|
|
jaimme
5/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Un histoire avec un fond tendre. Des souvenirs, plus que des rêves (dernière phrase). Des lignes de conduite et surtout un rapport à ses parents.
Mais je n'ai pas trop apprécié le traitement. Une ou deux choses: ces italiques, trop longues; cette syntaxe qui ne fait pas bien la différence entre le récit actuel et les souvenirs. Globalement je trouve que le texte aurait besoin d'être retravaillé pour y gagner en force, d'autant que, je l'ai déjà écrit, le thème le mérite. |
Coline-Dé
5/10/2009
|
J'ai scrupule à commenter ce texte très touchant, parce qu'il sent trop le vécu et que du coup mon commentaire risquerait de faire mal... Il est difficile de parler de sa mère sans redevenir un peu enfant, avec les naïvetés et les maladresses de cet âge. Je crois que c'est ce qui t'arrive : cet apologue te rend un peu de ton enfance, je pense qu'il t'a procuré beaucoup de plaisir et c'est très bien comme ça ! La tendresse n'a pas de prix !
|
florilange
5/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bel hommage à la mère, à toutes les mères. On comprend bien que c'est ce que wancyrs a retenu de son éducation & c'est parfait. Personnellement, je trouve le cours de morale 1 poil indigeste, parce que très long.
Il aurait fallu en outre prendre des temps de conjugaison différents pour ce que vit le narrateur (l'hiver, la neige), le présent par ex. et pour ses souvenirs (l'Afrique), le passé simple ou l'imparfait par ex., ça aurait rendu le texte + clair pour le lecteur. J'ai noté, en passant : - "qui se répétait (depuis) seize printemps" - "que de (se) figer..." Mais ce sont des broutilles. Merci de cette nouvelle, Florilange. |
Myriam
5/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
Je me suis un peu perdue dans ce texte trop confus, où j'ai trouvé de belles choses ( les larmes des volcans en est une...) noyées dans de multiples souvenirs qui m'ont semblé manquer de cohérence.
La perte de contrôle du véhicule par exemple... Je n'ai pas compris le rapport avec le thème. La mère... oui, c'est un beau thème. Les larmes d'une mère qui espère le meilleur pour son fils... Mais le traitement en est trop brouillon... Les paroles de la mère au retour du vol sont trop soutenues. On ne parle guère au passé simple... Le dernier Noël en Afrique... je relis le texte et ne comprends toujours pas comment on est arrivé là... J'ai souri au proverbe des sages... En Afrique, le monde appartient plutôt à ceux qui palabrent tard...!! Un beau thème donc, mais un texte où je n'ai pas trouvé mes marques. Amicalement. Myriam. |
widjet
5/10/2009
a aimé ce texte
Pas
|
Je pense qu’il faut avoir lu plusieurs textes d’un auteur pour savoir si on aime ou pas. Je l’ai fait. Désolé, mais je crois que j’accroche vraiment pas avec les textes de Wancrys. [passage modéré par Pat : cette remarque n'a rien à faire ici]
J’avoue : j’étais à deux doigts d’abandonner. Entre l’utilisation très bancale des temps, des maladresses, de l’absence de crédibilité (le dialogue de la mère sonne archi faux), des étrangetés (« Les flocons de neige tombaient à l’extérieur de la maison »…on voit rarement neiger chez soi, sauf si on a des soucis avec la toiture !), des lourdeurs dans le style (« stabiliser une voiture » ? « c’est plus dur, c’est plus rude », « un homme c’était celui-là qui savait »…et j’en passe) déjà assez monotone, une surabondance de questions ou d’affirmations (tantôt nébuleuses, ou réductrices du genre « ? Ces enfants déséquilibrés par le manque d’affection paternelle ne pourront-ils pas être les délinquants qui t’assassineront demain ? ou bien qui violeront ta fille ? « ou alors d’une banalité désarmante), un vocabulaire qui hésite entre deux formes (dans la même phrase, on lit « mioches » et « bien-aimé) bref tout ça a eu raison de ma patience et mon énergie. Désolé. Hormis la sincérité (et c’est déjà pas mal), j'ai beau chercher, je ne vois guère de choses à sauver dans ce texte. W PS : et puis ce titre emphatique.... EDIT : relecture et (légère) modif d'appréciation. |
shanne
5/10/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour,
Texte qui peut paraitre un peu long mais peut on parler de son enfance en quelques lignes? Tellement précis que j'ai pu imaginer ce moi enfant et l'amour de votre mère pour vous enfant J'ai aimé |
Anonyme
5/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Salut wancyrs ! Pour ce qui est du style, je n'y reviendrai pas car Widjet l'a déjà autopsié et je suis plutôt d'accord avec lui concernant les quelques maladresses relevées. Peu m'importe ! Reste ce récit qui est, ne nous y trompons pas, par delà les océans, le cri d'amour d'un fils à sa mère , le cri d'un émigré déchiré entre deux continents, sa terre d'adoption et sa terre natale... Et pour cette sincérité et cette souffrance à peine voilée, je trouve ce texte profondément humain... et très bien. Bonne soirée et bon courage l'Africain du Québec ! Amicalement. Alex
|
marogne
5/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
|
Bon, je n'aime pas vraiment commenter ce qui apparaît comme "personnel", et là, cela me semble le cas. mais bon, j'ai lu le texte, et j'espère que l'auteur ne m'en voudra pas trop.
Oui c'est sans doute tendre, émouvant parfois, mais comme on arrive à émouvoir un enfant - naif encore - et le traitement s'en ressent. On a l'impression que c'est cet enfant, à l'age des faits, qui raconte... mais en même temps c'est entremèlé de tournures de phrases, de mots, d'expressions qui ne font ni partie du vocabulaire de l'enfance, ni du vocabulaire de la campagne. Au dela des émotions, on pourra noter quelques tentatives moralistarices, phylosphiques, mais baste, c'est là une tentaive osée et il faut alors qu'elle tienne la route; ici je ne pense pas que ce soit le cas. Et puis je n'aime pas que l'on me fasse la morale, même par nouvelle interposée. Enfin, je crois avoir noté quelques incohérences de situation, de temps, ;.... c'est dommage car ça n'aide pas. Donc un sentiment plus que mitigé, partagé entre l'indulgence face à la volonté de l'auteur de nous faire peut être partager(qui se rappelle avec précision les phrases compliquées que son père lui disait quand il avait 5 ans) l'amour de sa mère, et l'irritation du ton moralisateur et du style un peu trop "nature". |
brabant
5/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Bonjour Wancrys,
Après avoir lu ce que tu fais en poésie, j'étais curieux de voir ce que cela donnait en nouvelles. C'est bon! Je retrouve le même style, solide et efficace, tu vas au but, sans être lourd, martial, ni pesant. Ton texte se lit aisément, et, bien que détaillé, sans fatigue. J'ai particulièrement apprécié le passage où tu t'attardes sur la valeur des larmes: "C'est par les larmes que le corps se débarrasse de la détresse et du stress accumulé... Ce n'est pas une honte de pleurer..." et pourtant: "Pourquoi selon toi des hommes piquent-ils des crises d'hystérie? Parce qu'ils ne se libèrent pas de ce surplus d'énergie créé par les émotions quotidiennes." Les sentiments et les idées que tu énonces sont très bien vues car universelles. Au travers de ta mère j'ai reconnu la mienne, au travers de ton père j'ai reconnu le mien, qui était un homme inaccessible alors que j'étais enfant et qui est devenu un enfant alors que je devenais un homme... Cela m'a amusé de voir que tu souffrais du froid en regretttant la chaleur de ton Afrique natale tandis que moi j'y ai souffert du chaud le peu de temps que j'y ai séjourné en regrettant la froidure du Nord qui m'a donné le jour. Vois-tu j'attends que la neige tombe alors que tu attends qu'elle s'en aille! Mais, au travers de ton récit, je sens bien que les valeurs essentielles sont communes à tous les hommes. Bravo pour cette leçon de nostalgie et d'humanité! Merci à toi! |
nemson
6/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
|
bonjour wancyrs
d'ordinaire, et dû à ma psychorigidité en matiere de lecture, je ne lis jamais un texte qui commence par "ce matin la" mais bon. il ya une bonne vonlonté d'exprimer une sensiblité evidente mais... je trouve que les phrases traine en longueur, ça manque de rythme et surtout abus de qualificatifs, parfois 2 ou 3 par phrases alors qu'un seul efficace suffirait. Un peu comme une tranche de cake avec beaucoup trop de fruits confits à l'interieur. encouragement. |
Garance
7/10/2009
a aimé ce texte
Bien
|
Je reviendrai sur ce texte dont les intentions me plaisent énormément.
On perçoit nettement le désir de dire, intense qui trace son sillon pour écouler les mots...des mots qui déposent leurs sédiments d'amour filial. |
Anonyme
11/10/2009
a aimé ce texte
Pas
|
Bonjour,
désolé, mais je n'ai pas aimé du tout. Alors, oui, l'amour d'une mère et tout ce qui va avec, ok, mais là, moi j'en peux plus des bonnes intentions. Je ne sais pas si l'enfer en est pavé, mais je crains qu'en ce moment, les rues d'Oniris ne le soient elles ! Vraiment non, la morale, les bonnes résolutions, les remords, les larmes... Tout cela sur un ton emphatique et désuet, je dis stop. Désolé Wancyrs, je ne remets pas en cause la sincérité de tes intentions et de tes sentiments, mais leur traitement me déplait profondément. Mais c'est naturellement une appréciation personnelle. Bonne continuation à toi. |
kamel
28/12/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
|
Bonjour
En feuilletant les pages,je me suis aperçu que le thème récurrent "mère" "rêve" "l'enfant que j'étais" revenait sans cesse dans ces nouvelles,alors pour pouvoir les distinguer les uns des autres , je me suis contenté de relever uniquement un souvenir d'enfance,celui du "garçon" que j'étais dans un contexte très long. Ce foisonnement de mots instruit davantage le lecteur en voie d'apprentissage et élargit du moins ses connaissances. L'interjection "ô mères" donne une fois de plus cet amour charnel de la mère pour ses enfants. Et l'on constatate que tous les auteurs se démarquent à soutenir cette thèse. Amicalement Kamel. |
placebo
26/2/2010
|
Le texte m'a paru intéressant, je suis désolé de ne pas pouvoir dire plus, mais je n'ai pas réussi à rentrer dedans, à cause du style, principalement.
Trop lourd à de nombreux endroits, dès la deuxième phrase en fait. Ce qui m'a le plus posé problème, ce sont les petits mots (je ne sais plus comment on dit) associés à un verbe, et il y a eu énormément de fautes : continuer à, s'arracher à, se dépêcher de. Vers la moitié du texte, j'ai trouvé beaucoup de vocabulaire rarement utilisé, et des expressions comme ''en campagne'' au lieu de ''à la'' m'ont fait me demander si tu ne venais pas du canada, pays évoqué dans le texte, ce qui est le cas apparemment. Je n'ai absolument rien contre les canadiens, et nous parlons tous français, mais j'avoue que n'ayant aucune notion des quelques différences de langage qui existent, je ne peux pas évaluer ton style, n'ai pas pu rentrer dans l'histoire et ne te mettrai pas de note, d'autant plus que j'ai lu un peu rapidement la fin. désolé, je vais m'accrocher pour apprendre le canadien, et puis le suisse et le belge tant que j'y suis ^^ (là, je vais me faire taper dessus) placebo |
Flupke
9/9/2010
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour Wancyrs,
Je pense que j’ai davantage aimé le contenu (très intéressant) que le style. En tant qu’Africain vivant au Québec, peut-être aurait-il été intéressant de souligner ou d’étoffer sur l’aspect multiculturel de ton expérience, vu l’analogie mère/racines. "L’une de mes occupations quotidiennes consiste à ramener de l’eau potable à la maison, recueillie à une source lointaine, dans un seau que je mets en équilibre sur la tête". Je pense que cette phrase devrait être reformulée pour ne pas trop dissocier ces composantes. Suggestion : L’une de mes occupations quotidiennes consiste à ramener à la maison, dans un seau en équilibre sur la tête, de l’eau potable recueillie à une source lointaine. « Au fond de son regard qu'elle voulait sévère, j'ai détecté la brillance d'une larme prête à couler ». Excellent !!! « C’est dommage lorsqu’une femme ignore le rôle qu’elle doit tenir au sein de la société… » Ou la la ! Ça frise le ton moralisateur : « Femmes, enfantez ! C’est votre destin » :-) " Tomber c’est humain ; se relever c’est divin ; mais rester à terre c’est crétin." Une formule intéressante de par le concept exprimé. "en campagne" je dirais plutôt " à la campagne" sinon ça fait plus campagne militaire ou publicitaire. Mais peut-être s'agit-il la d'un canadianisme ? Merci de nous avoir fait partager ton expérience. Amicalement, Flupke |