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guanaco
1/8/2007
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Le maniement des contrastes est assez intéressant entre les 2 volets. Que ce soit lumière/obscurité ou extérieur/intérieur ou encore joie éprouvée pour le poste /tristesse et solitude dans le poste.
Un vrai chemin de croix pour notre pauvre institutrice...mais au moins il a été pavé ;) Et la suite? |
macada
1/8/2007
a aimé ce texte
Bien
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la suite!!
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Fattorius
2/8/2007
a aimé ce texte
Bien
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... en effet, il manque une suite. Quel feuilleton! Reste que la langue est bien travaillée, ça tient la route. Quelques images, un ressenti mieux creusé du personnage principal et de son comparse (ambiance lourde? je ne l'ai guère ressenti) ajouteraient davantage de couleurs aux deux textes.
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TITEFEE
2/8/2007
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je préfère vous faire languir... ce n'est pas une nouvelle, mais presqu'une suite de nouvelles.....patience..
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farfadet
2/8/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je suis patient , sûr !
Vite petite fée continue vite !!!! |
Fattorius
2/8/2007
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... à moins que ce ne soit plutôt un feuilleton? Chaque élément ne se suffit pas à lui-même, contrairement à la nouvelle, mais relance l'intérêt.
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TITEFEE
3/8/2007
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disons que les mots m'échappant et l'histoire vivant sa vie propre à chaque cliquetis du clavier, cela va de plus en plus vers le roman à tiroir...j'espère de tout coeur qu'elle ne m'échappera pas... je découvre peu à peu les personnages..
mon idée initiale est bien dépassée maintenant, mais tous ceux qui écrivent connaissent ça.... on court après les mots et ce sont eux en définitive qui font la loi. |
Jeser
11/8/2007
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L'art de la relance appliqué après une description des lieux et de l'ambiance. on attend donc la suite
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Bidis
10/9/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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-des tilleuls qui avaient passés fleurs : expression que je n'ai jamais entendue et qui m'a parue bizarre...
-bandeau: large moulure plate et bombée. Je crois que pour la cheminée, manteau conviendrait mieux, surtout pour y placer des objets. Evidemment, ces petits détails n'ont rien à faire avec l'excellence toujours présente du style ni bien sûr l'intérêt toujours vif que je garde pour la suite de l'intrigue. |
Maëlle
30/11/2007
a aimé ce texte
Bien
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Note qui vaut pour les deux premiers épisodes (qui auraient pu être regroupé).
L'ambiance est posée, l'héroïne aussi. A pu qu'a commencer. |
Anonyme
17/12/2007
a aimé ce texte
Bien ↓
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j'ai préféré le premier chapitre. L'écriture était plus agréable plus fluide qu'ici
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xuanvincent
25/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Malgré la beauté paisible de la campagne berrichonne, la jeune institutrice commence à déchanter sérieusement, on dirait...
A la fin du récit, de nouveau, une pointe de mystère revient. Pourquoi les habitants de ce village berrichon se seraient-ils barricadés, craindraient-ils quelque chose ? Cet épisode m'a paru bien écrit comme le précédent et m'a plu. « à petit bruit » : une jolie expression, j'ai trouvé, si elle employée dans le sens de "secrètement, sans faire d’éclat". . pas mal , l’image du « tableau vert », vert et non pas noir ! . Je pris quelques bûches serrées sous la cuisinière (…) ... Tant pis, ce soir je me contenterai de cela... : j’ai apprécié l’insertion de ce dialogue dans le récit. Détails : . « le tableau « vert » (…) un rayon de soleil venait caresser les carreaux de son panneau amovible de droite... : l’emploi de « carreaux » pour décrire ce tableau m’a un peu étonnée. . « on était obligés » : je comprends qu’à l’oral, le personnage s’exprime ainsi. Mais à l’écrit ; grammaticalement, l’emploi de « on » implique l’accord au singulier, sinon on pourrait avoir « nous étions obliqés ». . « ceux-là même » : j’aurais plutôt accordé « même » avec « ceux-là »et écrit « ceux-là mêmes ». . « carrés de journaux » : cet emploi de « carrés »m’a un peu étonnée, même si je vois l’image. . « descendis pour aller voir un peu le village » : la formulation (par l’emploi de « un peu ») m’a paru un peu vague. |