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MarieL
14/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Un récit touchant, très moral, belle leçon d'humanité à une jeunesse insouciante et égoïste.
Le vrai sens du mot "fraternité" illumine ces lignes sobres et belles. |
Donaldo75
21/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Le fond est très intéressant. La forme lui rend hommage même s'il y avait peut-être de la place pour plus de développement. Cependant, ce n'est pas gênant car il y a dans ce récit une forme contée qui expose bien le thème. Le style d'écriture reste sobre et cela contribue à l'intérêt de cette lecture.
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hersen
22/10/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Si je suis en quelque sorte d'accord avec la morale véhiculée dans ce texte, je regrette le côté bien-pensance qui donne toute la place au père et renvoie l'adolescente à ce qu'elle est, une ado préoccupée par autre chose que de choisir la valeur du billet dictée par le père, qui ne se tracasse pas de savoir si le mendiant aveugle réussira à récupérer le billet ou non.
On peut le voir comme le rôle du père qui veut instiller la charité dans l'esprit de sa fille, OK, mais je ne crois guère qu'un ado apprend à partir de ça. Être généreux vient de soi-même, le père pouvait lui-même donner le billet au mendiant. Puis il pouvait ensuite ouvrir une conversation avec sa fille. Mais pas l'obliger à faire ce que son père pense bien de faire. Elle doit avoir ses propres choix. Ceci mis à part, je trouve que la nouvelle a du corps, qu'elle est bien écrite. (on n'a pas besoin d'être d'accord sur tout dans une nouvelle pour lui reconaître une bonne écriture !) |
Malitorne
11/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Une histoire moraliste pas déplaisante mais un peu trop vite expédiée. Davantage de développement lui aurait apporté plus de consistance. J’ai bien aimé le dépaysement de la mendicité, façon de nous rappeler que la pauvreté n’a pas de frontière.
Deux réserves. L’incipit qui tend à suggérer qu’il faut être chrétien pour donner, et l’adolescente avec des magasines au contraire d’un smartphone plus approprié. |
Robot
11/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Dans les années 1960 les journées scolaires débutaient par une maxime écrite au tableau noir. Ce récit me fait penser à certains textes que l'on nous proposait à l'école primaire pour illustrer ces leçons de morale (républicaine).
Ici, un père veut inculquer à sa fille la notion de générosité avec un plus concernant la manière de donner. En accord avec le fond j'aurais souhaité que les personnages soient présentés avec plus d'épaisseur. Ici, ils font assez "clichés" |
Vincente
11/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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J'aime bien la concision de l'écriture, très ciblée mais tout de même avec une focale attentive, assez ouverte et fine, qui du coup permet d'inscrire ce petit moment de vie, et de réflexion, dans un texte facile à lire, pertinent dans sa forme.
Je suis par contre très réservé par l'orientation à laquelle invite l'incipit. D'abord parce que ce côté qui donne pour ensuite récupérer, du type retour sur investissement me dérange vraiment ; le beau geste altruiste, gratuit lui le vrai, se trouve "gâché" par ce nécessaire pendant en retour qui validerait le don, celui-ci n'étant donc plus un don mais un prêt, une sorte de donnant-donnant avec Dieu (d'autres diraient gagnant-gagnant…). C'est tout le problème avec la charité chrétienne. D'autre part le lecteur est invité à retrouver dans ce préalable, les ingrédients qui le démontrerait dans la mise en scène. C'est dommage de ne permettre une lecture vierge, exempte de préconisation, voire de prédication. C'est aussi dommage de limiter le texte qui suit à cette orientation alors qu'il est plus que cela : un regard sur une posture éducative (en cela bien intéressante narrée de cette façon très propre ; j'ai apprécié le respect du père, qui semble sincère et juste, pour "l'homme assis sur les marches", de même sa conscience que la mendicité est une souffrance en elle-même). Dommage aussi que l'auteur n'ait pas instillé quelques doutes sur le fait que si l'ado est si aveugle face à ce mal-voyant, c'est bien autant parce qu'il est absorbé par ses dépendances aux écrans que parce que le modèle parental n'a pas été assez manifeste pour lui, peut-être trop transparent dans ce cas avant. |
Dameer
11/11/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Hello wancyrs,
Un bon récit, qui convie une morale propre aux religions : se préoccuper des pauvres, leur venir en aide. redistribuer un peu de sa richesse. C'est vrai chez les chrétiens, c'est vrai en Islam, et certainement aussi dans d'autres religions. Faire la charité n'est pas quelque chose inné, elle nécessite un apprentissage régulier auprès des enfants, par l'exemple des adultes : le père ou la mère doit pousser son enfant dès son plus jeune âge à donner lui-même aux déshérités, que ce soit de l'argent ou de la nourriture. Si ce père commence à inculquer la charité à sa fille à 16 ans, je me dis que c'est trop tard ! J'ai malheureusement relevé deux incohérences dans ce récit ; Cela se passe à Dar es Salaam (ville que je connais bien), les noms des personnages sont juifs : il n'y a pas de juifs en Tanzanie ! Pour la couleur locale, c'est raté. Il aurait été si facile de choisir des noms chrétiens, ou musulmans, ou encore indiens ! Concernant la somme de 1000 Sh : cela représente aujourd'hui 0,35 € une somme dérisoire ! Un billet de 10.000 Sh ne serait pas de trop. Dommage... |
Provencao
11/11/2024
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour wancyrs,
Très beau texte, avec une émotion toute particulière sur la communion, la charité et la bonne intelligence, qui offre et dit simplement que cette générosité exige en chacun de nous de devenir ce que nous sommes et ce que nous pensons, et être ce que nous devenons. Au plaisir de vous lire Cordialement |