatique... j'ai beaucoup aimé ces trois phrases terribles : "Ils ne comprennent pas. C’est plus grand qu’eux. Ils renoncent. " Et cette belle parabole de l'avenir rencontrant l'innocence animale et lui donnant un n baiser qui fait reculer la peur, la haine... Un très joli texte; une ode à la vie, un vrai moment de plaisir dont je vous remercie. |
mimosa
6/4/2016
a aimé ce texte
Un peu
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La poésie du texte incite à poursuivre jusqu'à la fin, le style est agréable, fluide, mais j'avoue n'avoir pas accroché à cette histoire de vache, de cœur flottant au-dessus d'elle, et le baiser final du petit garçon fait un peu conte de fées. Le mot silence prend une importance démesurée à mon goût: dans la nature, le silence parfait n'existe pas trop! Pour moi, le mystère n'est pas au rendez-vous.
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