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Anonyme
29/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Ayant déjà commenté cette nouvelle sur le défi N°8, je copie juste mon comm de l'époque : "L’atmosphère à la fois paisible et profonde est vraiment bien rendu et j’ai comme l’intuition que l’auteur(e) connait un peu le pays… La relation entre la nouvelle petite servante à la senteur de cerisier en fleur et du maître est esquissée assez subtilement, entre stupeur et tremblements et le reigi ancestral, la promenade en ville tout à fait raffinée comme il se doit au pays du soleil levant. Ainsi l’on poursuit le récit jusqu’à la fin sans s’ennuyer une seconde. Superbe nouvelle emplie de poésie. J’ai juste un léger reproche, le thème sur le « parfum de femme » est un peu survolé à mon goût." Anna en EL |
Anonyme
29/9/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je trouve beaucoup de charme à cette histoire simple, où le bonheur se glisse discrètement dans un univers austère, à la hiérarchie rigide. L'écriture m'a paru alerte comme Haruka, espiègle, sans esbroufe, bref très appropriée au propos. Le personnage d'Haruka m'a parlé, avec ses idiosyncrasies exprimées tendrement, délicatement.
Une légèreté qui m'a fait du bien, comme une bouffée verte du jardin quand on ouvre un instant la fenêtre d'une chambre de malade. Agréable et éphémère. |
Donaldo75
9/10/2022
a aimé ce texte
Un peu
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C’est marrant, au début, le personnage de Sensei m’a fait penser à celui du maître shaolin dans la série américaine « Kung Fu » où David Carradine interprétait le rôle principal. Bon, une petite remarque de forme : je ne vois pas l’intérêt de mettre les dialogues en japonais si c’est pour les traduire entre parenthèses. Si le but est de paraitre plus authentique, alors c’est un artifice qui ne rend pas la lecture plus aisée. A l’époque où ce texte était une réponse à un défi d’Oniris soit un jeu d’écriture, je disais qu’il déployait une tonalité intéressante, surtout vis-à-vis du thème et représentait une autre facette du défi, une autre manière de le traiter tout en restant dans le cadre contraignant de départ. Et que c’était une jolie histoire. Cependant, depuis il a été proposé au catalogue d’Oniris qui à mon goût se veut plus exigeant et personnellement je trouve que l'écriture n'est pas suffisamment relevée pour rendre le texte mémorable. De même pour la narration.
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papipoete
26/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Vilmon
Un récit tout en délicatesse, qui nous fait prendre les chemins de sous-bois, au bras de cette servante un peu gauche, qui s'excuse sans cesse, multipliant les maladresses mais susurrant chaque fois " pardon, mon maître " NB cet as du combat à mains nues, à qui l'on confie ( il ne voit plus ) la meilleure et la plus jolie servante, ne se satisfera jamais de sa perfection, préférant jusqu'à son dernier souffle, l'humble Haruka cette femme timide et pas très jolie, mais à cet " agréable parfum de fleurs " Comme une estampe, le tableau poétique nous suggère des images empreintes de couleurs suaves, et le dévouement sans borne à un maître, qui ne voit plus, mais ressent... |
senglar
26/10/2022
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Bonjour Vilmon,
J'avais adoré ta nouvelle présentée à l'occasion du défi N° 8 ; dans mon classement personnel elle faisait partie des toutes meilleures. Je reproduis ici le commentaire que j'en avais fait à l'époque : " "Sensei Mashimoto et la jeune servante" Joli conte ! Si on était en Arabie on pourrait en faire une histoire des Mille et une Nuits mais je présume qu'il existe de tels recueils enchanteurs au Japon également. Un excellent élément de dépaysement que ces extraits de conversations en japonais. La fin est bien amenée. Quelques phrases et paragraphes auraient peut-être gagnés à être plus aériens alors que l'histoire l'est, aérienne et parfumée :) Jolie métamorphose que celle de ce vilain petit canard. " Elle pourrait faire le sujet d'une série sud-coréenne dont j'ai découvert l'existence assez récemment et dont je raffole ; j'y passe beaucoup de mon temps, je viens de m'en enfiler deux de 54 et de 53 épisodes terminée ce matin à 1 h30. Environ 110 h de visionnage ! Dans ce classement tu venais en 3è position Eskisse P+, Perle-Hingaud P, donc logiquement je mets P- ( le - est purement technique) Bravo à toi ! |
wancyrs
27/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut Vilmon,
Dans le deuxième paragraphe je n'ai tiqué à l'utilisation du verbe "quérir" en ce sens que j'ai toujours pensé qu'on l'utilisait pour les choses... Puis, le sensei couché sur son tatami, pour moi qui ai fait du judo, je me suis demandé s'il était couché dans sa salle d'entrainement ou si vous parliez de son lit ; si oui, alors vous m'apprenez quelque chose de nouveau... Au début on est sensé être dans le réalisme, mais ensuite il y a cette inclinaison vers le phrasé du conte qui vient casser quelque chose dans la lancée initiale, sans pour autant dégrader l'ensemble. Bon la fin fait un peu "du trop déjà vu" et c'est un peu normal car la direction du récit/conte ayant changée lorsque l'état de santé du sensei a dégringolé, il fallait s'y attendre. Une lecture quand même agréable, merci ! Wan |
plumette
27/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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je mets ici le com de cette nouvelle fait en aveugle à la suite du défi N°8.
Encore bravo Vilmon pour ce dépaysement! Dans cette nouvelle, j'ai bien apprécié le dépaysement géographique et culturel. La jeune Haruka a moins de classe que les autres servantes mais sa spontanéité est son atout, ses initiatives font merveilles auprès du vieux Samouraï. La nouvelle est bien écrite, la jeune fille finement présentée. mon bémol: une sorte de déséquilibre entre les personnages: car si Hakura apporte beaucoup au vieil homme aveugle, je me suis demandée ce que lui apportait à la jeune fille. Le Samouraï a de rares paroles , il semble émettre surtout des grognements... Je pense que l'auteur(e) aurait aisément pu se passer de mettre les dialogues en japonais car la tonalité japonaise du récit est suffisante à nous transporter. La contrainte est parfaitement respectée et l'histoire pleine de douceur. |
JohanSchneider
27/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai trouvé dans cette bien jolie nouvelle comme un écho du Musashi de Yoshikawa.
D'ailleurs votre sensei Mashimoto est tout à fait digne des 21 préceptes du Dokkōdō. Je ne trouve rien à redire aux phrases en japonais, dommage toutefois de ne pas avoir pu les mettre également en hiraganas. |
Anonyme
30/10/2022
a aimé ce texte
Bien
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J'ai trouvé cette nouvelle légère et parfumée comme doit l'être le Japon que je ne connais pas. La relation entre ce vieux guerrier avaugle et la jeune domestique et très agréable à suivre. C'est charmant. Bravo !
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Blitz
31/10/2022
a aimé ce texte
Bien
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Belle écriture mais l'histoire ne m'a pas complètement emporté. Le rythme lent est sans doute adapté à des nouvelles "japonisantes" mais il manque un peu de sentiments chez le sensei, même voilés.
Le recours à du Japonais trop souvent et des phrases trop longues n'apporte rien, sauf à se dire "tiens, il parle le Japonais". La référence à sa maîtrise du combat à mains nues mérite d'être un peu développé. Peut-être un incident sur le marché? Une nouvelle esthétiquement belle tout compte fait. |
Anonyme
13/11/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour, Vilmon,
J'ai bien aimé votre histoire, mais sa forme ne fait pas honneur à sa délicatesse. Les tournures maladroites (et parfois les erreurs syntaxiques) ont en effet gâché ma lecture. Quelques exemples : "il était raconté que ce maître" (il se racontait) ; "une grenouille bondit hors de l'étang et celle-ci (...)" : celle-ci ferait référence à l'étang ! Il suffit décrire "une grenouille bondit hors de l'étang et fut si imprégnée, etc". "Loin du besoin" est maladroit ; "l'empereur avait ordonné qu'une jeune servante devait l'accompagner" : pléonasme (ordonner/devoir). Je suis également dubitative sur la traduction des phrases en japonais. Cela me plaît de lire cette langue que j'ignore, mais j'aurais aimé que vous me permettiez de la comprendre sans la traduire. |
Tadiou
30/11/2022
a aimé ce texte
Bien
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Conte simple et plein de charme; de la tendresse tranquille. Des personnages sans mystère et une écriture sans fioriture.
Message d'optimisme. On est dans un monde apaisé. Largement surréaliste donc, mais c'est un conte et le Japon excuse tout. Je ne suis pas sûr que le japonais des dialogues, avec traduction, apporte grand 'chose. L'exotisme est de toute façon largement présent. |
Marite
26/12/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bien que l'atmosphère de cette nouvelle soit un brin dépaysante, elle se lit avec plaisir. La traduction des propos en langue japonaise a été bienvenue pour mieux saisir la personnalité des personnages. Un moment de lecture tout aussi agréable que le "parfum de fleurs" émanant de la jeune servante.
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