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macalys
8/10/2007
a aimé ce texte
Bien
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Une jolie nouvelle sous forme de conte poétique, qui selon moi gagnerait à être étoffée et retravaillée.
Je trouve que le rythme du début est un peu trop haché. En particulier la phrase "c'était un luthier très célèbre" me semble inutile. Son élément essentiel, l'adjectif "célèbre" pourrait être insérée dans une des deux phrases précédentes, ce qui aurait l'avantage de supprimer la répétition de "luthier". Quelques autres petites phrases m'ont interpelée, comme "Il n'y avait rien à faire, mais la femme dut tirer son mari pétrifié pour qu’il s'abrite." Je trouve que cette phrase est un peu maladroite voire même pas très cohérente. Mais il y a aussi de très belles phrases comme : "Le luthier imaginait les mouvements fantastiques des arbres et le flot grossissant de la rivière." (un exemple parmi d'autres^^) D'autres choses m'ont gênées lors de la lecture. J'aurais aimé que les personnages soient plus développés, car on a du mal à se représenter leur caractère et donc à suivre leurs états d'âme et à s'y attacher. De même pour les décors, je crois que pour l'endroit que tu as choisi, il y a de quoi multiplier les détails "couleur locale" pour nous faire un peu plus rêver. Ensuite, la nouvelle a l'air inachevée. Je crois qu'une petite conclusion philosophique serait appropriée pour un conte comme celui-là. Un truc du genre "a quelque chose malheur est bon", formulé plus adroitement bien sûr. Ou peut-être que tu pourrais reprendre des éléments du début dans la fin pour "boucler la boucle". Ou inventer une fin de toutes pièces... Enfin bref à mon avis il y a quelque chose à faire pour le dénouement. |
Twinkle
5/10/2007
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C'est super d'avoir des avis critiques, merci !
J'ai écrit trois contes dont celui-ci dans l'avion qui me ramenait du Japon, comme une sorte de carnet de voyage. C'était trop court mais j'avais peur d'oublier pleins de choses en ne les écrivant pas immédiatement... Les personnages n'y sont pas développés car l'individu ne se mettant pas en avant au Japon, ça ne m'a pas paru naturel de le faire. Le koto de goutte d'eau est un ornement des jardins zen. J'avais réfléchi à une conclusion mais j'ai abandonné car cela serait contraire au zen. |
Aldaron
9/10/2007
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L'histoire est courte mais plaisante à lire. La nouvelle tournant autour de la musique (et étant musicien moi même) je pense qu'il aurait été interressant de faire un rapprochement entre la tempète et la musique. En fait faire de ce conte une explosion de sonorités.
A part ça, j'ai apprécié! Merci. |
irisyne
26/10/2007
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J'aime beaucoup les contes zen et j'ai apprécié celui-ci. Il m'a semblé entendre les notes de musique...
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xuanvincent
22/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Un bien joli conte zen !
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marogne
11/11/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Il est un temple à Kyoto, le temple Zenri-Ji, où, au fond d’un vallon, entre deux volées d’escaliers qui montent vers des temples, est une source, et un puits. L’eau de la source coule dans une coupelle ; le puits est recouvert d’une natte de bambous. Un petit récipient de bois, au long manche permet de prendre un peu de cette eau, et de la verser ensuite sur les nattes du puits. La musique de l’eau qui frappe les bambous, et qui ensuite « goutte » dans la caisse de résonance qu’est le puits permet à l’esprit de comprendre ce qu’est la musique de la terre, de la création, la musique encore pure de la sophistication des hommes.
C’est à ce temple que m’a fait penser ce conte de Twinkle, qui n’est pas le premier sur ce thème, mais qui dans sa simplicité réussit néanmoins à faire passer un peu de cette pureté. Dans une moindre mesure, le conte suivant (dans mon ordre de lecture, colporte un peu la même idée). Je trouve qu’encore une fois Twinkle excelle dans les contes « Zen », qu’il continue ! |
Anonyme
23/12/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Un joli conte, tout en douceur.
Ce n'est pas ce que je préfère, je n'y suis pas particulièrement sensible, mais ça se laisse lire sans déplaisir. |