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Lycanthrope
10/5/2008
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Un très bon texte pour moi, même si la narration comporte quelques lourdeurs et inconvénients... J'ai tout à fait adhéré à l'histoire: bonne philosophie, bonne construction, TRES bonne fin. Je ne suis pas particulièrement fan de la culture asiatique, mais je crois qu'on tient ici un conte sympathique, pas trop long, compréhensible et véridique en mettant l'accent sur la connerie et l'incohérence des sentiments humain extrêmes.
Bravo, donc, et merci pour ce bon moment. |
xuanvincent
11/5/2008
a aimé ce texte
Bien
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Quelle inventivité ! C'est toujours avec plaisir que je lis le dernier conte de Twinkle !
Pour la structure, je note un début - direct, par un dialogue et non par une phrase d'introduction, qui pourrait évoquer celui d'une nouvelle et non d'un conte. Mais le thème est d'emblée bien celui d'un conte. La fin fait écho à une phrase du début : le conte se conclut sur un silence à Fusang, contrastant avec la discussion au début de l'histoire. L'histoire, concernant le style, est bien écrite. La morale m'a plu. Le thème, l'intervention d'un astre qui s'interroge sur l'amour chez les hommes, m'a intéressée. Par contre, j'ai dû m'accrocher un peu pour suivre l'histoire des amours de Shou Hsing... C'est vrai, comme le laisse entendre ce beau conte, que l'amour chez les humains est bien compliqué à comprendre ! |
widjet
13/5/2008
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un autre conte humaniste, écrit dans un style classique et accessible, l'histoire est un peu confuse par instant et le tout mériterait peut-être d'être retravaillé. Je ne suis pas très friand de ce genre de nouvelle, cela étant, j'ai passé un moment agréable.
Widjet |
marogne
11/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J’ai d’abord cru lire « pluie et nuages » … et cela m’étonnait de Twinkle… quoique la crique…. ! peut être d’avoir trop lu mélénea !
Et bien encore un bien joli conte de twinkle, que je trouve vraiment exceller à rendre l’ambiance de ces pays qu’il semble tant aimer. Une petite critique, que je relève car assez fréquente. L’auteur parfois laisse quelques incohérences dans ses textes, ici il dit dans un paragraphe qu’elle autant éprise de lui que lui d’elle, et puis quelques lignes après le soleil se demande si elle l’aime. Et puis bon sang, pourquoi c’est encore la jeune femme pauvre qui en bave le plus ?!!! Enfin j’arrive à Saint-Pancrace … et je vais commencer ce week-end à Londres en rêvant à ce dixième soleil que j’ai bien peu de chance de rencontrer…. |