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senglar
6/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Bon... déjà que je ne sais pas que qu'est le steampunk... Mais, comme l'ère victorienne j'adore... alors 27651 caractères... je me lance. ''Pourvou'' que j'aie assez de charbon... Poot Poot ! Vroum Vroum ! Peuf Peuf ! C'est très visuel, ça fait très BD. Ça me fait penser au fardier de Cugnot. (1769). ça respecte la mentalité de l'époque. Les explications mécaniques ne sont pas épargnées. Un dessinateur se régalerait à reproduire tout cela. On ressent une certaine ivresse qui n'est pas celle de la vitesse. Les ressorts de la ''comédie'' sont très classiques. Voilà pour l'introduction. Euh...''... lui-même au même sort...'' les grands brûlés, oui ça marche bien avec la vapeur. Étonnante remarque de Pauline : En quoi tout cela peut-il rappeler les Contes des Mille et Une nuits ? Ça devient de plus en plus technique, façon XIXè, pour aboutir finalement à l'invention d'une sorte de rayon laser. Les nodules sont des attrapeurs d'ombres qui brûlent les corps là où ils ont déchiré des morceaux d'ombre. Puis... Où la fée électricité s'avère être une sorcière électricité.. Il y aurait une ampoule dévoyée. En fin de compte ce sont les caisses d'ampoules qui ont été envoûtées, on leur a jeté un sort vaudou. Je me dis que c'est effectivement tout à fait un scénario de BD. Curieux tout de même que l'on retombe sur ce genre de pratiques en un siècle qui basculait dans une foi inébranlable quant au progrès et où on pensait que celui-ci ferait irrémédiablement le bonheur des hommes. (Faudra peut-être que je révise mon positivisme) Bon, il y a bien un jeu d'ombre et de lumière ; peut-être s'intéresse-t-on trop à l'ombre des maux alors que le sujet suggérait plutôt de s'attarder sur celle des mots (sic). Il est vrai que traduire Jaccottet en BD... L'auteur ne manque pas de carburant... euh... de souffle. Senglar en EL (Rédigé d'après mes notes alors que le texte m'était malencontreusement ôté de l'espace lecture... Tiens le revoilà, alors j'envoie le tout pendant qu'il est là. lol) |
jeanphi
9/4/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour,
Cette narration est très visuelle. Standards steampunks portés à un niveau de fiction très crédible. Belles descriptions, belle inventivité. Des personnages spartiates, leitmotivs du genre : le jeune rebel surdoué, l'oncle fin et illustre érudit, la fille hyper-polyvalente, l'inspecteur complètement anonyme et omniprésent. Des rebonds, de très bonnes idées d'un bout à l'autre. Un rythme parfait pour maintenir l'intérêt, j'ai juste trouvé l'entrée et l'installation sur les lieux du crime un rien trop longue, mais cela ne pèse pas. La rédaction est très bien menée, le ton assertif sert exactement le récit, le sujet et l'histoire me paraissent divertissants. L'atmosphère sombre s'installe de manière très étudiée, à ce point que la sortie finale m'est peu cohérente dans un premier temps ... ils se réjouissent de mener l'affaire à terme ? Et remarquable dans un second temps ... Le vaudou est une réalité, affaire bouclée. Une mécanique superbement rodée dans laquelle le tout petit lecture est à niveau d'un monde immense rendu abordable par votre picturation en claire obscure. |
Angieblue
10/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Une enquête mystérieuse avec trois détectives amateurs très attachants. J’ai bien aimé le cousin Edward avec son autolocomotion à vapeur. Il y a beaucoup de détails et ça amène bien les passages avec l’ampoule électrique.
J’ai également trouvé original et plaisant l’extermination des insolites nodules noirs avec des faisceaux de lumière. Et puis, votre idée est assez complexe puisque c’est lorsque l’ombre des personnages est touchée par les nodules noirs qu’ils ressentent une brûlure. Votre histoire est vraiment lumineuse malgré le thème assez sombre. Il y a quelque chose de frais et de ludique qui fait que l’on se laisse embarquer dans l’aventure. Je vous imagine bien apprécier Jules Verne pour le côté nouvelle scientifique. Et j’ai aussi pensé au « club des cinq », à « fantômette » ou encore à « Alice, détective ». Par contre, dans la première partie, il aurait été intéressant de lire les notes réelles du professeur qui a péri sur une des scènes de crime plutôt que le résumé de l’oncle Randolf. Ça aurait été plus crédible et ça aurait amené plus de suspense à l’enquête. Ensuite, la fin est assez facile et vite expédiée, quand même. Cependant, cette histoire de sorts vaudous m’a fait sourire ainsi que le coup du télégramme qui conclut en un éclair cette affaire. En somme, je me suis bien amusée à ce jeu d’ombres mortelles. C’est bien écrit, le thème est respecté et traité de manière originale et inventive, et j’ai surtout passé un agréable moment. Donc un grand merci pour cette aventure. |
Donaldo75
12/4/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Je ne suis pas un spécialiste du steampunk mais j’ai apprécié ma lecture ; l’écriture est de qualité, la narration va bien avec l’idée que je me fais du genre et l’histoire est bien menée. Les éléments explicatifs s’insèrent bien dans le récit sans trop le phagocyter. Certes, il y a beaucoup de dialogues et ils ont tendance à remplacer de la narration qui aurait pu être moins statique ; je crains que ce ne soit la limite du mode narratif. Certains clins d'oeil sont sympathiques. C'est une manière différente de traiter le thème, si tant est qu'il y ait une norme dans le traitement vue la nature dudit thème. Bref, je m'égare. C'est une nouvelle intéressante, comme disent les Britanniques dont je ne sais pas s'ils ne sont pas à la base du genre, du steampunk je veux dire (déjà qu'ils ont inventé le punk !)
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Dugenou
16/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour,
J'ai trouvé ici un texte distrayant, respectant bien les codes du steampunk, et également une façon de traiter le thème du concours d'une façon originale. Rien que pour cela, bravo ! Bon, il y a aussi dans ce texte des facilités narratives, comme les télégrammes, mais rien qui ait perturbé ma lecture. Je trouve amusante la référence au Contes des Mille-et-Une nuits : avec cette résolution de l'intrigue, aussi simpliste, je devine que l'auteur.e. ne se prend pas au sérieux, et assume le côté 'histoire à dormir debout' de sa production. Merci, et bonne chance ! |
Anonyme
16/5/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime bien
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En lisant votre nouvelle je me suis replongée dans mes impressions d'enfance, quand je dévorais les volumes du « Club des cinq » dans la collection Bibliothèque rose. En effet la narration m'a paru maladroite et trop explicite :
- excès des mêmes périphrases pour indiquer les personnages (j'ai eu notamment une indigestion de « jeune dame »), - excès de didascalies dans les dialogues, presque à chaque réplique, même quand ils ne sont que deux à causer, - personnages archétypaux. Par ailleurs l'histoire m'a assez plu, le côté steampunk est bien là. J'ai apprécié les descriptions techniques des inventions, et la digression amusante (un peu appuyée à mon goût, toutefois) des imperméables puants. Gamine j'aurais sûrement adoré ce récit, adulte j'en trouve la trame inventive et la manière mal adaptée à mon âge. Peut-être d'ailleurs est-ce volontaire, si vous cherchez à plaire à un lectorat jeune. |
Asrya
16/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Une nouvelle qui aborde la thématique du concours d'une manière plutôt originale. On reste sur du "premier" degré avec les histoires d'ombre et de lumière.
La tonalité est en effet assez proche de ce qu'on pourrait trouver dans le "club des cinq", ou "Scooby-Doo"" (oui... chacun ses références), ce n'est pas désagréable, loin de là. Il y a une certaine maîtrise des descriptions des différentes machines et équipements utilisés lors de l'aventure décrite, c'est le point que j'ai le plus apprécié. L'entame du récit est rondement mené, on se laisse attraper par le fil narratif et l'évolution de l'intrigue, c'est prenant et bien exécuté. Les personnages sont bien campés dans l'ensemble. Il y en a plus ou moins pour tous les goûts (manque peut-être un caractère plus rabat-joie, des personnages un peu plus sombre (indirectement lié à l'épopée)) pour rentrer réellement dans le caractère, un peu cliché et pas forcément appréciable, d'un texte de cette tonalité. Et puis l'aventure se poursuit, et... petit à petit, j'ai trouvé qu'elle se délitait sur la forme. L'attente sur la scène de crime, peut-être un poil trop long ou du moins pas suffisamment dépeinte pour que l'on s'y plonge les yeux grands ouverts. La partie plus "dynamique", avec le "combat" entre cette ombre et les différents personnages, ne m'a pas emballé plus que cela. La succession entre la narration et les dialogues durant cet épisode me paraît maladroit, du moins trop caricatural. Je reconnais l'exercice difficile et ne saurais réellement conseiller pour rendre l'ensemble plus... vraisemblant ; mais de mon point de vue de lecteur, cela donne un caractère enfantin, qui certes colle au "Club des cinq", mais qui ne m'a pas emmené avec lui. Et la fin, qui pour le coup me désarçonne. Trop rapide à mon goût, trop simple, trop expédié, et c'est un grand regret de lire cela alors que le tableau que vous aviez pris soin de peindre, la personnalité fumante des différents personnages, l'ambiance glauque, morbide de cette ombre mystérieuse, s'apparente un envoûtement vaudou, sans plus d'explication. Mouarf... je lisais dans votre plume une histoire prenante, de l'idée, de l'imagination, de la qualité à n'en point douter, et je me retrouve avec une chute qui prête à "sourire jaune" tant elle me paraît en dessous de tout ce que vous aviez mis en place. Bon, bon bon... j'espère que cela ne vous portera pas préjudice ! Merci pour le partage, au plaisir de vous lire à nouveau et bonne chance pour le concours ! Asrya. PS : une idée de l'auteur m'est apparue ; à voir si la révélation me donnera raison ! |
plumette
16/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Totalement ignorante de ce qu'est le steampunck, j'ai lu la nouvelle avant d'aller me documenter un peu.
Malgré votre indéniable capacité descriptive, je me suis ennuyée dans toute la première partie avec cette machine à vapeur et ses aspects techniques que je ne suis pas arrivé à me représenter. j'ai trouvé que la narration était vivante, et les trois personnages bien caractérisés. La partie relatant la veillée dans la chambre du crime est pour moi la plus réussie, avec une vraie tension narrative et des descriptions fantastiques de ce phénomène étrange. La résolution de l'affaire n'est pas à la hauteur du reste. j'ai trouvé que ce texte aurait pu gagner en intérêt en étant moins long. Il y a des détails qui ne me semblent pas être utiles à l'histoire comme par exemple l'odeur des imperméables. J'ai été dérouté par les anachronismes, mais je crois avoir compris que c'est une caractéristique du steampunck. je salue le travail! Bonne chance pour le concours |
Cyrill
17/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Bonjour,
Je découvre le genre littéraire steampunk que je pensais être uniquement une mode vestimentaire. Bon, autant le dire d’emblée, je n’ai pas accroché. L’aventure est racontée de manière puérile, en tout cas semble s’adresser à un jeune public. Elle est expurgée de tout ce qui peut faire la complexité de l’être humain, les personnages sont lisses. Le mystère de l’ombre à élucider est du même acabit. Les dialogues permettent de faire avancer l’action et de fournir quelques explications techniques mais ils ne me semblent pas naturels, trop écrits en cela qu’ils contiennent des informations qui auraient dû à mon sens être laissées à la narration. On retrouve – crois-je me souvenir - ce même travers dans « Le club des cinq » déjà cité. Alors bien sur il y a du mouvement et de l’action, le souci également de la précision technique qui est appréciable, mais ce n’est pas suffisant pour en faire une lecture qui m’emballe. Merci pour le partage. |
Vincente
17/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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J'ai beaucoup aimé tout le déroulé narratif, les personnages bien campés, sans excès, l'ambiancement steampunk avec un environnement à la Edgard Poe, vraiment très agréable pour le voyage proposé. La maîtrise de l'écriture, la tenue descriptive des inventifs ingrédients (la machine, le souci analytique des situations, le phénomène assassin, etc…). Tout ça marche très bien et offre une agréable lecture.
Ma grosse déception vient du final, la chute est brutale, au propre comme au figuré, trop pauvre par rapport à la richesse de tout ce qui a précédé, et puis assez facile, rapide, se satisfaisant d'une manifestation dont la croyance guide le "patient/croyant", dans une sorte de somatisation agrégeant puis produisant les événements. Sauf qu'ici, les "enquêteurs/chercheurs" n'ont pas eu en eux les adjuvants formant la croyance ; donc toute l'histoire tombe à plat. C'est vraiment dommage car pour un public adolescent, ou adulte se replongeant dans sa jeunesse, ce texte présente en amont un bel intérêt. Deux petites choses mais dont la première, si tôt dans le texte, m'a un brin inquiété quant à la rigueur de la suite, mais non elle est restée une exception. Dans la deuxième phrase, "Elle tourne la manille du télescope…", le terme "manille" est impropre (par cohérence, il reviendra d'ailleurs dans le texte). Ce petit objet est destiné à lier deux éléments, ici il s'agira plutôt d'une "molette", une petite roue qui commande un petit engrenage réglant la focale. En fin de première partie, dans cette phrase " Allez, venez, Eddy, ajoute-t-il d’un ton plus joyeux, en l’invitant de la main. J’ai demandé que l’on nous prépare du thé, comme tu l’aimes.". Pourquoi une deuxième personne du pluriel là et tout de suite après un tutoiement ? Si l'adresse première va à Pauline et Edward, pourquoi pas, mais alors l'enchaînement de la phrase doit être repris ; supprimer par exemple "Eddy". |
Disciplus
17/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Une histoire mécanique pré-industrielle qui dérive en enquête Holmesque pour finir en opération vaudoue, le tout dans un style "punk à vapeur" : Vous avez-dit "original"?
Certes, on se doit de préparer consciencieusement sa nouvelle (personnages, lieux, temps), Certes le style choisi attend moult justifications mécanico- technico-fictionnelles extrapolées du 19ème siècle ( Côté science-fiction du "steampunk") Certes, nous ne sommes pas astreints à l'authenticité des fonctionnements mécaniques, développements techniques, carburants et autres ((merci monsieur Léon Serpollet) Mais est-il nécessaire, à la fin des fins, d'avoir une si longue introduction avant d'en arriver au coeur du sujet (ombres et lumières)? Les personnages sont assez peu traité. Un homme et sa fille sont mandatés par la police sur une affaire de meurtre (?) Le neveu, inventeur prolifique, s'adjoint à l'expédition au motif qu'il est ingénieux (?) La deuxième partie (explication du titre) est confuse, se voulant à la fois enquête, justification, délibération et résolution. Peu nous chaut l'épisode des imperméables nauséabonds, les dialogues scolaires et les menues améliorations inventives du neveu. Venons-en aux bulles d'ombre meurtrière. Pourquoi pas, mais malaisé de suivre les imbroglios des protagonistes dans leur tentative de résolution du problème. On reste sur sa faim et la chute s'en trouve forcée et précipitée. Quelques points de discussion : La correcte procédure de démarrage - Un cheval qui continue d'avancer avec son intelligence - Il n'y a aucun témoin, à part quelques personnes - Le dos vouté en confidence - Randolf leur chuchote la suite (pourquoi chuchoter?) - Lui même au même sort - termine-t-elle d'un chuchotement - S'interroge avec alarme - Les passages sont étiolés - les phrases ont été manuscrites - aucune manifestation quelconque - Match brouillon. Essai à transformer. |
Vilmon
9/7/2023
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Bonjour, pour quelques explications et remerciements :
ICI |