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solidane
17/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Etonnante impression Théa ; celle d'avoir déjà lu un texte racontant la même histoire, une histoire semblable. Mais je suis incapable de trouver où. Départ au petit matin, arrivée à la frontière. Cela ne me revient pas. Mais sache que j'ai fort apprécié, ce texte est bien écrit, et particulièrement subtil. L'atmosphère et le brouillard tiennent tout au long.
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jaimme
17/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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La poésie est présente. Là sur les épaules de cette femme.
J'ai aimé. Particulièrement: "on devient exigeant quand on est malheureux". J'aurais préféré que la nouvelle s'arrête juste après "l’abandon des souvenirs". Pourquoi prendre un sac quand on part vers ce pays? La réponse est très belle. Quelques virgules que j'aurais placées différemment. Un détail. Belle délicatesse d'écriture! |
Lulu
17/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai beaucoup aimé cette nouvelle dont l'écriture est fort agréable.
J'ai aimé l'histoire. Pourtant, tout au long de ma lecture, je me suis davantage représenter la fugue d'une adolescente que celle d'une femme mariée quittant enfants et mari... car elle semble tendre vers une forme d'idéal dans l'esprit d'une certaine candeur. Tout sera beau là-bas. Alors que derrière elle, ne figure que le sombre, même si vous précisez si habilement : "... et regarda derrière elle ce chemin trop étroit, jonché de résignation et d'amertumes, que des ombres mystérieuses survolaient en silence." Peut-être que cette dimension "mystérieuse" m'a maintenue dans cette lecture où je me suis représentée un personnage fort innocent, jeune... Mais tout cela est beau et d'une grande subtilité et c'est là, me semble-t-il, la force de votre récit, car finalement, vous nous réservez une chute qui nous ramène à la réalité. Peut-être est-ce moi, simplement, qui eut du mal à me représenter un tel courage : partir... parce que cela me semble être une décision majeure des plus difficiles. Bien que personnellement, je ne ressens pas ce que vit ce personnage... Mais bon, voilà, en dernier ressort, elle est partie, véritablement et j'aime que vous n'en disiez pas plus, que vous ne développiez pas davantage sur les raisons, la vie du personnage. Elle est partie et les derniers mots sont très forts, si justes. Et j'accepte cette "réalité" courageuse quand l'étau se resserre sur le mari qui ne peut qu'accepter cette réalité. Voilà une belle fiction. Parce qu'elle contient des silences. Tout n'est pas dévoilé. Le lecteur peut se projeter ou non, inventer et voir, bref, se faire plaisir. J'ai remarqué, simplement, un passage un peu maladroit, mais c'est si anecdotique, car l'ensemble est parfait. Vous écrivez : "la lune miroitait joliment sur la rivière, dessinait des méandres qui ressemblaient à des paysages lunaires transparents et lointains". Je pense ici que "la lune miroitait joliment sur la rivière" suffit amplement. On se représente bien le paysage. Les mots suivant n'apportent rien ; ils ne font que répéter..., à moins que vous ne précisiez une particularité du paysage, une originalité. Mais en l'état, évoquer "les paysages lunaires" est inutile. Voilà, merci pour cette belle lecture. Au plaisir de vous relire. |
Anonyme
17/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
c'est étonnant la coïncidence de certaines choses, une poésie vient d'être publiée, très différente dans le ton, mais qui me semble avoir le même sujet, à savoir le suicide, et en plus de la même manière (si mon interprétation est la bonne bien sûr). Peut-être pour avoir lu la poésie dont je parle juste avant, je suis tout de suite parti dans cette idée, et donc, je ne me suis pas expliqué la présence du sac si ce n'est pour essayer de piéger gentiment le lecteur et d'entretenir un certain suspense... j'aime bien l'idée de ce désespoir presque serein, de ce constat à peine indigné d'une vie qui prend l'eau. ça m'a rappelé une phrase de Thoreau que je déforme d'ailleurs peut-être, mais qui dit en substance que les hommes vivent de désespoir tranquille. Oui, sauf que certains en meurent aussi... l'écriture est solide, avec parfois des incursions dans l'onirime que je trouve dans leur majeure partie réussies. Un peu d'ennui malgré tout parfois entre les lignes, mais cela répond bien à celui qu'éprouve cette femme dans sa propre vie et cette émotion que l'on peut tous ressentir à certains moments de notre existence d'être passé à côté d'un autre, de n'avoir pas su voir ni comprendre... juste un détail, j'aurais plutôt mis (quand elle aborde le thème de ses enfants), elle s'était dit plutôt que "elle se dit". Une lecture en demi-teintes pour le récit d'une vie qui ne l'est pas moins... Bonne continuation. |
Anonyme
17/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Thea. Cette triste nouvelle, fort bien décrite, empreinte de poésie est émouvante. J'avoue que l'idée du sac, m'a induite en erreur... Vraiment d'une belle écriture. Merci Thea.
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brabant
17/8/2009
a aimé ce texte
Passionnément
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Je termine ce texte et je pleure. Je me dis: Mon Dieu! Non... Je ne peux pas rejoindre Nelly. J'en ai tellement envie! Comme elle doit être heureuse au pays de l'éternelle mélancolie! Où la mélancolie est bonheur, et paix, et sérénité, et calme retrouvé. Qu'une femme mérite d'attention! Qu'une mère mérite de reconnaissance! Il ne faut pas que la vie tue la vie, il ne faut pas que la vie, que l'habitude rendent transparent. Alors! Oui! Je me dis: c'est cette transparence qui a tué Nelly et je regarde autour de moi, ne pas devenir transparent et ne pas laisser les autres devenir transparents, dire: " Tu as changé de coiffure, cela te va bien!", dire: " Je t'aime, tu sais." . Merci! Théa! Pour cette leçon d'amour, pour cette leçon de vie, je peux replier mon mouchoir.
Texte exceptionnel, égal dans le style, dans l'envoûtement psychologique et paysager, dans l'accord entre le dedans et le dehors, je n'ai pas relevé de faiblesses, sauf la mienne... |
lotus
17/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Parce que j'aime l'univers de ta poésie Théa, je suis passée lire ta nouvelle. Et dans cette nouvelle, il y a aussi de la poésie. Je te félicite déjà pour cette prouesse.
C'est là un bel ouvrage en écriture.J'ai aimé la façon dont tu nous présentes ce personnage que j'ai l'impression de connaître ou d'avoir connu.Mais ce n'est qu'une impression sans doute car tu laisses de façon très subtile la possibilité au lecteur de tout imaginer. J'ai cru à un voyage vers un monde qui correspondrait d'avantage aux rêves, aux attentes de Nelly mais cette fin...Il existe des frontières que l'on ne passe qu'une seule fois sans bagage. A quoi bon s'encombrer quand la vie a déjà été si pesante de désillusions? J'avoue avoir eu un pincement au coeur en terminant ton histoire.Ce fut une très agréable lecture. Merci théa. |
florilange
17/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Comme Solidane, je suis certaine d'avoir déjà lu un texte ressemblant comme 1 sosie à celui-ci et 1 titre pratiquement identique. Je vais chercher & retrouver.
J'aime : le ton poétique tout au long de cette nouvelle bien écrite. Je n'aime pas : l'orthographe de : chemin de hallage. Florilange. EDIT Je n'ai pas trouvé mais 1 post, dans le forum d'échanges avec les correcteurs, est sans doute la réponse à la question. |
pieralun
17/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un très beau texte empreint de poésie......mais la chute m'a laissé sur ma faim.....ma fin.....je ne sais plus.
Belle écriture Thea |
Farfalino
17/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai bien aimé la fuite de cette femme vers un ailleurs nébuleux, une seconde vie.
Très beau texte. |
xuanvincent
18/8/2009
a aimé ce texte
Bien
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Après une lecture rapide, merci à l'auteur pour cette belle histoire.
J'ai apprécié les thèmes abordés (un départ volontaire vers une autre vie, le passage de cette frontière étrange (elle m'a fait penser à un univers fantastique)). Egalement l'écriture, le texte m'a paru dans l'ensemble bien écrit (quelques répétitions notamment toutefois il m'a semblé). Pour une première nouvelle publiée, cela me paraît encourageant. Bonne continuation. |
calouet
22/8/2009
a aimé ce texte
Bien
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Oui c'est plutôt convaincant, j'aime bien que l'auteur laisse quelques brumes sur son épilogue tout en nous expliuant l'essentiel. J'aime bien le rendu général de l'atmosphère, le rythme du récit au diapason de cette ambiance.
Quelques broutilles m'ont ennuyé, comme la répétition de "aube" à 2 lignes d'intervalle, ou ce "sac de voyage, qu'un voyageur aura oublié" enfin un tuc dans le genre, un peu lourd. |
widjet
20/12/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Une broutille relevée : « avant… et disparut littéralement happée par le brouillard, dans un bruit sourd comme un sac qu’on jette à l’eau » (ce n’est pas sourd comme bruit, non ?).
Sinon, cette nouvelle (la première de son auteur-poète) est à la lisière de la poésie fantastique. Le fait que le récit soit court, m’a permis de lire ce récit étrange sans difficulté et même avec intérêt, moi qui ne suis guère friand du genre. Un autre texte donc qui parle de cette envie de « quitter le monde » comme dirait Douglas Kennedy. Plutôt bien enlevé, mélancolique et bien vu (je ne suis pas encore parent, mais je présume que ce sentiment (temporaire ou durable) d’abandon et d’inutilité doit être particulièrement vivace lorsque les enfants s’en vont. Une bonne surprise. W |