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costic
9/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Nouvelle jubilatoire, on soutient ce ré bémol révolutionnaire tout au long de la nouvelle.
Le portrait des musiciens me parait particulièrement bien brossé ainsi que le déroulement apocalyptique du concert. On souhaite à l’ogre une prompte rechute. La personnalisation de cette petite note rebelle et audacieuse est une réussite. Aucun bémol pour moi. |
Coline-Dé
11/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour
Voilà un texte sur un thème peu courant et de bien plaisante facture ! L'idée très " cartoon" est servie par l'écriture drôlatique et une progression assez cinématographique. Si j'ai trouvé de nombreuses phrases qui m'ont fait jubiler : *Vexé, le ré bémol qui ne l’entend absolument pas de cette oreille, vient faire trébucher à nouveau le majeur maintenant spongieux de la main droite du « Miracle d’Extrême orient ». *cet immense piano, puissant bloc d’ébène laqué jusqu’ à l’aveuglement. * il gifle un très beau fa dièse qui avait pourtant sa place (et de nombreuses, très nombreuses autres...) j'en ai en revanche repéré d'autres qui me paraissent nettement moins réussies : D'abord l'utilisation ( 2 fois en quelques lignes) de cet " improbable", que la mode actuelle nous inflige à toutes les sauces. Dommage dans un texte aussi original !!! Et ce "l’audience de cette représentation exceptionnelle se faisait fort de bien vouloir faire mentir le vieux bavarois, ce huit décembre dix neuf cent soixante douze." d'une lourdeur absolue, qui m'est resté sur l'estomac malgré trois citrate de bétaïne... Mais sur l'ensemble, j'ai passé un excellent moment : le texte documenté joue allègrement sa partition cartoon, on voit tout ( trop ?... non) Il y a ça et là quelques petites scories mais je ne bouderai pas mon plaisir, c'est plutôt rare de s'éclater comme ça à trois niveaux : écriture, musique et cartoon, alors j'applaudis à six mains ! |
Pascal31
13/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Très bonne nouvelle, pleine de trouvailles et vraiment plaisante à lire.
Ne serait-ce quelques répétitions un peu lourdes (comme par exemple : "les vents viennent apporter leur lourde pierre (...) en venant chercher querelle aux archers"), le style est agréable, l'histoire se lit facilement. J'ai souri plusieurs fois ("Un premier sifflet très Baseball vient taquiner Beethoven, mortifié au fond de sa tombe, plus mort que jamais." Excellent !) et franchement adoré quand le concert part "en sucette". C'est rythmé en diable et peu importe si Beethoven se retourne dans sa tombe, moi, j'ai passé un bon moment ! Merci ! |
Anonyme
22/3/2011
a aimé ce texte
Passionnément
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Alors là, j'ai adoré ! Les personnages sont fort bien campés, en quelques phrases, la progression logique et implacable, du menu incident au délire total. Je ne suis pas entièrement sûre de l'utilité de l'épilogue. Chapeau bas pour tout, y compris le style et l'originalité !
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Anonyme
22/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Voilà un texte qui m'a laissé carrément de marbre, qui ne m'a pas fait vibrer du tout ; péripéties interminables qui donnent une vision -forcément-humoristique de la musique classique, comme si c'était la seule façon de l'évoquer (je sais qu'il existe des amateurs dans ce domaine). Désolé, je n'ai pas adhéré même si je salue les intentions de l'auteur, mais tout cela m'a paru très convenu au bout du compte.
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Jagger
22/3/2011
a aimé ce texte
Bien
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C'est bien écrit et, malgré le tourbillon de péripétie, on s'y retrouve assez bien. Sans réellement m'avoir arraché un fourir, ce texte ma bien diverti et je crois que c'était l'intention.
Je voulais lire uniquement les premières lignes et le finir plus tard et je l'ai finalement parcouru d'une traite, arrivant en retard au boulot, mais bon, c'est signe que ce texte est digne d'intérêt. Je relève malgré tout une certaine longueur aux deux tiers du texte où la surenchère semble ne plus en finir. Bien aimé la fin même si, des le début de la scène, on perçoit la chute. Merci |
DouglasLejeune
22/3/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bien fait. On pense en effet a Tom (le chef) et Jerry (le pianiste), ce cote cartoon est bien reussi, mais il est en meme temps la limite du texte. La condamnation implicite de l'ex-nazi est de bon aloi mais sans surprise.
Sur la forme, j'eviterais "improbable" tel qu'employe deux fois au debut. Quelques legeres inexactitudes (pas ame qui vive (?), venin distille (instille?)). Beaucoup plus de choses agreables, trop nombreuses pour etre citees. Mention a la transformation de la baguette en tape-mouche, belle idee cartoon. |
Anonyme
22/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quelques longueurs peut-être vers la fin et un épilogue inutile mais franchement j'ai bien rigolé ! Plus ça allait et plus je voyais la gracieuse harmonie de l'orchestre partir en vrille jusqu'au pugilat final. Excellent décalage avec la rigueur et la sévérité que réclame la musique classique. Mettre du foutoir là-dedans est vraiment jubilatoire. Rien à dire sur un style impeccable. Bravissimo !
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Anonyme
24/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai lu il y a quelques jours un autre texte du même auteur. Je retrouve ici le même intérêt que j'ai pour son style et que je partage en partie, fondé en première impression sur la recherche de tournures originales, de formules, de choix de vocabulaire, poétiques souvent, et cherchant par moment une certaine irrévérence, voire une irrévérence certaine à mesure que le récit progresse.
Je propose une analyse plus fouillée du deuxième paragraphe. Ce ne sont que deux phrases, mais il y a déjà beaucoup à en dire et il serait ardu de pratiquer l'exercice sur tout le texte. L'auteur prendra ce qui l'intéresse. Et s'il y trouve un intérêt et qu'il le souhaite, je pourrais m'attaquer plus en détail à d'autres parties du texte. Le deuxième paragraphe, donc... Perchés plus haut, les vents viennent apporter leur lourde pierre à cet édifice improbable en venant chercher querelle aux archets. Il n’y a que le percussionniste qui n’ose pas tester les peaux tendues de ses outils, fort heureusement car personne n’apprécierait cette facétie dans ce moment d’extrême concentration. les vents : ellipse (les instruments à vent) très agréable, très poétique. les vents viennent apporter leur lourde pierre : le choc antagoniste entre entre vents et lourde pierre est une figure de style (dont j'ai oublié le nom) que j'apprécie particulièrement, mais qui hélas ne fonctionne pas sur moi pour le coup, vraiment pas convaincu par la pierre apportée par les vents. Le mot improbable est un mot du vocabulaire, certes, et qui a sa place parmi les autres, mais franchement, on l'entend partout dans la bouche des apprentis poètes, à moins que ce ne soient des poètes improbables. En plus, il est répété quelques lignes plus loin. Quelle horreur ! chercher querelle aux archets : j'aime beaucoup. D'abord, la musique en est extrêmement agréable : sons ET rythme. Personnellement, je supprimerais carrément cette pierre, cet "improbable", l'édifice qu'il qualifie, et en profiterais même pour sucrer un participe présent : -> Perchés plus haut, les vents viennent chercher querelle aux archets Les quatre ch présents dans cette phrase, ainsi rapprochés, apportent toute leur sonorité à la musique de la phrase. Deux en extrémités de phrase et deux autres plus rapprochés en son milieu créent un rythme très marqué préfigurant déjà l'apparition du mot percussionniste dans la phrase suivante. Le rythme est encore renforcé par les trois sonorités identiques ou voisines (é de perchés, er de chercher et et de archets), disposées en début, milieu, et fin de phrase. Bon, évidemment, on supprime alors l'idée d'édifice. Je ne sais pas, une métaphore peut-être, à développer brièvement : une pièce montée, pourquoi pas ? n'ose pas tester les peaux tendues de ses outils : j'apprécie cette distance et ce soupçon d'irrévérence qu'apporte le mot outils en substitution d'instruments. fort heureusement car personne n'apprécierait cette facétie : je suis très gêné par le mot personne. Personne, c'est personne, c'est-à-dire ni les musiciens, ni les spectateurs/auditeurs. Si ce personne colle parfaitement à personne parmi les musiciens, dérangés qu'ils seraient dans l'accord de leurs instruments, en revanche, ça ne colle pas avec personne parmi les auditeurs, car l'on sait un peu plus tôt que c'est à celui qui tirera de son outil les pires gémissements. Certes, cette dernière phrase est écrite avec l'apparence d'un narrateur neutre, mais je l'ai lue avec la sensation très nette d'un point de vue d'auditeur. Dès lors, je ne vois pas pourquoi les auditeurs seraient d'avantage contrariés par le percussionniste. Ceci me gêne donc, comme une incohérence de point de vue. Voilà pour le deuxième paragraphe. Apparaissent ensuite des éléments qui précisent le style. Mieux, il le modulent en fonction du contenu du récit. - Emprunts aux langues étrangères : Allemand, Anglais (plus précisément : Américain), Italien, voire même Coréen avec les consonances de noms propres. - Onomatopées permettant la progression dans la déstructuration du récit. - Vocabulaire devenant de plus en plus familier. - Ponctuation s'évaporant pour laisser place à une plus grande célérité des événements. - Choix du vocabulaire qui glisse du délicat au caustique, du caustique au brutal, du brutal à l'insultant, à l'image de ce Matthias-Von-Shämopfen-Von-Karajan. Ça devient le boxon dans la langue en même temps que le boxon dans l'orchestre. En relevant tout ceci, je ne peux me départir de l'idée que vous avec dû lire pas mal un auteur auquel je pense et que je ne citerai pas, car je serais curieux de savoir si vous pensez au même que moi. Juste pour la route, je relève encore quelques trucs que j'ai particulièrement aimés : le Dompteur d'Ivoire de Séoul (Oh, la belle réussite que voilà !) Pas le moment, John, se dit Second Violon (substitution d'un nom propre par un nom commun, encore un élément de style qui me fait toujours penser au même auteur) Anne Bancroft au premier rang s'évanouit dans les bras d'un banquier qui s'écroule à son tour (exemple, en passant, de l'évaporation de la ponctuation dont je parlais ci-dessus) Oh ! Un dernier petit truc marrant : il y a quelques minutes, il y a une éternité Tiens ! Une variante de ce que j'ai trouvé dans le texte que j'ai lu de vous il y a quelques jours. Non ! Ne me dites tout de même pas que vous avez chopé ça dans "L'été indien" de Joe Dassin ? :-) Bon, il y a bien sûr cette description très caricaturale des Américains et de leur prétendue non-culture, mais ça se fond assez bien dans le registre du propos. Et, surtout, elle est construite en s'appuyant sur des saillies jouissives. C'est quoi alors, finalement, ce ré-bémol ? Un majeur tendu bien haut et bien droit au nazisme ? Cette lecture était un plaisir. C'est un texte de musicien, fond et forme. Molto bravo, Maestro ! EDIT: Tiens ! J'ajoute un truc que j'avais oublié, mais qui m'avait vraiment énervé, sur le coup : Il oublie la beauté de cette salle superbe, d’ocre rouge ourlé de vagues d’or jusqu’au toit Ça serait pas des fois le plafond ? Ou autre terme d'intérieur. Parce que le toit, pour moi, c'est à l'extérieur. Du coup, le cinéma dans lequel vous vouliez m'entraîner était cassé. |
littlej
26/3/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je trouve cette nouvelle globalement mauvaise, à cause d'un manque de grâce dans le traitement. Le style est inégal aussi, car, par endroits, on trouve quand même des choses à se mettre sous la dent :
- "il guette le ré bémol avec sa baguette d’ivoire levée comme une tapette à mouche" ; - "du nom disgracieux de « bloody mother fuckers !!! »" ; - "en brandissant sa baguette tue-note". - La fin est pas mal du tout, malgré une imprécision du sujet, ici : "Mais il va mieux, les psychiatres le lui ont confirmé. Il fait donc la seule exception..." Mais, dans l'ensemble, le négatif l'emporte sur le positif. Puisque j'ai pris le temps de relever un certain nombre de phrases perfectibles, ainsi que de dénicher quelques choix de mot que je trouve bizarres ou simplement mauvais, je vous en fais part : - Trois fois l'adjectif "improbable" ; et pourquoi "édifice improbable" ? En quoi ? - Le verbe "venir" est utilisé trois fois, je pense, et, à chaque fois, il alourdit la phrase : - "les vents - "vient faire trébucher" - Du familier : "franchement, tout le monde s'en fiche" et du soutenu (même vieux) : "teutonne" - Et LA phrase moche selon moi : "Les trois mille huit cents auditeurs qui se tiennent dans son dos cessent sur le champ le bruit de leurs conversations vulgaires que le plus noble des smokings ne saurait - hélas - masquer". Un autre et dernier problème : la cohérence. A un moment le narrateur dit : "ce moment d’extrême concentration" ; pourtant, tout le long du concert, on a l'impression que les musiciens font tout sauf se concentrer. Pire ! Ils ne font que se regarder et se juger entre eux - le sommet : "Kwak Ki Deok se la joue faux-cul, version « Aah bon quelle fausse note ? » " Sur le fond, rien d'extraordinaire. Ici, tout est question de style : tenir la distance, ne pas lasser le lecteur, le faire entrer dans une ambiance, même dans un délire. Personnellement, je ne suis pas convaincu. Mais, on sent une fougue, une énergie, vous vous lâchez dans ce texte, mais j'ai l'impression que c'est surfait. Trouver le juste milieu entre le "délire totale" (c'est un peu le cas ici) et le "terne et trop maîtrisé", voilà aussi un problème à surmonter en texte humoristique. Bonne continuation. Et j'attends avec impatience votre prochain texte. j |
Charivari
27/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai assez aimé. Comme d'autres, ça m'a fait penser à un cartoon (Tom et Jerry à l'opéra, en l'occurrence). En général, c'est assez enlevé, bien tourné, avec humour, et de vraies bonnes trouvailles (comme ce Coréen qui s'appelle Kwak)
Pour moi, les points faibles seraient : -Un peu longuet, je trouve. Il y a, à mon avis, des éléments inutiles (par exemple le passé du chef d'orchestre allemand, un stéréotype qui nous évoque Karayan, et qui n'apporte rien.) -Le rythme du texte pourrait être retravaillé : plus nerveux, plus rythmé vers la fin. -Malgré l'épilogue, j'avoue ne pas avoir très bien compris le pourquoi de ce "Ré" de malheur. Du coup, il y a un truc dans ce texte qui m'a échappé, et d'autre part, je n'ai pas vraiment réussi à voir l'utilité de l'épilogue. Sinon, mis à part ces petits couacs, c'est un très bon texte. |
Menvussa
31/3/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un petit régal que ce Ludwig sauce barbare. Une écriture peut-être trop recherchée qui fait parfois craindre l'indigestion. Mais si le lecteur tient bon, s'il a l'estomac solide et le foie bien accroché alors il appréciera ce met épicé.
À déguster avec modération, au même titre que le chocolat noir ou qu'une grande cuvée. |
alvinabec
1/4/2011
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La mise en place est un peu lente, le langage soutenu. Trop. A partir du fameux silence ça démarre et c'est bcp mieux, le ré bémo bien trouvé, l'ambiance new-yorkaise survoltée aussi, le délire du maestro très logique dans cette progression. Très probant. Il n'y a que les casques d''improbables'. A vous lire...
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Bidis
2/4/2011
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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J'admire la virtuosité de l'auteur, parce que je ne vois rien de facile dans la rédaction de ce texte qui est, comme quelqu'un l'a dit, jubilatoire.
Sans doute l'écriture est perfectible et cette nouvelle mériterait, je trouve, d'être encore travaillée. Personnellement, j'ai relevé deux petites choses : - "Il n'y a que le percussionniste qui n'ose pas tester..." : je trouverais plus léger de dire "seul le percussionniste (hésite ?) à tester... " - "Il y a un chauve qui cherche..." : "Un chauve cherche..." Et cette phrase au début m'a gênée : "C’est à celui qui tirera de son outil les pires gémissements..." : pour un musicien, je crois qu'accorder son instrument, c'est établir toute une relation avec lui. J'aurais préféré : "On dirait que c'est à celui...", parce que là c'est le point de vue de l'auditeur. Mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier grandement ce moment de lecture. |
Togna
3/4/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bien que des subtilités linguistiques m’aient probablement échappées, j’ai lu avec plaisir cette nouvelle dont l’humour dépoussière avec brio la contenance un peu guindée des concerts classiques.
J’ai été inquiet à la lecture de la mise en place de l’intrigue. Elle est bien construite mais un poil monotone par son manque de variation de rythme. J’ai été rassuré par la lecture de la partie humoristique. Il est vrai que l’exercice est plus difficile dans la description que dans les scènes d’action. J’ai apprécié l’épilogue, surtout sa folle chute. Bravo Vichtis0 |
mraya
16/4/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un concerto inoubliable. Quelle idée originale ! Style alerte et sans fausse note. Juste deux petites remarques "L'audience de cette représentation exceptionnelle se faisait fortE de...." et "un ignoble ré bémol, Shämopfen LE (et non : la) prend en pleine figure. A part ça, chapeau bas, maestro !
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rmfl
30/11/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Eh bien mes enfants quel concert! cette note narquoise déclanchant la démence, la goutte qui tombe en E'es et fait déborder le vase! Génialement écrit!
Au pupitre j'ai vu Louis de Funes, et le pianiste avec des râteaux au lieu de mains! je joue moi-même du piano, connais le 5. de Beethoven et maestro Victhis0, je vous salue bien bas! Ce chef d'orchestre allemand dont l'origine juive ne joue en fait aucun rôle, aurait pu être Beethoven lui-même! Ne trouvez-vous pas? Bravo donc. |
Anonyme
13/1/2013
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Meilleur texte lu sur ce site pour l'instant.
Verbe, images, sujet : tout m'enchante. Plusieurs eclats de rire a la lecture de cette nouvelle tres reussie. Un grand bravo! |
Pepito
25/5/2014
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Je suis arrivé là via une description d'Oniris sur un forum, bien m'en a pris.
J'ai adoré, l'écriture vivace comme une partition débordante de croches. J'ai souri plein de fois et carrément rigolé à d'autres. Tout le monde en prend pour son grade, les petits pics distillés de ci de là sont un régal. Merci beaucoup pour cette délicieuse lecture. Pepito |