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nico84
4/11/2007
a aimé ce texte
Bien ↑
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Heureusement que tu me le dis, je n'aurais jamais cru cela possible. Je ne monterais plus dans un arbre déja que quand il est planté, j'ai déja le vertige...
Beau poéme. |
irisyne
4/11/2007
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Très bien écrit et l'histoire est originale.
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bernalot
5/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai eu peur que tu brises le rêve en écrivant une chute plus "conforme" à la "réalité" du genre "je me réveille en sursaut dans mon lit bien chaud...Mais non ! Il ne te reste plus qu'à écrire la suite de ce Nick Olgerson d'un nouveau genre !
Fais-nous encore délirer ! |
macalys
5/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un très beau texte sur un thème qui me plaît et qui est vraiment très agréablement traité.
C'est une vraie synesthésie que cette nouvelle : on voit, on touche, on sent la forêt grâce à tes descriptions à la fois poétiques et précises. J'aime comment tu fais correspondre les mouvements des arbres avec les sentiments du narrateur : la liberté, le bonheur et l'envol des grands chênes, l'angoisse et la peur avec la forêt qui se referme autour de lui... Cette façon de procéder nous happe dans ton récit et permet de s'identifier à la fois avec le personnage et avec le décor. Juste une petite remarque tout de même : je crois que parfois tu en dis trop, et tu pourrais élaguer quelques phrases un peu touffues (pour rester dans le registre lexical de la forêt...). De simplifier certaines phrases les rendraient plus fortes, leur donneraient plus de portée, surtout dans la deuxième partie où certains passages m'ont parus un peu longuets. |
Bidis
6/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Le début de ce texte m’a fait irrésistiblement penser à un tableau surréaliste. J’ai pensé à Magritte, à ses petits Messieurs qui pleuvent par exemple, ou à la grosse pierre en suspension sur la mer...
Les racines d’un arbre symbolisent entre autres l’inconscient – un arbre déraciné qui vole est une image très forte, perturbante. Ainsi, tout un temps, je suis restée sur ces impressions sans me dire que c’était un rêve, par exemple. J’étais devant un tableau surréaliste, point. Et puis, insensiblement, je ne sais plus à quel moment, j’ai pensé à une montée extatique vers l’orgasme, les branches m’ont fait penser aux bras de la femme, et cette interprétation s’est tout à fait contentée de la fin, qui était la redescente finale, normale, attendue. Et j’ai trouvé que c’était un très bon texte. |
Togna
14/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
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Loin des poncifs dans un vocabulaire précis.
Une des rares nouvelles du genre que j'ai relue pour le plisir. |
Werther
16/11/2007
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Très beau texte, très original!
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jensairien
28/12/2007
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J’ai halluciné sur ta description des arbres filant dans le ciel. J’adore cette idée et j’aime beaucoup la fin. Par contre toute la description de la marche dans la forêt ne me parait pas assez travaillée, et le style poussif, à l’image de ce «…racontars que l’on raconte…. » ou encore du héros qui s’assomme sur un « caillou ».
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leon
22/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est une bonne histoire, avec une belle idée, bien développée.
Juste, je pense qu'il y a des tournures de phrases lourdes ou inadéquates comme celle-ci :"Mes pieds se prennent dans une racine émergente et je m’étale violemment, déchirant au passage plusieurs cordes vivantes qui s’écartèlent sous mon poids." J'aurais vu qqc du genre : "je me prends les pieds dans une racine et je m'étale de tout mon long, cassant des lianes vivantes sous mon poids." Bien sûr, ça peut sembler être de la chicanerie pure mais ici, c'est tout ce qui fait la différence avec un tetxe vraiment très bien. Donc, simplement le style de certaines phrases à retravailler... |
marogne
24/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Quatrième nouvelle que je lis aujourd’hui de Victhis0, chacune avec une style différent, mais à chaque fois une écriture maîtrisée, plaisante, et à chaque fois une idée originale qui est développée de manière convaincante.
Etrange impression qui me reste de celle-ci. J’ai un peu eu du mal à me faire une idée du héros, entre le « simplet » du village qui raconte n’importe quoi, et qui s’invente des légendes, et l’observateur curieux, inquiétant car voulant toujours comprendre. Ce sentiment est renforcé par la façon dont « il » s’exprime, parfois avec une précision de scientifique, parfois de manière beaucoup plus « simple ». Il y a de magnifiques passages descriptifs de cette marche dans la forêt, et de la forêt elle-même, c’est sans doute ce que j’ai le plus aimé. Avec bien sur les deux premières phrases, fantastiques. Beaucoup de poésie aussi dans ce texte. Ps : « lassèrent » ou lacèrent » ? |
Bliss
25/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Fantastique idée que ces chênes volants!
Seul le passage dans la forêt, avant la "rencontre" avec l'arbre, m'a un peu déçue. Mis à part ce point, j'aime vraiment ce genre d'imagination farfelue, ces idées déjantées que j'aimerais avoir... Et, vraiment, toute la partie avant la forêt, est magique! |
FILOMENE
31/10/2008
a aimé ce texte
Un peu
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toujours surprise par le sujet et la façilité avec laquelle l'improbable devient naturel, "normal"....un imaginaire riche,et émerveillant, mais pour cette nouvelle la maitrise des mots me semblait trop pesante,trop fournie, trop fouillée..
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Jedediah
5/11/2008
a aimé ce texte
Bien
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Une nouvelle au ton décalé et au scénario improbable (en dehors des ouragans qui frappent de temps à autre les côtes américaines ou japonaises, les arbres ne volent jamais :-) ).
Peut-être que certaines phrases auraient gagnées à être davantage sublimées, mais l'histoire se lit très bien, même si la scène de l'arbre qui s'arrache au sol ne comporte finalement aucun détail extraordinaire, en dehors du bruit sourd et de la lueur verdâtre. C'est promis, je ne regarderais plus jamais un chêne de la même façon :-). |
Flupke
14/1/2009
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Remarquablement bien écrit et indéniablement original. Un pari osé vu l'irréalisme des chênes volants, ou plutôt disons le surréalisme du thème. Mais finalement c'est une agréable surprise, car cétait beaucoup plus intéressant que ne le laissent supposer les 2 premiers paragraphes. En fait je dois dire que lors de ma première lecture, j'avais rapidement abandonné, ne reprenant ces feuillets que 3 mois plus tard. Mais une fois que j'ai réussi à museler ma raison, j'ai trouvé ça très chouette. Bravo donc !
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Anonyme
14/2/2009
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Bon sang c'est pas vrai ! Comment tu fais pour trouver des accroches pareilles ? T'es un surdoué ! J'y retourne, j'ai pas lu la suite. Quelle décontraction, c'est dit comme si c'était normal de voir un chêne voler !
Y'a du génie. Vraiment. Ces racontars que l'on raconte... aie. "cette forêt agacée" je saisi l'intention mais je trouve ça... bizarre. "J’assiste à la naissance d’un grand chêne"... un chêne qui meurt, qui tombe... Mais bon, j'ai pas lu la suite. D'accord... pas facile à saisir l'hyperbole ou la métaphore de l'arbre-oiseau. C'est poétique, c'est très doux malgré quelques passages frissoneux et... c'est un peu long. mais je crois qu'il ne faut pas tenir compte de ce dernier avis, j'ai lu toutes tes nouvelles (sauf la catégorie SF, je n'y connais rien et je ne rentre pas dans le genre) ce qui fait que j'ai pris le pli d'une écriture ou plutôt d'une "peinture" noire, incisive, plus... musclée... alors évidemment, ce texte me parait un peu trop long. Et qui sait ? Un peu trop doux. |