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izabouille
30/9/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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J'ai vraiment bien aimé, tout y est. Dès qu'on commence, on a envie de connaître la suite. Votre style est excellent, on passe de Kevin à Roscoe sans problème, on est à la fois dans la tête de l'un et puis de l'autre et la chute a été une bonne surprise.
J'ai adoré les "pour" et les "contre", jolie trouvaille! Merci pour ce bon moment de lecture |
Louison
3/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai bien aimé cette histoire, j'ai aimé l'écriture et cette hésitation de Kévin bien décrite, sans trop de verbiage.
Le jeu des pour/contre est intéressant. Bon Kévin a 9 mois pour trouver un anti virus, ça pourra faire une suite à ce texte. Louison e EL |
Cairote
23/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quel plaisir, cette lecture!
Une écriture simple mais efficace, adaptée à son but. Une certaine tension, bien assez en tout cas pour ne pas songer à cesser la lecture. Et surtout, excellente idée ce parallèle entre les dilemmes du chien et de Kevin, au départ indépendants, mais dont la rencontre déclenche la catastrophe. Bravo ! |
plumette
23/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quel suspens!
et quelle efficacité! En plus je me suis étonnée d'arriver à suivre le processus imaginé par Kevin pour aboutir à cette fin d'un monde et de le trouver crédible. l'écriture est très vive, la série des Pour/contre est une trouvaille qui anime et humanise le texte. l'alternance entre Kévin et Roscoe participe au suspens: on se doute que quelque chose va relier ces deux là, mais quoi? mon unique bémol: le prénom de votre héros. Est-ce à cause de l'ado mal dans sa peau joué par Elie Semoun? J'ai l'image d'un benêt qui ne colle pas avec ce génie de l'informatique . Mais je me suis bien amusée! Plumette |
Anonyme
23/10/2018
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Thimul,
J’aurais préféré qu’au lieu du chien ce soit Kevin qui trouve le courage d’aller au bout de sa création. Ne serait-ce que pour voir cette historiette d’ado mal dans sa peau transformée en véritable nouvelle. Pour moi la sauce n’a pas pris et j’en suis d’autant plus désolée que l’écriture est impeccable. C’était bien parti pourtant, mais après avoir pris du recul, mon ressenti se confirme : l’histoire que je viens de lire n’est qu’une mise en bouche pour des choses qui auraient pu se révéler autrement plus intéressantes si l’auteur avait bien voulu trouver une suite au pataquès qu’il a si bien mis en route. En résumé, j’ai eu l’eau à la bouche mais j’attends toujours le festin… Ce festin qui aurait pu me régaler avec ton don évident de la narration. Une autre fois peut-être. Cat |
hersen
23/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Je regrette le côté "non assumé" par Kevin, c'est là pour moi un gros bémol de l'histoire.
Parce que sinon, j'ai vraiment aimé l'idée, les pour les contre, Amélie ou la fin du monde; Dans cette démarche, on est vraiment à côté de kevin, le doigt au-dessus du clavier. Que ce soit le chien qui déclenche philippe ne me semble pas si porteur que le reste du texte en ce qui concerne le message. Ceci dit, une bonne nouvelle dans sa conception et une très bonne écriture. |
Donaldo75
23/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Thimul,
Je le dis tout de go, j'ai beaucoup aimé cette nouvelle, même si parfois elle s'étirait en longueur dans la déclinaison du pour et du contre. Les arguments de Roscoe sont nettement plus intéressants que ceux de Kévin, à mon gout, c'est pourquoi je donne la palme d'or à ce toutou pas tout a fait innocent dans la fin de notre beau monde, des échanges en forum sur Oniris et de pleins de trucs sympathiques. Adieu, monde cruel ! Don |
in-flight
25/10/2018
a aimé ce texte
Bien
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L'idée est sympa mais j'ai du mal à adhérer sur deux points:
--> Le six juin à six heures, tous les ordinateurs de la planète cesseront de fonctionner définitivement. La fin d’un monde et peut-être la fin du monde tout court.--> fin des ordis = fin du monde: C'est un peu raccourci ! --> la place du chien trop importante sur un texte si court. Cependant la chute est bien amenée et ça se lit tout seul. Remarques: Un virus mimétique qui imite --> redondant il sera totalement silencieux pendant neuf mois. --> Le temps de gestation de l'apocalypse ? ;) |
Jean-Claude
25/10/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Thimul,
Ce texte est sympathique. Pour : Le style, l'idée, l'histoire. Contre : La place du chien trop grande, notamment pour son "pour et contre". Pour : La chute. Au plaisir JC |
GillesP
26/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Quel talent de conteur, comme d'habitude ! Le style, simple et efficace, est au service de votre histoire. Tout s'enchaîne de manière cohérente. Il n'y a pas de détail inutile. Beau travail.
Au plaisir de vous relire. |
jfmoods
24/11/2018
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I) Des personnages bien contrastés
1) Un jeune homme fragile - "Lui l’introverti aux yeux larmoyants, le discret au nez qui coule, le transparent qui tousse, l’ado que personne ne remarque et surtout pas les filles [...]" - "Kevin hésite encore. Il pèse le pour et le contre." - "Les pollens, les acariens, les poils de chien, les poils de chat, les amandes, les cacahuètes, les kiwis, les crevettes, n’ont qu’une raison d’exister : lui pourrir l’existence." - "Le doigt posé à un millimètre de la fin du monde, Kevin hésite toujours." - "Kevin a toujours le canon sur la tempe de la civilisation. Un petit millimètre." 2) Un chien déterminé - "Hors de question qu’il ingère cette insulte gustative." - "Il est temps d’aller chercher ses réserves. La promesse du festin à venir provoque une agitation joyeuse. Il gratte à la porte, il piaule, il aboie." - "Il creuse avec frénésie. Il faut absolument qu’il passe de l’autre côté chez les voisins. Un os est enterré. Il ne sait plus trop où exactement, mais avec son flair, il ne devrait pas mettre longtemps à le trouver." - "On verra bien, allons-y !" - "Roscoe se promène fièrement en tenant dans sa gueule son trésor déterré." II) Un effet d'attente bien ménagé 1) Une proximité lentement révélée - "On finit par lui ouvrir et il se précipite dans le jardin." - En quelques minutes, le trou sous la clôture est fait. Pas bien gros mais le bougre est agile. Ça devrait le faire." - "Un os enterré dans le jardin" - "Un os enterré dans le jardin avec un peu de viande pourrie autour : miam !" - "Quelques jappements lui parviennent par la fenêtre ouverte de sa chambre, mais pour la première fois de sa vie, il se fout que le chien des voisins squatte une fois de plus son jardin." - "Par la fenêtre ouverte une armée de graminées et de poils de chien s’engouffre." 2) Une toute-puissance livrée aux caprices du sort - "une succession de symboles et de codes dont il est le seul à pouvoir percevoir la beauté et la puissance." - "Il n’a pas dix-sept ans et il les tient tous entre ses mains." - "Depuis quelques secondes il est fasciné par cet index posé sur une touche d’ordinateur. Un millimètre sépare le monde civilisé de l’âge de pierre. Un petit millimètre." - "Les yeux de Kevin commencent à larmoyer." - "Le nez pique et démange. Il éternue brutalement. Son corps est secoué d’un gigantesque soubresaut et son index bouge. D’un millimètre." Merci pour ce partage ! |
AuteurFanatique
10/12/2018
a aimé ce texte
Passionnément
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Ouah !
Ce texte est passionnant, du début à la fin... Il représente parfaitement la bêtise des ados, qui mêlent leur vie privée, leur égocentrisme (ici l'amour qu'il porte à une fille), à des sujets beaucoup plus vastes. L'avenir de l'humanité, quel qu'il soit, ne peut être comparé à un amour bête. Pour moi, la deuxième interprétation possible est que parfois, une simple petite chose ou un simple acte peut changer beaucoup de choses. Bravo. |
CerberusXt
1/4/2019
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai eu beaucoup de mal à accrocher pour la simple et bonne raison que l'apocalypse présenté, en plus d'être simpliste, sonne globalement faux sur de nombreux points.
Par exemple, les réseaux les plus sécurisé au monde ne sont tout simplement pas connecté physiquement à internet. Ça ne change pas grand-chose à l’apocalypse d’avoir 99.9% du système informatique mondial en vrac, mais c'est dommage de ne pas le mentionner au moins en passant. Autre détail, l’arrêt de l’informatique ce n’est vraiment pas l’arrêt du nucléaire. L’Enola Gay qui a balancé la bombe sur Hiroshima c’est du bon gros avion analogique à l’ancienne, il fonctionnera avec ou sans informatique. Idem pour la plupart des missiles modernes dont l’ordi embarqué n’est clairement pas connecté à internet. Même chose pour les réseaux informatique en charge des centrales nucléaires, etc... Détruire tous les ordinateurs du monde, ce n'est pas la fin de l'informatique. Nos connaissances informatique ne vont pas disparaitre a cause d'une infection. Après, le protagoniste est jeune donc sa vision de l’apocalypse peut être un reflet de son immaturité et de sa naiveté, l'ennui c'est que cela met alors en question sa capacité réel a avoir créé le virus ultime là ou de nombreux hackers s'y essaient depuis des années maintenant. On en vient à se dire qu'il se monte peut être la tête tout seul et que son virus n'a peut être rien de bien efficace dans la réalité, ce qui tue quelque peu la tension. Malgré toute cette négativité, le texte est très bien écrit j'ai beaucoup aimé la chute, ce qui adoucit mon opinion générale. Les passages avec le chien sont au final ma partie préférée, sa "voix" est bien menée et sa logique animale est tout à fait crédible. |
cherbiacuespe
29/7/2019
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'en suis tout retourné. Amusante histoire. Cependant, sans l'informatique, on peut continuer à vivre, ce ne sera pas tout à fait le retour au moyen âge (dont on considère à tord qu'il fut obscur). Disons retour vers les années 70 plutôt.
Mais j'ai bien aimé car c'est bigrement bien élaboré, bien écrit. L'alternance entre Roscoe et Kévin est bien trouvé, équilibré, compréhensible. On se laisse porter par cette histoire. Même si on sent un peu venir la conclusion. Et, du moment que cela n'enlève rien au plaisir, on n'y fait à peine attention. |