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plumette
12/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Une écriture soignée pour un texte hommage à un jeune afghan et à ce sport peu souvent mis en valeur qu'est le volley-ball.
j'ai toujours un peu de mal avec les textes rédigées à l'imparfait, je ne sais pas trop dire pourquoi. Ce temps véhicule souvent , avec le passé qu'il évoque, de la nostalgie et/ou des regrets. Je trouve très personnelle et assez complexe l'allégorie autour du ballon de volley mais n'ai pas vraiment réussi à adhérer à cette vision. Quant au thème du concours, il sourd de manière assez ténue de cette évocation, l'ombre de la guerre et de l'exil et la lumière d'un sourire et d'un jeu partagé. |
Disciplus
12/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Style appliqué avec quelques préciosités stériles :" un puits profond où demeurait l'interminable intermède déchirant l'espoir de l'autrefois à jamais retranché au plus lointain de sa mémoire - Entrebâillant la paroi du passé en suspend." Penser au lecteur = simplification.
Le personnage aurait gagné à plus de visualité. Bon ressenti introspectif du jeu de volley-ball qui fait l'intérêt du projet. L'ensemble se lit sans anicroche. Adéquation avec le thème assez distant. Originalité modérée pour une belle histoire dans l'air du temps. in extrémiste / in extremis (locution latine) |
jeanphi
12/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Je pense que vous posez un acte de fraternité humaine par votre choix de présenter cette nouvelle dans le cadre du concours. Un seul essai, et vous choisissez 'la solidarité'. Je ne me projette pas volontier dans une nouvelle sur le sport, mais je vois davantage l'ouverture d'esprit, l'amitié sobre et naturelle entre vos deux protagonistes, leur bienveillance et leur respect mutuel. Le sport est un vecteur idéal pour votre message, nul compte tenu de l'aspect médiatique (vedettes, gros sous). L'écriture est effectivement très juste dans sa majeure partie, le vocabulaire est utilisé sans emphase. Certaines phrases pourraient être raccourcies selon moi. |
Corto
13/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Cette nouvelle aborde un thème assez ardu mais l'auteur a su dominer son sujet.
La première partie décrivant le vécu de "Jahan" pourrait paraitre difficile mais on perçoit entre des éléments factuels "À quatorze ans, il avait rejoint la France", un second plan qui attend de se révéler. Il y a comme un suspense qui alerte le lecteur et retient l'attention. La seconde partie apporte analyse et profondeur. "Une soirée autour d'un verre...il tenta de me raconter l'attrait qui avait grandi en lui pour ce sport". On entre dans un nouveau monde, intérieur, appuyé sur les péripéties du jeu "« sauver la balle », la rendre arme et bijou, s'amouracher de ce ballon à la peau de bébé, tendre et tendue à la fois,"; et bien sûr ce passage: "Boule de feu (on ne peut la toucher qu'un instant sans s'y perdre), boule de lumière, boule de vie ouverte aux possibles… espoirs…" L'auteur choisit ici des mots forts, montrant ainsi le ressenti presque essentiel vécu par le jeune réfugié: "une intelligence profonde du système de jeu dont l'environnement aux composantes existentielles ordonnançait la scène sportive". Ce texte est audacieux et riche. Bravo à l'auteur. |
Cyrill
13/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Bonjour,
Je comprends le ballon comme représentant espoir, liberté, lumière. Il semble également représenter le garçon lui-même : Jahan. Il devient projet et évènement au hasard des mains qui le relancent. Je comprends l’envol du ballon comme le chemin vers l’émancipation, la maturité et l’accomplissement. Les passes entre joueurs où la balle ne touche pas le sol : respect de l’altérité, partage et entraide. La balle, boule de feu, perce l’obscurantisme. L’allégorie, à mon avis est trop riche de sens divers. Tout en en saisissant des bribes et leur valeur métaphorique, j’en viens à perdre le fil de votre pensée. Dans la partie qui détaille les règles du jeu de ballon, je n’ai pas senti d’incarnation, c’est peut-être ce qui me manque pour comprendre plus clairement le propos du narrateur. La traduction métaphorique qui est faite de ce sport et de ce qui se joue entre les protagonistes, me demeure donc confuse. C’est néanmoins un récit sensible, nuancé et pudique sur la relation et les sentiments existant entre les deux garçons. Cet aspect-là m’a touché. Le thème du concours est partout distillé, un bon point aussi. Merci pour le partage. |
Angieblue
13/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Une écriture élégante que j’imagine plutôt féminine en raison d’une certaine douceur. Attention, cependant, car parfois la recherche de complexité ou de jeu sur les sonorités peut lui faire perdre en clarté et en aisance.
Par exemple, "en vue d'un respectif respect", ça ne fait pas naturel, c'est même désagréable à mon oreille. Pas très fan, non plus, de ce passage que je ne trouve pas très fluide avec 2 x "des" et l'expression "avec plusieurs" : "Jahan, qui avait participé à des animations des soldats dans les villages, avait sympathisé avec plusieurs souvent présents" Il y a aussi cette formulation qui ne fait pas naturel: "un puits profond où demeurait l'interminable intermède déchirant l'espoir de l'autrefois" Et enfin, je n'ai pas compris la phrase finale avec le fait de rendre "millénaire". Mais, j’ai apprécié le jeu de métaphores avec l’image du ballon. C’est assez subtil et poétique. Par contre, j’ai trouvé que le thème n’était pas suffisamment exploité. Vous l’effleurez simplement, mais ça ne fait pas naturel, on sent que c’est une contrainte, surtout lorsque vous cherchez à illustrer le côté lumineux, par exemple avec l’image de la boule de feu. En somme, ça se lit bien, c’est symbolique, mais ça ne m’a pas passionnée car c’est peut-être trop sage et modéré au niveau du scénario comme au niveau de l’exploitation du thème. |
Asrya
15/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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L'écriture est plutôt agréable, les phrases sont soignées, on se laisse prendre et certaines descriptions/réflexions sont tranchantes, restent, notamment celles qui concernent la pratique du volley. Pas évidemment de s'imprégner d'une telle situation, et c'est ici remarquablement écrit.
La dimension ombrageuse autour du passé de Johan est passée sous silence, effleurée, juste de quoi laisser le lecteur apprécier sa noirceur. Peut-être qu'en amener visible une petite partie, maigre ceci-dit, aurait permis d'accentuer ce caractère sombre de la vie de Jahan. L'auteur fait le choix de laisser le lecteur appréhender seul la vie de ce jeune homme, une stratégie qui cherche probablement à ne pas toucher le "pathos" que pourrait faire surgir une telle démarche. Louable donc, mais la prise de risque est mince. La structure narrative et les différentes ellipses, sauts temporels ne sont pas toujours limpides et auraient probablement mérité plus de clarté, mais ce n'est pas si gênant. Quelques phrases un peu maladroites, du fait probablement de la ponctuation, ou de leur longueur, exemple : "Au foyer où il vivait, des activités étaient proposées mais aussi, les clubs .......sur les affichettes, et l'animateur du foyer proposait d'accompagner pour s'y présenter toute personne intéressée." ou encore "Ensuite, visée ou chute ... elle vieillit certes, mais surtout s'accomplit." Pour le coup, j'adhère un peu plus à la recherche subtile derrière la thématique imposée. L'ombre du pays qui plane derrière, et cette "lumière" (le volley) qui permet à Jahan de l'en faire sortir. C'est moins "terre à terre", et c'est une dimension "poétique" qui m'attire davantage. "Alors que la toile de fond de sa passion dans l'ombre de son pays me restait très diffuse, en surimpression la luminescence qui se jouait et se rejouait encore transperçait l'obscurantisme qui l'avait éloigné des siens. Lumière de la boule de feu ! Bien loin de la simple échappatoire… un défi à jamais relancé." dans ce passage, probablement trop d'insistance sur la thématique "ombre/lumière" ; pas certain que la "lumière" de la boule de feu soit nécessaire par exemple. Alors que le titre ne m'emballait pas franchement, j'ai plutôt été agréablement surpris de l'inattendu de la thématique abordée, et de la qualité de la rédaction concernant les phases de volley. Un ensemble qui m'a plu, que j'ai apprécié. C'est déjà ça. Merci et au plaisir de vous lire à nouveau, Asrya. |
Luz
18/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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J’ai trouvé très intéressante et originale cette nouvelle sur l’immigration et le dialogue par le biais d’un sport très particulier : le volley-ball. J’ai beaucoup aimé l’image du ballon « boule de feu, de lumière, de vie », insaisissable, juste à toucher l’instant d’une relance ; le fait également qu’il n’y ait aucun contact entre les deux équipes, sauf par l’intermédiaire du ballon qu’il faut sauver de la chute au sol.
Bonne chance pour le concours. |
Catelena
19/5/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime un peu
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Il y a des tournures de phrases qui ne glissent pas, donnant un côté emprunté, voire guindé, à l'ensemble de cette histoire bien sympathique au demeurant.
Par exemple, cette phrase sur le volley-ball et les Américains. Elle me donne l'impression d'avoir voulu raconter mille choses qui se seraient précipitées toutes en même temps sous votre plume, provoquant un chahut dans leur agencement. Par delà, il m'est donné d'assister aux prémices d'une amitié basée surtout sur l'admiration que porte le narrateur à Jahan. Admiration née de la belle empathie dont fait preuve le narrateur à l'âme assurément sensible. Car on ne saura rien de ce que pense le mystérieux Afghan sur son camarade de jeu... Le décryptage du jeu de volley est fort poétique. Il donne lieu à une envolée lyrique qui va permettre l'entrée en scène de l'ombre et la lumière requises par le thème du concours. Au final, une tranche de souvenir pour nous parler gentiment de nostalgie, à laquelle il manque pour moi un peu plus du croustillant de la vie et de son épaisseur. Merci pour le partage. Et bonne chance pour le concours. |
senglar
19/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Bonjour,
J'avais lu cette nouvelle en EL et j'avais hésité à la commenter car j'eusse commencé ainsi :''Ecriture élégante, très féminine...'' et puis je m'étais dit :''Ouh là !Qu'est censée être une écriture féminine ! A une époque où il n'y a plus de genre itou itou. Tu vas te prendre Me Too sur la figure !'' D'où... silence radio. Mais voilà que l'Onirienne Angieblue écrit « Une écriture élégante que j'imagine plutôt féminine...'' C'est la caution d'une femme. Alors Youpi je me lance. Bien, il faut dire que je vais un peu plus loin qu'elle car je me suis demandé jusqu'à assez avant dans la narration (''...ami'') si le métropolitain de cette aventure était une fille ou un garçon et si on ne se dirigeait pas là vers une histoire de cœur, la fameuse étincelle qui vainc toutes les ombres. Non, la boule de feu, la foudre sera ici le ballon. A mon avis – lien et munition - pas évident mais pourquoi pas après tout. L'originalité du texte consiste à avoir choisi le volley comme sport d'intégration et d'illumination, sport qui n'est plus si confidentiel mais qui est loin d'avoir la notoriété du foot et en Amérique du Nord du basket. Ça surprend donc même si c'est bien expliqué voire justifié. Mais s'il est louable de mettre ce sport en lumière je me demande si c'est le meilleur choix. Le basket aurait permis d'aller vers l'autre, de l'éviter, le frôler, le bousculer, d'aller véritablement à son contact, il aurait permis de tenter de le conquérir, ce qui aurait demandé un vrai mélange, un esprit de réelle ouverture. Le volley ne permet pas cette dynamique, chacun reste bien sagement chez lui, sous peine de pénalité et le filet est une frontière. Je reconnais à l'auteur(e) le fait qu'il(elle) explique précisément et intensément son choix en investissant le ballon de propriétés mystiques. Bien, il 'agit quand même d'éviter que l'autre ne l'attrape, de le mettre hors de portée et aussi chacun est tenu de reste chez lui, sur son territoire. Et je tiendrais plutôt pour le basket avec son gros ballon flipper. Pas facile de relier tout cela au thème du concours. Un ballon de caoutchouc une boule de feu ?... Enfin je ne comprends pas trop non plus la mortification de l'autochtone, il a fait autant et plus qu'il n'a pu ; La plus belle fille du monde – ici le plus beau garçon – ne peuvent donner que ce qu'ils ont. Ceci dit cette nouvelle est bien entendue très bien rédigée et je salue sa plume. |
Donaldo75
28/5/2023
trouve l'écriture
convenable
et
aime bien
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Quand j’ai fini de lire cette nouvelle, je me suis dit ceci : « marrant, j'ai joué pendant des années au volley-ball et je ne l'avais jamais envisagé comme ça, ce sport. » Et j’ai trouvé cette histoire sympa, humaniste, bien racontée, à des années lumières en termes stylistiques de celle que j’ai lu juste avant. Ici, la narration est claire et ne s’embarrasse pas de circonvolutions inutiles pour tenter de délivrer une message. Du coup, ce dernier n’est pas brouillé ; je n’ai pas besoin, en tant que lecteur, de me prendre la tête à rassembler des concepts et de la symbolique dans un maelstrom mal exprimé. Non. C’est clair, net et précis. Et ce n’en est pas mécanique pour autant. Une lecture agréable, en somme.
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Geigei
15/6/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Je viens du fil de retour. Du sport ? Tiens, pas banal.
« Lui est libre. Il circule. Il peut attaquer et se défendre. C’est un prolétaire qui a bien tourné. » C'est Blondin qui parle du coureur cycliste. Comme quoi, le sport et la plume, ça matche pas mal, et c'est un terrain de jeu accueillant pour l'analogie. J'ai lu ce texte facilement. Le filet évite l'envahissement, le cerf-volant a un fil à la patte. Le propos ne manque pas d'images. « Et la balle s'élance pleine d'espérance, elle part en son destin… puis frôle le faîte, âge mûr aux yeux rêvant… » C'est une plume poétique qui a écrit. Je ne lirai rien de vous sur le foot. Dommage :) |
Vincente
15/6/2023
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