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Donaldo75
27/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Thimul,
J'ai beaucoup aimé cette nouvelle, surtout que la chute m'a surpris et qu'elle est savoureuse. La paranoïa, il n'y a que ça de vrai, disait le censeur de mon lycée, un petit bonhomme brun toujours habillé d'une veste en cuir et qui passait son temps à épier les élèves. C'est exactement ce que j'ai eu en tête, quand j'ai lu ce journal, avec sa progression dans le délire, son réalisme, sa double lecture si le lecteur essaie de voir où le bât blesse. Quel plaisir de te lire de nouveau. Où étais-tu passé ? Tu n'as quand même pas déjà dépensé ton million d'euros ! Donaldo |
Tailme
27/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Thimul
Avec un résumé comme celui qui vous avez écrit, pour moi, l'intrigue de l'histoire et sa chute étaient courues d'avance. J'ai commencé à lire, un peu déconcerté, en me disant que je savais pertinemment où la nouvelle m'amènerait. Et cela n'a pas manqué ! Quoiqu'un peu plus excessif que ce à quoi je m'attendais. Pourtant, dès le deuxième paragraphe, j'ai senti l’anxiété monter et ma poitrine se comprimer. J'ai retenu mon souffle jusqu'au bout, c'était véritablement excitant. Sacré travail ! Je suis même aller vérifier sur internet le fait divers que vous décrivez tellement cette histoire est vraie, vivante. Il doit y avoir un problème avec les espaces dans votre nouvelle, car des blancs apparaissent en fin de ligne. Ou alors j'ai manqué quelque chose ? Bravo et bonne continuation |
izabouille
27/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La paranoïa qui monte, qui monte...
J'ai bien aimé cette nouvelle, sa construction sous forme de journal puis la conclusion sous forme de faits divers. C'est bien ficelé, dès qu'on commence la lecture, on a envie de lire la suite, on a envie de savoir jusqu'où va monter la folie du personnage. J'ai surtout été marquée par sa solitude, ça m'a touchée qu'il soit si seul. Juste une petite question : pourquoi y a-t-il des passages qui contiennent des doubles espaces? Merci pour ce bon moment de lecture, j'ai vraiment bien aimé. |
Anonyme
27/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Cette progression de la paranoïa engendrée par ce gros gain - on y croit - au loto m'a beaucoup amusé.
Je me suis laissé embarquer dans l'action en me demandant bien quelle allait être la chute... Plus que de la paranoïa !! Mon éclat de rire, en raison des billets de Monopoly ingérés, a clos cette histoire fort originale. |
plumette
27/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Thimul
je suis un peu "partagée" à la lecture de cette nouvelle. Pourtant ça fonctionne bien, la lectrice que je suis était pressée de lire la suite, après avoir dépassé le " Cher journal" un peu puéril et inutile à mon avis. La forme utilisée est très vivante, elle donne corps à votre personnage et j'ai cru avec facilité à cette paranoïa provoquée par ce gain mirifique et inespéré. La montée de la paranoïa m'a paru un peu inégale, parfois répétitive, pas facile sans doute dans cet univers assez étroit de faire monter la pression, il est un peu trop souvent question des voisins, mais c'est logique. L'écriture est bien adaptée au propos. Mon impression un peu en retrait avec ce que j'ai ressenti au début vient de la chute. En fait j'ai été déçue! J'aurais préféré qu'on reste dans un vrai gain au loto, le coup des billets de monopoly m'a paru un peu " trop"! Vous obligez votre lecteur à changer complètement de perspective ( renversement complet car la cause de la paranoïa devient en fait une conséquence) avec ce délire et l'effet de réel excellent avec le buraliste, le banquier , la française des jeux tombe brutalement. j'ai l'impression d'avoir été bernée. les chutes qui surprennent le lecteur sont un plus, à condition que rétrospectivement le texte reste cohérent. Néanmoins contente de vous relire! Plumette |
hersen
27/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Thimul,
Ta nouvelle a une vivacité certaine, et en cela, je n'ai aucun mal à revivre la fameuse scène d'Harpagon ! Au voleur ! au voleur ! Sauf qu'Harpagon, lui, avait véritablement un magot. Et c'est là où le bât blesse pour moi : les billets de monopoly m'ont déçue. Parce qu'au final, je trouvais l'histoire très vraisemblable avec un gain réel. J'ai vraiment aimé tout ce qui concerne les voisins," leur attitude qui change". Comme par hasard. Détail : la formule finie la vie, finies les soirées, finis les jours : ne faut-il pas "fini", puisque sous entendu "c'est" ? c'est fini la vie etc Merci de cette lecture ! |
GillesP
27/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonsoir Thimul,
Bon, une fois n'est pas coutume, je suis un peu partagé après avoir lu votre nouvelle. J'ai aimé votre façon de faire monter l'angoisse. Vous avez un talent certain pour créer une progression et tenir en haleine votre lecteur. Il me semble d'ailleurs que nombre de vos nouvelles sont construites ainsi. Hormis quelques moments répétitifs, on voit bien, jour après jour, le narrateur s'enfermer de plus en plus dans la paranoïa. Le style est adapté à vos deux choix narratifs: une écriture simple, hachée, avec des phrases nominales, pour le journal intime; une écriture plus neutre, plus "classique" pour l'article à la fin. Dans le journal intime, ce passage m'a fait sourire: "En fin de journée, mon voisin de gauche est allé frapper à la porte de mon voisin de droite. Comme par hasard." Mais certains éléments manquent pour moi de cohérence: - Tout d'abord, s'il s'inquiète autant au début, pourquoi ne va-t-il pas immédiatement au bureau de tabac pour faire valider son ticket? Il apprend qu'il a gagné le 6 et ne se rend au bureau de tabac que le 9 en fin d'après-midi. Pourquoi attend-il si longtemps? - Le 9, il va donc chez le buraliste pour faire valider son ticket, ce qui est suggéré par la phrase "Je remercie le ciel de ne pas avoir validé mon ticket près de chez moi." S'il ne l'a pas validé près de chez lui, on en conclut qu'il l'a bien validé chez le buraliste qui se situe à l'autre bout de la ville. Or, on apprend le lendemain: "J’ai téléphoné à la Française des jeux ce matin. Il y a moyen de toucher ses gains sans passer par le buraliste : ouf !". Certes, on comprend à la fin que le narrateur est fou et qu'en fait il n'a rien gagné du tout. Mais au moment où on lit ce passage, on est heurté par l'incohérence. Or, ce qui est fort chez un paranoïaque, c'est que son délire est souvent cohérent, même si les prémisses sont fausses. Il parvient par un raisonnement à rendre le délire convaincant. - La chute m'a certes surpris, mais elle ne me paraît pas cohérente avec le reste. On y apprend qu'en fait il n'a rien gagné, qu'il a tout inventé. Son téléphone portable révèle qu'il a appelé cinquante-trois fois l'horloge parlante. Mais dans le journal, le narrateur prétend qu'il a parlé à la française des jeux et à son banquier. Certes, il peut avoir imaginé tout cela, notamment à cause du manque de sommeil, mais c'est un peu tiré par les cheveux. A mon avis, la nouvelle aurait été encore plus forte s'il avait vraiment gagné au loto. En effet, on apprend que ce jeune homme était auparavant équilibré (il n'a jamais manqué une seule journée de travail). Qu'est-ce qui explique qu'il bascule tout à coup dans la paranoïa, s'il n'y a aucun élément déclencheur (en l'occurrence le fait d'avoir gagné une grosse somme)? Au plaisir de vous relire. GillesP |
Anonyme
2/9/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
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Vanessa
27/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
J'ai beaucoup aimé votre texte. L'écriture est propre et nette. Vous allez à l'essentiel. L'histoire est bien menée. Je ne m'attendais pas à ce que cet homme soit déjà atteint d'une maladie mentale. Bravo. |
SQUEEN
28/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Thimul,
j'ai beaucoup aimé cette lecture jusqu'à la chute qui m'a moi aussi dérangée. J'aurais préféré qu'il ait réellement gagné à la loterie ou bien introduire un doute (léger) avant, évoquer le jeu de monopoly ( ?)... L'histoire se tient mieux, à mon sens, s'il devient fou à la suite de ce gain, plutôt qu'il ne le devienne à cause... à cause de quoi? Ceci étant, ce récit est très bien mené, le crescendo est impeccable l'écriture est bonne: j'ai vraiment apprécié cette lecture merci. |
matcauth
28/8/2018
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour,
si j'aime l'idée, qui n'est pas originale pour autant, j'avoue ne pas accrocher au niveau du développement. C'est très caricatural, mais surtout on sait dès la troisième ligne où tout cela va nous conduire, jusqu'au final, parfaitement attendu, la seule interrogation étant de savoir si, oui ou non, il a vraiment gagné son million d'euros. Le côté journal ne me paraît pas approprié, il interrompt le déroulement. Pour le reste, évidemment, cela reste structuré, écrit avec sérieux et sans fioritures, et cela est important. Je ne vous connaît pas bien, mais j'ai le sentiment que vous écrivez de manière très vivante, à la manière d'un scénariste, que vous êtes ou désirez être, peut-être. J'aime cette démarche et je la trouve intéressante. Il y a là beaucoup de travail d'inventivité, d'imagination, et on ne se contente pas d'écrire pour écrire, il faut mettre en scène. C'est, je crois, ce qui manque ici. Bien sûr, je peux me tromper sur tout ce que je viens d'évoquer. Je crois avoir lu une histoire de jeu télévisé, je vais m'y replonger afin d'en savoir davantage sur vous. |
Anonyme
28/8/2018
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j'ai véritablement aimé ce texte.
le style y est trop simple ce qui facilite sa lecture. en le lisant j'y suis allé trop vite parceque je voulais découvrir la fin de l'histoire; j'avais déja ma petite idée sur la fin. et je dois avouer que jamais je n'ai eû autant de plaisir à lire une nouvelle que celle-çi sur le site ! jerusalem merçi |
jhc
29/8/2018
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
C'est construit, l'écriture est efficace et la chute brutale et originale. Je suis un peu gêné par la cohérence: une paranoïa soudaine apparue chez un honnête travailleur... toute cette réalité reconstruite, des faux appels téléphoniques et la réinterprétaion des comportement des autres: buraliste, collègue, banquier, fdj... jusqu'aux billets de Monopoly. Je pense que cela aurait mieux fonctionné avec un héros fragilisé psychologiquement dans son travail et un gain plus important (10 miillions ?) mais réel qui reste caché sous le plancher. Reste que votre histoire se lit bien, j'ai bien aimé la montée de la paranoïa et le contraste de style avec l'article de journal. à bientôt de vous lire |
Alcirion
30/8/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Bonjour Thimul,
J'ai apprécié ce texte bien pensé. La forme du journal intime donne du dynamisme à la construction et permet un crescendo délirant tout à fait crédible. La chute fonctionne bien mais est en décalage avec le fond. Le texte met en scène la progression dans la folie d'un homme perturbé par son gain et on découvre au final que la nouvelle est en fait l'élucubration d'un homme fou dés le départ. La première idée me paraissait plus intéressante. C'est bien rythmé et sobre dans l'expression. L'ambiance est bien posée par le ton trouvé : c'est compliqué pour les courtes nouvelles en narration à la première personne et ici ça fonctionne bien. Au plaisir d'une autre lecture ! |
thierry
18/8/2019
a aimé ce texte
Bien
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Belle progression ! Un thème classique ce pseudo bonheur qui part en sucette. En effet, l'argument est un peu tiré par les cheveux, comme ce renversement de la cause (le million) et de l'effet (la paranoia)
On frôle l'incohérence de cet employé modèle, mais bon ça fait toujours plaisir de se demander ce qu'on ferait avec un million, on se pardonnerait presque de ne pas l'avoir gagné ! Merci pour ce bon moment |