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Robot
15/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il y a un aspect "Légende des siècles" et plus précisément de "La vision" qui l'introduit. Non pas que je comparerai ce texte à celui de V.H. mais le style épique des alexandrins y fait songer.
J'ai relevé trois vers plus heurtés à la lecture et notamment à l'oralité sur lesquels la diction bute en cours d'alexandrin là ou j'ai marqué d'un "\": Pouvait condui-re \ vers un destin malheureux. (Pour l'alexandrin on prononce le "re" au 5ème pied et on s'attend alors à une élision qui est absente. Ce n'est pas fautif mais peu agréable.) Puisque la lueur lui \ paraissait si lointaine (Ici c'est la construction qui fait s'arrêter sur "lui", peut-être aurait-il été plus judicieux de supprimer ce pronom qui fait songer à "la lueur luit" et provoque une confusion.) Réunis autour de \ lui,créant un aliment (Ici on s'arrête sur "de" puis on bute sur le "lui" virgulé qui suit au 7ème pied et ça accroche. Hormis ces trois observations, parcourir ce texte était une découverte plaisante. |
Anonyme
28/2/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Une belle marche dans le désert que la vôtre. La première strophe est superbe, et je la relis encore et encore pour mieux m'en imprégner.
Il flotte quelques petits "heurts" ici et là à la lecture, mais globalement le tout m'a beaucoup plu. Soleil, sable et cactus, divagation des sens, de l'horizon et des couleurs, bravo ! |
Pussicat
1/3/2015
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Bonjour abadboumsong,
J'ai marché avec vous et j'ai souffert... vos vers coulent et déroulent cette marche dans un décor infernal à se brûler les pieds, et le reste du corps... un décor qui semblerait ne pas vouloir que la vie naisse. Une remarque - j'ai des désaccords avec Robot mais ce n'est pas le lieu d'en faire état - vous écrivez, dans la deuxième strophe : "On trouvait, camouflés, des animaux peureux" Ne seraient-ils pas plutôt intelligents, ces animaux que "peureux", en se cachant dans le sable évitant ainsi les brûlures du soleil ? J'ai apprécié votre texte, à bientôt de vous lire |
Bidis
14/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Je n'ai pas compris grand chose sauf la dernière strophe, magnifique et qui sans doute explique pourquoi je n'ai rien compris (je ne suis pas poète).
Mais, sans comprendre, j'avais déjà beaucoup aimé certains vers. Pour d'autres, j'ai compté le nombre de pieds parce qu'ils me semblaient heurter le rythme de ma lecture. C'est dommage. |
Anonyme
4/7/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Vous disposez un décor troublant comme l'est le désert, tout un monde perturbant mais fascinant qui apporte toute sorte d'émotions.
Je reconnais avoir été obligé de lire votre texte plusieurs fois, il est très dense, intense, ce qui fait que par moment l'esprit s'échappe de sa lecture, pour rêvasser, imager, imaginer. A tout cela s'ajoute un côté extraordinaire, qui trouble et procure des hésitations pour une totale cohérence. J'ai eu un peu de mal à mettre mes pas dans ceux de ce marcheur, car je trouve que votre texte se perd un peu dans cette marche, qui se fait bien longue à mon goût. C'est un poème très bien écrit, la forme est plaisante à lire, le fond ne manque pas d'avoir attisé un peu de ma curiosité. |