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Melenea
29/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup... la nature humaine y est décrite d'une façon tellement vraie... merci pour cette lecture...
Mél |
widjet
29/7/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Après les deux premieres nouvelles plutot prometteuses de Violoncelle, j'attendais celle ci de pied ferme. Même si la déception est au rendez vous, je retrouve dans ce texte au titre évocateur, cette même sensibilité à fleur de peau, cette affection pour les personnages. En dépit de sa jalousie, le personnage principal est presque attachant (etait ce la volonté de l'auteur ?) et celui d'Albert est assez bien dépeint (mais guère à son avantage limite niais non ??) même si j'attendais plus.
Version très libre, moderne et résolument soft de l'histoire que nous connaissons des deux frères, le texte se lit sans ennui....en regrettant que l'auteur ne soit pas allé au bout de son idée (le texte est trop court je trouve) W |
Anonyme
29/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Beaucoup de maîtrise et de sobriété. Un texte qui se lit de bout en bout sans lassitude. Il a l'avantage de revêtir un caractère universel pouvant être lu par tous, ne tombant dans aucun excès.
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Athanor
29/7/2008
a aimé ce texte
Passionnément ↓
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Alors là ! C'est du tout bon.
Les différentes manipulations sont le fil conducteur de cette nouvelle très, très... intrigante. Lorsque j'ai corrigé ce texte, je n'ai pas suspecté cela. En relisant, je me suis attaché à ce pauvre (Caïn ?) sur la luge derrière son frère (Abel ?), caché mais lui ressemblant et ce, sans prendre garde. Je me suis fondu dans le niveau du langage. Cinique, il a évoqué la mort de son frère mais c'est une belle qui en est morte... Le cheminement mène Caïn du pinacle au buchet Et ça, j'ai vraiment aimé. |
Anonyme
29/7/2008
a aimé ce texte
Bien
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Et bien moi j'ai eu une esquisse de plaisir..
je reste une fois n'est pas coutume sur ma faim... Mais j'adore ce Cain complètement à la masse, et cet A(l)be(rt)l qui ne voit rien. Un petit clap clap et un merci... |
Anonyme
10/8/2008
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Très belle écriture.. bien maîtrisée..
Mais l'histoire ne m'a pas plu (Eh oui, bien que je déteste ce verbe) Plu, n'est pas le mot. Vu le titre je n'entendais à autre chose. Je sais pas moi un meurtre plus violent que cette pauvre fille qui s'éteint d'amour...Le remord, les regrets..et l'oeil aussi.. Brouuuh!! ;) Et puis Caïn comme Albert je les trouve un peu niais. cucul quoi.. Mais bon. Je salue tout de même, l'exercice de style. |
fred
29/7/2008
a aimé ce texte
Bien
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Moi, je trouve cela résolument bien. les sentiments crus, sans fard. Sans le fard de la sophistication des pensées par trop policées.
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strega
29/7/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je suis terriblement partagée pour ce texte...
D'un côté, je me dis que l'idée est proprement géniale, adaptation qui aurait pu être vraiment intéressante. Le style me plait aussi, au moins dans un sens. Et puis je me dis et alors quoi ? C'est quoi la suite ? Je n'ai pas saisi le but. Caïn (?), a-t-il fait tout ça consciemment, par pure jalousie, ou sans véritablement s'en rendre compte ??? Et le style qui dans un sens me plait m'a un peu irritée à la longue. On dirait un enfant de huit ans qui parle. Je suppose que c'est voulu mais bon... Je suis un peu d'avis de widjet, ce texte est peut-être un peu court, ou alors, pas assez exploité. Mais je dois bien reconnaitre que les sentiments sont particulièrement bien décrit, ça, j'aime. Frustrée quoi ! |
patapapier
30/7/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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C'est bien de toute une famille à la masse dont il est question.
On aimerait en savoir plus sur les parents, Adam et Eve de banlieue, lesquels ont engendré l'humanité qu'on sait. |
Max-Louis
31/7/2008
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Bon jour Violoncelle,
Le texte est intéressant mais certaines incohérences, le met à terre. Supposons comme base de départ : La mère met au monde Caïn à 20 ans, et à 40 ans, Albert. Caïn a 20 ans, Albert 0 an. (pour ne pas dire qu’il vient de naître). Quand Caïn a 40 ans, Albert a 20 ans, leur mère a 60 ans. - - - - - - - - - - - - - - - - - - Caïn dit : « J’étais un peu trop (oxymore) vieux pour ce Ministère », on considère comme vrai cette assertion et qu’il a 40 ans et Albert a 20 ans. Trente ans plus tard, Albert a 50 ans, il reçoit : « une belle médaille toute dorée ». Remarque : La médaille d’or se distribue entre 35 et 40 ans de service, selon les ministères et pas tous. Caïn a 70 ans et leur mère a 90 ans. (et je ne parle pas du père). Et la suite. Ah, la suite !. Quand Caïn dit : « Déjà tout petit, quand on se chamaillait, lui et moi ». J’ai du mal à croire qu’un jeune homme se chicane avec un tout petit. De même, quand il continue sur sa lancé : « il finissait toujours par calmer le jeu ». Un tout petit qui calme le jeu, a un sacré caractère de diplomatie déjà. Mais les surdoués existent, ce qui n’est apparemment pas le cas : « le matin, il ouvre la porte aux visiteurs et l’après-midi, il distribue le courrier dans les étages ».Ouvre-t-il la porte toute la matinée aux visiteurs ? Il est groom ? Mais s’il ouvre que la porte, que fait-il toute la matinée ? Et l’après-midi, il distribue le courrier. Je comprends mieux le retard de certaines administrations. Ne chipotons pas sur ce sujet. Son emploi : « il s’occupe des relations avec le public ». Entre ouvrir une porte et le courrier, j’ai du mal à digérer l’intitulé de l’emploi. Et ensuite : « La solidarité, Albert il y croit dur comme fer » et je passe les exemples qui occupent sa vie privée. Comment se fait-il qu’un homme comme lui, diplomate dans l’âme, humaniste dans le cœur, occupe un emploi de relations avec le public, ouvre une porte et distribue le courrier et ça pendant 30 ans ? Etc, etc . . . trop de choses à dire sur ce texte. Pour conclure : des incohérences sous jacentes ou patentes mettent à mal ce texte. Ou bien c’est un texte comique et je n’ai rien compris. Ce qui est possible, d’ailleurs. Aucune note. Max-Louis |
Olivier
4/8/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Tranche de vie de plusieurs vies loupées, j'ai aimé.
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pounon
15/8/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un texte que je découvre (pas très assidu sur le site) encore une fois je me suis sentis pris aux tripes. Que c'est bien écrit. Oui violoncelle sait jouer sur les sentiments. Grand talent assurément.
Merci pour cette tranche de vie. |
victhis0
16/9/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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c'est lourd et pesant et c'est çà qui est bien. Il y a du malsain et du sordide partout sans que se soit écrit : tout est induit et c'est ce qui fait sa force. Beaucoup d'amertume par procuration...J'ai beaucoup aimé l'épaisseur de ce texte, ce côté très vrai qui fait foid dans le dos, sans tartouillages littéraires.
C'est vrai que les dates m'ont un peu troublé, elles m'ont interompu dans ma lecture (calcul mental parasitaire) masi n'ont pas entâchés mon plaisir outre mesure. Merci pour ce texte assez costaud. |
Menvussa
30/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Un tout petit truc m'a gêné :
"Et puis il y a la lettre d'Églantine Radier." Quand on lit cette phrase, la lettre est dans la boite, or, il n'en est rien. Le "Et puis" est-il approprié ? À part ce détail, je trouve ce texte superbe, cette façon de décrire l'horreur sous-jacente d'une vie somme toute banale. Le comportement de la mère, cette haine qui s'installe entre les deux frères, à sens unique il est vrai, mais on peut penser que de Albert vers "caïn" il y a une indifférence coupable. Bref superbe, une tranche de vie qui a de la gueule. |
Flupke
11/3/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Intéressante histoire. Un peu exagérée parfois, mais s’il l’on fragmente chaque exagération du récit en un cas individuel, j’imagine qu’il doit y avoir des cas similaires qui collent à la réalité. Quelle famille !
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