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plumette
25/6/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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A la fin de ma lecture, je sens à quel point je n'aime pas le monde qui y est décrit !
Impitoyable univers commercial, piège pour ceux qui y ont adhéré. ils sont entrés dans un engrenage qui anéantit peu à peu les plaisirs simples de la vie et les place dans une logique guerrière. Ah quand le burn out de Julien? l'histoire se lit d'une traite grâce à une écriture très fluide, une alternance de réflexions internes et de dialogues. Le désamour dans ce couple est inévitable, Julien tient à sa famille, mais de loin, pas au point de s'y engager vraiment. l'histoire montre bien comment, dans la répartition des rôles très clivés, le couple d'aujourd'hui ne résiste pas à la différence de rythme et d'ambition. C'est triste! et bien vu. Plumette |
ANIMAL
28/6/2020
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un texte terriblement réaliste, qui montre à la fois l’incommunicabilité et la lente érosion d’un couple qui se noie dans les soucis quotidiens. Lui, qui a tout misé sur sa carrière, se sent honteux d’avoir été dépassé, a peur d’être licencié et ne veut pas en parler, elle, qui a sacrifié son travail pour élever les enfants, ne se sent pas valorisée aux yeux de son mari. Ils ne se comprennent plus, tout est prêt pour le drame.
Pourquoi les hommes ne sont-ils pas capables de communiquer en cas de problème ? C’est la question que doivent se poser bien des femmes. Pourquoi les femmes veulent elles toujours des explications sur tout ? C’est celle que doivent se poser bien des hommes. Egoïsme et orgueil de Monsieur, relâchement par épuisement de Madame, les chemins de vie s’éloignent et cela finira par un divorce. Tant pis pour les enfants. Après la lecture de cette nouvelle prenante, qui démonte pièce par pièce le mécanisme de la détérioration au sein d’un couple qui avait tout pour être heureux, on a envie de dire bravo à ceux qui parviennent à surmonter tous les écueils pour durer. Rien à redire sur la forme, ce texte est très réussi. en EL |
placebo
18/7/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un peu perturbé au début par ces phrases et leur virgules qui nous emmènent de propos en propos, et puis j'ai bien aimé. "Dans ses pires cauchemars" : manque un "s'il se doutait" ou un "mais" ? "mais pas plus" : à l'écrit, je trouve que ce n'est pas très clair L'histoire m'a intéressé. La personnalité de Julien est cohérente tout le long. Il y a un vrai enjeu. Bonne continuation, placebo |
maria
18/7/2020
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Tiramisu,
Un sans faute pour le réalisme. Les personnages sont crédibles, préoccupés par la satisfaction immédiate de leurs besoins matériels inhérents à leur vie urbaine de bourgeois moyens. Je comprends que la succession de clichés était nécessaire à la cohérence de l'ensemble et au rendu de cette vie sans relief, mais quel ennui. Je suis désolée Tiramisu mais c'est uniquement ton style qui m'a fait aller jusqu'à la fin (heureuse, pour moi) (Au début, j'ai buté sur la répétition de "ce seuil d’incompétence") Merci du partage et à bientôt. |
IsaD
18/7/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Tiramisu
Je ne commente pas la forme car votre écriture est fluide et se lit bien. Par contre, sur le fond, j'avoue que je n'ai pas été sensible à l'histoire de cet homme pour qui, semble-t-il, n'existe que l'excitation de la compétition. Je n'accroche pas avec ce qui valorise la performance et le besoin d'être premier(e) à tout prix. Dans ce récit, j'ai trouvé Julien lâche, d'une part parce qu'il fuit le dialogue avec sa femme, d'autre part parce qu'il préfère se coucher (pour mieux manipuler par la suite) devant sa direction qui lui impose un travail en équipe avec l'homme qu'il déteste secrètement, celui-ci étant visiblement meilleur que lui. De plus, il attribue l'excellence de son collègue au fait que celui-ci serait fourbe et malhonnête, sans réellement se remettre lui-même en question. Après tout peut-être n'est-il pas aussi bon que lui, tout simplement. Justifier d'une enfance difficile pour s'élever dans la société au détriment d'autrui ne m'a pas convaincue. Je n'ai vu en Julien qu'un homme prêt à tout pour "réussir" coûte que coûte (si tant est que réussir, c'est être plus fort que les autres...). Désolée mais je n'ai pu m'empêcher de ressentir une réelle antipathie pour cet homme. La dernière phrase m'a particulièrement gênée : "Son portable vibre, il lit un message de Marine : « Je demande le divorce ». Un défi de plus, cela ne lui fait pas peur, au contraire cela le catalyse, il gagnera sur tous les fronts. Il le sait." Le désir de gagner de Julien est si fort que, même dans sa relation avec sa femme, il ne voit qu'un "défi" de plus... je pense qu'il gagnerait au contraire tout, en lâchant prise sur ses "défis" et en envisageant son couple différemment. Pas sûre que sa ferveur du combat retienne Marine pour de bon... Mais tout ceci reste mon propre ressenti. D'autres verront ce texte différemment. Ce que je trouve intéressant sur ce site, c'est de voir comment un même texte peut être perçu. Isa PS : En lisant votre nouvelle, je me suis également demandée quel message vous aviez voulu faire passer (si message il y a). Au plaisir de vous lire |
Anonyme
19/7/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Je ne sais ce qu'il convient de noter ici ; l'écriture en elle-même ou le thème choisi par l'auteur·trice. L'écriture est fluide et il n'y a vraiment rien à reprocher selon moi. En revanche ce thème est tellement rebattu à longueur de comédies "drame romantique" (oui oui j'invente des catégories ) qu'il n'apporte hélas aucune surprise au lecteur. Lorsque je résume en parlant de "drame romantique" c'est pour éviter de lister tous les éditeurs de littérature populaire qui surfent sur ces pseudo-drames familiaux sans beaucoup de discernement. Les personnages sont à ce point stéréotypés que je n'ai même pas envie de leur apporter la moindre sympathie tant ils ne dégagent rien. Après, il s'agit peut-être d'un parti-pris de votre part mais si c'est le cas je ne pense pas que ce soit judicieux pour aguicher le lecteur. Voilà, ça se laisse lire sans appétit et n'apporte rien de bien neuf en matière de nouvelle. J'ai vu, j'ai lu, suis déçu ! :) Je note tout de même l'écriture qui n'est pas laide soyons juste ! |
ours
23/7/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Salut Tiramisu
Dans cette nouvelle, tu t’intéresses à nouveau au monde du travail, à la compétition mais surtout à l'aliénation dans sa forme la plus vicieuse, lorsque les répercutions s'invitent à la maison. C'est comme cela que je lis ton titre en tout cas. Mais à la fin c'est Julien qui se redressera (en tout cas il semble déterminer) pour déclencher ensuite une nouvelle avalanche… D’ailleurs en écrivant cela, je me rend compte de cette ultime manipulation qui consiste à créer cette situation d’opposition pour le supérieure hiérarchique, opposition qui apportera sans nul doute encore plus de chiffre à terme, peu importe qu’il s’agisse de Julien ou de Pierre, d’une ressource diplômée ou qui s'est faite “sur le tas”, et peu importe les conséquences sur l’individu ! Je ne connais pas le monde des commerciaux mais je connais bien cet exercice imposé du bilan et la progression de carrière, les axes d’amélioration, les évaluations... entretien pendant lequel dire : “Je veux continuer à faire mon métier et du mieux que je le peux car j’aime tout simplement ce que je fais” est incompris à défaut d’être mépriser. Exercice qui amène souvent les collaborateurs dans cette ornière qu’est “le seuil d’incompétence”. Et cela, tu le décris avec brio, c’est très réel, même la réaction de Julien à la fin, tellement de sentiments contradictoires qui nous font oublier à terme qui nous sommes. J’ai beaucoup apprécié le travail sur la personnalité de Julien très nuancée, il semble avoir des valeurs, l’envie de se battre, et c’est un travailleur ! Sans excuser son comportement évidemment et ce geste de maltraitance “ordinaire” j’ai parfois eu le sentiment que son comportement est d’abord l’écho de sa mise en échec plus qu’une réelle volonté de faire du mal. Il n’est pas sympathique pour autant, c’est un pion pathétique. On pourrait regretter qu’à la fin ce soit des énergies négatives qui l’animent plutôt qu’une prise de conscience, ou même un doute qu’il y a d’autres choses de plus important à sauver que sa carrière, mais c’est le choix de l’auteure qui confirme selon moi la thématique abordée ici : avant le drame familial qui est aussi une triste réalité, ce sont les effets de la compétition au travail sur l’individu, le pouvoir et la manipulation dans le monde de l’entreprise, oui ça existe ! Sur la forme, je n’ai pas grand chose à dire, c’est fluide et on rentre très facilement dans le récit, à part quelques bricoles : L’estomac de Julien qui passe d’un état détendu après la première gorgée à “reste contracté” quand il mange une bouchée du gratin Le “long long cheveux blond” : je ne sais pas si la répétition est volontaire J’ai trouvé le “Cela sera quoi s’il a de bons résultats scolaires ?” pas très naturel un “J’imagine même pas ce que ce sera …” me semblerait plus spontané A la fin de ma lecture, je me suis dit c’est bien franchement, après l’écriture du commentaire qui oblige à reconsidérer le récit, je me suis dit que j’aimais finalement beaucoup, tant il y a dire sur ce sujet, et à quel point il n’est pas simple de le romancer |
Donaldo75
20/7/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Salut Tiramisu,
Encore une histoire tirée de l'entreprise, ai-je envie de dire. Contrairement à la précédente, celle-ci m'a moins plu, peut-être parce qu'elle véhicule un fonds moins louable que celle où la cadre RH se soucie des autres employés de la société. Ici, c'est plus la réaction d'un gars qui a atteint son plafond de verre. L'entreprise est cruelle, certes, mais régie par des règles assez simples à prévoir. Julien est à la ramasse, autant dans sa vie embourgeoisée que dans son métier. Il a peur de tout perdre, il est matérialiste et tire de ses propres valeurs sa manière de gérer les situations exceptionnelles. Je pense que cette nouvelle va plaire à pas mal de lecteurs parce qu'elle leur parle de ce qu'ils connaissent, de près ou de loin. Moi, elle ne m'a pas fait vibrer mais je la trouve bien écrite mais pas forcément bien racontée. Elle ne pète pas assez. J'aurai voulu plus d'explosion, de caractère, de tempête. Une autre fois sur un autre sujet. |
Tiramisu
20/7/2020
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Pour discuter c'est ici :
http://www.oniris.be/forum/remerciements-pour-effet-domino-t28327s0.html#forumpost390878 |
hersen
20/7/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Tira,
Le problème principal que je trouve à ta nouvelle est qu'il n'y a aucun personnage méritant l'empathie du lecteur. car qui voudrait se mettre à la place, s'identifier, auprès de l'un d'eux ? Julien est l'archétype du mec aux dents longues qui sera prêt à sacrifier tout sur l'autel de la "réussite". Il n'a pas d'aitres valeurs. Sa femme a les mêmes, mais c'est une refoulée, amère de devoir rester à la maison. J'ai été, par exemple, frappée que le coucher de l'enfant soit évoqué, mais que le lecteur n'en ait aucun écho. Qu'a dit ce fils à son père ? qu'a dit ce père à son fils ? C'est comme si on passait rapidement sur tout ce qui est fondamental, tout ce qui nous construit, pour ne rester que dans le monde de l'argent. J'aime bien que julien reproche à sa femme de trop dépenser dès lors que sa carrière est en péril ! :) et l'on voit que sa femme est du même monde (bonjour le divorce, ça va être houleux !) puisqu'elle n'a comme valeur que d'offrir un cadeau coûteux à son fils pour "aoir été plus calme en classe". Donc, d'un bout à l'autre, des valeurs négatives, de celles dont on sait qu'elles ne font pas le bonheur. mais julien n'aura de cesse d'écraser son supérieur et sa femme de demander une somme astronomique lors du divorce. Alors je regrette qu'il n'y ait pas d'échappatoire, pour aucun des personnages. Je comprends ton point de vue. mais il aurait été renforcé par un détail, une attitude différente. (qui pourrait venir du fil, par exemple, comme un espoir que cette chaîne de la course au fric se brise un jour - on pourrait découvrir qu'un copain lui montre d'autres valeurs - c'est juste un exemple, histoire de dire) Ton point de vue rend l'histoire très froide, trop réelle. Et c'est ainsi qu'en fin de lecture, je n'éprouve pas d'envol vers autre chose, mais reste plombée à ce commercial comme on en voit tant, dans le cadre de leur métier. Mais quelle est leur vie, à tous ? Comme ici, pas d'espoir ? Merci de la lecture ! |
Alfin
20/7/2020
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Tiramisu !
Personnellement, je suis client de cette nouvelle. Le sentiment d’incompétence chez les personnes qui ne sont pas BAC+X au minimum est source de stress. Ce stress est très bien rendu dans cette nouvelle. De plus, n’ayant pas envie de tout perdre, Julien préfère accepter toutes les propositions pour autant que cela ne signifie pas la fin de son monde si fragile. S’il n’est pas « aimable », Julien a le mérite d’être optimiste, il sait qu’il va y arriver, qu’il va trouver des moyens retors de conserver les choses au moins en l’état. C’est pathétique et mets en lumière l’abîme qui se trouve juste devant lui. Pour la forme, c’est très fluide comme toujours, quelques imperfections dans le phrasé, qui ne dérangent pas la lecture. Pour avoir lu 4 nouvelles dans la liste de tes parutions sur Oniris, je trouve que ton approche des portraits est très poussée, juste et bien équilibrée. Il y a toujours des rebondissements dans la façon de présenter le personnage. Le tout avec beaucoup de nuance et de justesse. Bravo donc, c’est un vrai plaisir de te lire ! |
Lulu
27/7/2020
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Tiramisu,
J'ai été attirée par le titre de cette nouvelle et, curieusement, je l'ai totalement oubliée durant ma lecture. Je n'ai effectivement pas ressenti d'effet domino vraiment, mais bien perçu "l'enchaînement d'événements" exprimé dans les mots mis en exergue. J'ai trouvé l'écriture de qualité, et très fluide. Elle facilite l'entrée dans le récit jusqu'à se demander ce qui peut bien arriver à ce personnage et à son entourage. Les actions ne manquent pas, même si tout y est quasiment "psychologique". Le portrait de Julien m'a semblé intéressant du fait de son ancrage dans le temps court et le temps long (sa situation actuelle avec sa famille et son travail, puis celle de son passé scolaire). J'ai pensé, s'il n'y avait pas de dialogues dans le couple que le personnage de Julien forme avec sa femme, quel dialogue lorsque tous deux expriment leur désaccord ! Comme entame, à ce moment du récit, le dialogue m'a paru être un des échos recherchés de ces événements qui peuvent interpeller le lecteur. Dans un second temps, l'échange que Julien a avec son supérieur et son collègue pourrait être vu comme un miroir de ce qui se trame dans l'esprit du personnage et que la narration montre bien. Sa nervosité ou l'apparente maîtrise de cette dernière. La demande du divorce m'a étonnée à cet endroit du récit. Je l'aurais mieux vue plus tôt, peut-être dans le flux de la dispute entre les époux. Mais j'ai trouvé la dernière phrase de la chute très efficace. Sa brièveté pour rendre compte d'une belle forme de certitude. |
Robertus
18/8/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Une nouvelle que je n'aurai certainement pas envie de relire pour le plaisir tellement les personnages sont frustrants dans leur incapacité à communiquer. Raaah ! Et la fin qui nous empêche de goûter à cette confrontation verbale tant attendue en terminant trop tôt.
Dans la forme il y a une conjugaison qui m'a fait un peu tiqué : " À l’arrivée des enfants, ils ont convenu ensemble qu’il valait mieux qu’elle s’arrêtât de travailler. " Je trouve que le présent passe mieux pour " arrêta ". ( qui n'a pas de " â " ni de " t " en passant ^^. ) Pour ma part, de la frustration donc. En cela c'est très bien réussi. Des mentalités et une philosophie de travail que je n'affectionne pas du tout. Une chose qui me plait par contre, c'est la recherche d'honnêteté par rapport à la réalité. Bon nombre d'hommes et de femmes vivent cette situation. Pour ma par j'en ai tiré quelques leçons. Des comportements à ne pas imiter. Des problèmes à désamorcer, surtout dans le couple, passé un certain stade de vie commune. |
SaulBerenson
18/10/2020
a aimé ce texte
Un peu
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Tout ce stress en col blanc cravaté me rappelle les BD de Lauzier des années 70.
L'ex belle épouse qui ne l'est plus, frustrée d'une carrière sacrifiée et déformée par des enfants arrivés trop tôt, le patron sûrement chauve avec double menton, le concurrent parfait qui fait de vous un loser, la maîtresse d'un soir de séminaire, font de cette nouvelle une caricature dépassée. Les Julien d'aujourd'hui télétravaillent et donc plus souvent à la maison. Leurs femmes font moins d'enfants. Ils sont moins stressés car finalement éjectable à tout moment et quoiqu'en soit leur performance. Nous sommes arrivés au bout du système libéral. Plaignons Julien et passons à autre chose. |