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widjet
10/8/2008
a aimé ce texte
Bien
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Chronique du désespoir et de la solitude ordinaire.
Peu de mots suffisent pour nous interpeller. On a tous un Jules sur notre palier. Merci W |
patapapier
11/8/2008
a aimé ce texte
Bien
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Quand nous ne sommes pas nous mêmes le Jules.....
un petit détail de français : "d'où son sens aigu de l'ordre et du rangement que reflétait ". Je crois qu'on dit plutôt " d'où le sens aigu de l'ordre et du rangement que reflétait ... |
Anonyme
11/8/2008
a aimé ce texte
Bien
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Concis, précis, direct, in medias res. Une écriture de magicienne et avec la même précision j'en aurais lu sans problème 30000 signes...
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Anonyme
11/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est effectivement tres court, mais Dieu que "ça rend" bien...
Une solitude intérieure vue de l'extérieur et qui a l'air si anodine... Tellement anodine que l'on en meurt. Touché. Coulé. Bravo. C'est tres humain et tres bien écrit. Pour faire aussi bien passer un sentiment aussi lourd en si peu de mots, il faut diantrement bien les choisir... |
Anonyme
11/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une chronique du désespoir et de la solitude que j' aurais voulu un peu plus longue, plus fournie en détails. Il y en a de très parlants et très bien décrits, et je dois être trop gourmande !
Le regard que l'on porte sur les autres est bien loin parfois de la réalité. On passe si facilement à coté d'un suicide annoncé, pour peu que le protagoniste soit déterminé à " partir " Espérons que le Mexique de Jules lui conviendra mieux que son présent si triste. Au moins est-il parti avec l'espoir de vivre un peu dans le cœur d'une dame.mais au fait, vivait-elle seule, était-il secrètement amoureux d'elle ? Et elle de lui ? Auraient-il raté une vie ensemble, par peur de non réciprocité ? Je reste un peu sur ma faim pour le coup. En effet, rien ne transpire de ses sentiments, à elle. Mais à moi d'imaginer, n'est pas ? La forme me semble irréprochable, le rythme y est. J'aime beaucoup le " elles le méritent " Jules ne pensait pas mériter que l'on prenne soin de lui, alors, s'il s'est supprimé. |
Athanor
12/8/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Eh bien j'aurais pu être profondément touché par ce texte, chère auteur. Mais j'ai un petit souci de compréhension.
Je ne juge pas sur la forme, déliée, sobre, juste. Avec des sentiments qui ressortent. Non ! Je ne saisis pas comment Jules a pu confier ses plantes. Il les a toutes démanagées chez sa voisine ? Et la carte... Quand a-t-elle été mise dans la boîte aux lettres ? Et par qui s'il n'y avait pas de timbre ? Je suis rabat-joie mais quand quelque chose me chiffonne et que je veux comprendre, je me lance. Et j'aurais aimé voir le texte un peu plus long. Ceci dit, le thème est très fort et je suppose que lorsque l'on écrit sur ça, on ne sort pas indemne et on peut oublier certains éléments. |
Anonyme
3/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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L'homme, à force de répéter toujours la même chose, s'en lasse et se tue. Pas que l'homme, d'ailleurs, et notre société bien rangée stéréotypée pourrait aussi se tuer un jour...
Très beau texte violoncelle, qui est juste bien calibré pur nous fairee comprendre le sort de Jules sans pour autant nous faire s'apitoyer sur son sort. |
Anonyme
3/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Cela me semble très fort et très retenu à la fois. Mais le personnage de Jules ne me semble pas totalement désespéré : on ne sent pas le désespoir au début... enfin ce n'est qu'une impression. Sinon j'ai vraiment aimé.
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Flupke
29/10/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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J’ai bien aimé cette courte nouvelle,
« La police est formelle ». Cette phrase surprend bien. Mes yeux ont-ils dérapé d’un paragraphe ? J’aime bien l’effet de surprise qui contraste après cette description d’une vie réglée comme un métronome. Il ya qqchose de touchant pour l’affection ( ?) de Jules envers ses plantes, et du souci de leur bien être. |
Menvussa
30/10/2008
a aimé ce texte
Beaucoup
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Partir en s'endormant, d'un sommeil éternel sur commande. On ne connaît pas les gens qui nous entourent, ou si peu. Se connaît-on soi-même ?
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