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hersen
15/8/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Cette nouvelle, très courte, est pour moi beaucoup trop romancée. Sur du si court, je m'attends davantage à lire quelque chose de percutant.
L'auteur nous dit que c'est en référence à la grotte de Chauvet. Soit. Mais ça ne m'empêche pas de penser que le texte est très édulcoré et on peut dire qu'on ne sait pas grand chose de l'art rupestre. Je comprends l'idée de l'auteur, de mettre en mots ce qu'elle a vu de ces peintures, il précise qu'elles sont deux fois plus vieilles que celles de Lascaux. Mais rien dans le texte ne m'image cela. La vie a l'air même bien douce et je n'y crois pas un instant. De plus, nous n'avons aucune notions de l'apprentissage de l'art pictural. Seuls les matériaiux peuvent être identifiés et datés à coup sûr. Pour un peu, surtout que le nom de l'héroïne renforce cette idée, je me serais crue lisant la saga "AYLA, Les Enfants de la Terre". Je ne suis donc pas très emballée par le côté un peu simpliste. C'est dommage. |
JulieM
19/8/2016
a aimé ce texte
Pas
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Si l'idée de départ m'a séduite, votre texte lui, semble trop faible face à la magie et la puissante beauté des lieux évoqués.
L'écriture est appliquée, trop, et manque singulièrement de force évocatrice, surtout que le récit est essentiellement descriptif, prosaïque et rate le coche de l'envolée des âmes. Merci. |
Vincendix
1/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un retour sur le passé que j’estime bien raconté et c’est vrai que la découverte de peintures rupestres donnent à réfléchir. Difficile d’imaginer que nos ancêtres, vivant comme des sauvages étaient capables d’exprimer leur ressenti à travers des dessins, de reproduire leur vision des animaux. Ils allumaient du feu en frottant des pierres et pourtant ils avaient un sens de l’art très développé, c’est surprenant.
Ce récit est simple comme il doit l’être pour un tel sujet, seul petit reproche, la répétition lancinante de Alyia. |
MissNeko
1/9/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un récit simple et agréable à lire. J'ai aimé le thème de l'art rupestre moins le contenu de la narration. Il ne se passe pas assez d événements.
Mais cela reste un bon moment de lecture. |
Alphekka
1/9/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Les phrases sont courtes et de ce fait presque poétiques. Surtout au début. Après cela se perd un peu.
J'aime bien l'ambiance, le concept des "fresques prières", la connexion avec les animaux... Mais quitte à romancer votre découverte de la grotte, pourquoi ne pas donner une signification aux animaux représentés ? Puisqu'il s'agirait d'une prière. Pour moi il manque un vrai but à votre texte (autre que celui d'aller découvrir ce site qui a, je l'avoue, piqué ma curiosité). Ou au moins une conclusion. |
Charivari
2/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour. Je suis partagé vis-à-vis de ce texte.
D'un côté j'ai beaucoup apprécié l'ambiance dépeinte. C'est très poétique, très original. D'un autre côté, j'ai été assez dérouté par le style: paragraphes d'une seule ligne, manque de liens, de connecteurs... On est un peu entre la poésie en prose et le récit, je me demande si vous n'auriez pas dû trancher pour l'un ou pour l'autre. Là, ce style trop hâché empêche "l'envolée lyrique" et une vraie immersion dans le texte, ce qui est fort dommage, parce qu'il y a vraiment quelque chose dans l'atmosphère décrite. PS: je ne connais pas la grotte Chauvet, sauf en photos... Ça a l'air magnifique, dites-donc |
Anonyme
7/9/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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La Préhistoire est une tranche de notre histoire qui me passionne, mais je n’ai pas su entrer dans ta nouvelle, Troupi, et pour cause…
Dès le titre, à cause du prénom quasi similaire sans doute, je m’attends à relire l’histoire qui m’a passionnée il y a quelques années « Les Enfants de la Terre » de Jean M. Auel, et plus particulièrement son tome 1 « Le Clan de l’Ours des Cavernes » qui raconte l’histoire de Ayla, fillette Homo Sapiens recueillie par un clan de Néandertaliens après la mort tragique de ses parents, et qui, élevée par la guérisseuse de la tribu et son frère, un sorcier éminent, deviendra à son tour guérisseuse hors pair dans une vie romanesque à souhait. C’est certainement à cause du plus que bon souvenir que j’ai gardé de cette saga – l’auteure très motivée s’est entourée de spécialistes en la matière pour fournir un fabuleux travail de documentation, qui a donné à ses romans une authenticité plausible autant qu’attachante - que la comparaison n’a pas pu jouer à ton avantage. C’est difficile en peu de lignes de tenir têtes à six tomes d'aventures humaines relus X fois. J’en suis désolée. Je reste cependant touchée par la belle poésie que tu as mis en œuvre tout au long du récit, ce qui lui confère un éclairage nouveau et une douceur appréciable. Cette même poésie qui m’avait déjà emballée dans ton dernier opus et qui montre une grande sensibilité. A te relire, donc, très bientôt. Cat PS : Chauvet t’a inspiré Alyia, je lui avais préféré les Eyzies pour me représenter Ayla et Jondalar il y a 35 000 ans, finissant leurs vies au bord de la Vézère. |