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Donaldo75
4/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Bien étrange texte que voilà; je l'ai trouvé reposant, en fait, dans son rythme, son style narratif entre la pensée et l'action. La réflexion sur l'homme, l'enfant, le merveilleux, participe à cette impression de tranquillité. La fin est un feu d'artifice, quand il pense; avec quelques beaux passages: * Je n’ai pas d’ennemis. La distraction est ma seule perte. * Je n’ai pas de sabre. Le calme et le silence sont bien plus meurtrier. La fin est simplement paisible, alors que le geste en soi est dramatique. Bravo ! Donald |
hersen
19/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup ce texte par son côté très original. En effet, nous vivons un seppuku de l'intérieur et suivons le détachement de l'âme et du corps.
Il y a une grande poésie, une grande paix. certains passages sont empreints d'une si grande sagesse, d'une si grande harmonie que cela donne un instant l'envie de cette sérénité... mais c'est une voie dont l'aboutissement n'est pas à la portée de tous ! merci pour ce texte qui sort des sentiers battus et dont l'écriture épurée et poétique, évanescente ai-je presque envie de dire, sert tout à fait le propos. Juste une petite chose. Dans cette phrase, il me semble que"elle" devrait être encadré par des virgules : Le temps a perduré la règle s’est elle fortifiée puis s’est assouplie de sa propre dureté. J'ai hautement apprécié " et le doute s'épanouira" car dans l'idée, on attend "évanouira". Cette partie de phrase m'a mise dans une condition particulière pour poursuivre ma lecture et a très certainement exacerbé l'impression de simplicité et de détachement que l'on a tout au long de la lecture. Merci pour cette lecture, hersen |
Marguerite
19/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Xaba,
J’ai trouvé le début du texte (les 2 premières lignes) énigmatique, peut-être un peu alambiqué, et puis je me suis laissé couler. Votre texte est très philosophique, bien mené. L’écriture est riche et légère. Il fallait bien ça pour illustrer l’hara-kiri. Merci pour la lecture. M. |
MissNeko
19/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Un récit philosophique très intéressant. La plume est belle, délicate et sereine.
Un agréable moment de lecture réflexive |
Robot
19/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Commencer à lire ce texte c'est comme entrer dans l'eau, peu à peu sans se rendre compte de cette immersion.
Une mer de sérénité ou chaque axiome introduit à une réflexion qui enveloppe et guide la pensée. Et au bout, cet acte qui paraît presque un aboutissement naturel, sans susciter réellement d'incompréhension. C'est avec une sensation assez étrange que l'on ressort de cette lecture. |
GillesP
19/10/2016
a aimé ce texte
Bien
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Ce qui est réussi, je trouve, dans votre texte, c'est le décalage entre le thème du suicide, qui renvoie d'ordinaire à l'idée de l'échec, du déchirement, et la façon dont vous le traitez, en évoquant le hara-ki d'un samouraï: en effet, comme d'autres commentateurs l'ont dit, il se dégage de votre nouvelle une profonde harmonie, une paix intérieure, une reconquête d'une unité primordiale, dans la tradition de certaines histoires portant sur la notion d'unité. Je pense, par exemple, au mythe d'Aristophane, dans le Banquet de Platon. Je pense aussi à un petit roman de Balzac, qui s'appelle Séraphîta, qui est une illustration des théories du penseur mystique suédois Swedenborg, roman qui repose sur la croyance en une élévation progressive de l'esprit, de façon à atteindre une unité perdue.
Cependant, je ne suis pas parvenu à être totalement conquis, lors de ma lecture. Peut-être est-ce dû à mon propre être, assez peu réceptif à ce genre de pensée que je qualifie, avec sans doute un peu trop de condescendance, de mystique. Peut-être, aussi, est-ce la conséquence du caractère un peu trop systématique, à mon goût, de l'antithèse et de l'oxymore dans votre texte pour insister sur l'idée d'unité, de réconciliation des contraires, des contradictions. Au plaisir de vous relire. |
plumette
19/10/2016
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les mots de ce texte, qui coulent bien pourtant, n'arrivent pas à pénétrer mon cortex.
Aujourd'hui, et pour je ne sais quelle raison je ne suis pas réceptive à ce récit, à cet homme/enfant. Me manque-t-il un savoir, une culture, une tournure d'esprit ? je reste au bord. il y est question d'éternité, lorsque tout meurt et revient simultanément. J'ai bien du mal à m'élever vers ce monde des équivalences sublimes. la force de ce texte vient d'un déroulement tranquille jusqu'à cette fin terrible sur fond de préceptes philosophiques. je ne met pas d'appréciation car je crois que je n'ai rien compris! Plumette |
Ora
19/10/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je suis partagée, vraiment. J'ai cru au début que l'écriture allait me lasser mais il y avait toujours une tournure pour me rattraper: "il est devenu lui-même cette harmonie"…
J'ai beaucoup aimé la description de ce moment de méditation au lever du soleil, l'ancrage à la Terre, la conscience de soi et celle de n'être rien. Mais j'ai aussi moins compris ou accroché avec d'autres passages: "Je ne suis aucun prodige. Le respect à la tradition est mon miracle permanent". Etrange pour cet homme qui semble si détaché… Et enfin ce suicide rituel dont la raison d'être n'est pas expliquée ici (peut-être faut-il connaître la tradition japonaise) et qui me semble peu correspondre avec l'union en soi de l'adulte avec son enfant intérieur (que l'énergie de vie selon moi caractérise). Je suis sensible à l'aspect éphémère de la vie et son impermanence décrites dans votre nouvelle, je reste dubitative sur le geste final. C'est donc un mélange d'engouement et de réserve qui clôt ma lecture. Merci pour ce partage. Ora |
Zoe-Pivers
20/10/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Xaba,
Lame qui libère l'âme. La seule raison que j'ai pu deviner mener à la pratique de ce rituel, ici, c'est que le guerrier refuse d'obéir à un ordre de son Maître : " couper le fil " Je trouve ce texte très poétique, les images, les sensations, la progression, tout est amené avec délicatesse. Pratiquez-vous un art martial pour décrire avec tant de justesse ? Merci beaucoup pour cette jolie lecture |
Anonyme
20/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'aime beaucoup cet homme-enfant qui s'identifie au papillon.
Existence fragile, la vie qui n'est qu'un instant, qui ne fait qu'une, l'harmonie, la simplicité, la pureté, l'éternité... Les mots m'ont touchée en plein vol. Merci pour ce partage. J'ai écrit une histoire sur Shortedition qui rappelle votre univers, enfin je crois : http://short-edition.com/oeuvre/tres-tres-court/papi-leon-1 |
Pouet
20/10/2016
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bjr,
Personnellement je n'ai pas accroché à cet "avant seppuku" si je puis m'exprimer ainsi, je me suis ennuyé ferme, veuillez excuser ma franchise mais j'ai dû me motiver pour aller jusqu'au bout, le texte est court mais m'a semblé interminable. Certes cela est bien écrit mais je suis resté franchement à côté des considérations "philosophiques" du texte, cela ne m'a pas parlé, pas touché. J'ai été un peu gêné par la répétition de "bourgeon" assez rapproché en début de texte. J'ai trouvé un peu contradictoire: "Je n’ai pas de projets. L’opportunité est seulement dans mon plan." L'opportunité ne m'a pas semblé coller avec le ton du texte. Même si ici, "l'opportunité" est celle de se suicider... Je ne suis certainement pas assez au fait de la philosophie bouddhiste (si tant est que ce soit le cas ici) pour apprécier cette "nouvelle" qui ressemble plus à un "essai philosophique". J'avoue bien humblement ne pas avoir tout saisi de vos mots. Je crois que de façon plus terre à terre j'aurais bien aimé savoir en quoi ce samouraï avait failli à son code d'honneur, à son "bushido" mais peut-être que ma lecture ne fut pas assez attentive. Je crois aussi que j'aurais préféré plus de simplicité. Je ne remets pas en cause la qualité d'écriture de l'auteur et encore moins la "philosophie" qui est exprimée ici. Simplement je crois que ce n'est pas pour moi. Cordialement. |
Anonyme
21/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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La dernière phrase. C'est à la dernière phrase, que j'ai reçu votre histoire comme une évidence.
C'est cette dernière phrase qui fait apparaître, comment un acte d'une scène banale, peut rejoindre l'inconcevable, quand il s'agit de l'homme. En effet, qui pourrait bien se préoccuper d'un papillon, mourant pour nourrir l'oiseau ? Entre les deux où se situe l'abject ? Et encore, peut-on parler d'abject, quand c'est la nature qui régit sa loi ? C'est dans la dernière phrase, que se trouve la réponse. Pas une réponse écrite. Même pas une réponse d'ailleurs, mais un fait. Et ce qui est paradoxal, c'est que je n'étais pas très emballé par le début, ni même par le milieu d'ailleurs, mais docile, comme j'avais décidé de lire jusqu'au bout, je me laissai emmener, comme ça, et j'ai trouvé l'idée du Samouraï se faisant hara-kiri subtile, car on ne s'attend pas à ce que tout ceci finisse en suicide. Seulement voilà, il y a eu cette dernière phrase, qui ramène la mort d'un homme à quoi ? A celle d'un papillon. Enormément d'humilité dans tout cela. |
Anonyme
21/10/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai vécu se texte comme un accompagnement. Cet homme dont je ne soupçonnait pas la fin m'a fait partager son cheminement jusqu' au geste ultime. J'ai aimé ce voyage qui raisonne. Très bonne écriture, beaucoup de poésie, j'ai passé un très bon moment. Merci.
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