Merci d'éveiller en nous la beauté simple de la bienveillance et de la tendresse. Cela rappelle qu'en nos contes d'enfance, nous, adultes, trouvons parfois nos réponses, les mêmes berceuses toujours revisitées ... on voudrait encore quelques vers, (... ... ...) on croit parfois avoir tous eu les mêmes grands parents tant l'amour qu'ils nous portent paraît universel ... bref.
Stylistiquement c'est très parlé, il faut mettre un soupçon de bonne volonté pour accrocher, cependant le thème se prête parfaitement à cette forme.
Je repense à un poème genial lu en EL qui n'est hélas pas paru dans le catalogue du site, poème dans lequel des horloges se faisaient la causette. Une bonne histoire est intemporelle.

J'ai apprécié la vivacité emplie de tendresse de votre poème que j'ai trouvé touchant sans niaiserie, expressif (impression renforcée par la simplicité vivante du vocabulaire). Les ruptures de rythme dues aux vers de longueur variée m'apparaissent bienvenues. J'ai un bémol sur la majuscule systématique en début de vers, il me semble que vous limiter à celles découlant de la ponctuation aurait apporté à l'ensemble du texte un supplément plaisant de souplesse. Mais bien sûr, tel est votre choix d'auteur ou d'autrice.

bonjour Absolue
Votre texte me touche, aussi vais-je le commenter ; mais devant partir là... je reviendrai tout-à-l'heure.
Me re-voici !
" Elle en a mis, mamie un peu partout, même dans le tic-tac de l'horloge... de sa trace : pour quand elle ne serait plus là, se remémorer tous ces moments avec Elle mémé. Une trace qui sent bon la tendresse ; ah chère mamie ! "
NB et chaque vers qui ne dit que le minimum, en dit beaucoup à la fois : des moments que ceux qui n'ont pas le bonheur d'être mamie, papi doivent envier tellement.
" tu sais papi, je ne me rappelle pas de tout ! des fois, je te faisais croire qu'à tes histoires, je croyais... "
et si, en réalité la fillette devenue fille, jeune-femme de déclarer
" ah, pi tu te rappelles de Raiponce qui se coiffait à la fenêtre de sa chambre, quand sous le château du Pin nous passions ? "
Votre dernière strophe est si jolie, comme écrite par un ange...

Tendre ! Touchant ! Magnifique !
J'aime beaucoup .

Edgard disait dans : Carré des Indigents
" qu'on était toujours en retard pour aimer "...

Donner de l'Amour pour la personne qui aime, c'est le mettre dans TOUT !
Rien n'est minuscule, grotesque ou insignifiant.
Toutes les miettes s'additionnent pour LE matérialiser .

J'aurais aimé que ma plume ait en elle les beautés de ton poème.

Merci pour ce beau moment de poésie.

Ah oui ! Très beau !

Un poème un peu à la Eluard.
Le rythme n’est pas cassé par l’enchaînement des verts courts et la musique des mots est belle.
Difficile de détacher plus un vers qu’un autre, un mot qu’un autre hormis : SON AMOUR
Vraiment poétique, j’ai adoré.

Bonjour Absolue,



Nous devons recevoir le sens de notre héritage. Laisser être la  délicatesse , le fait que rien, pour nous, ne soit enraciné , mûri, élaboré une fois pour toutes.
 Les choses et les êtres ne peuvent pas être dépendants  à notre volonté. Le sens le plus absolu  de notre existence nous tient bienveillants , à la merci.

Très beau rayonnement qui habite cette dimension de grande délicatesse avec ce dessein d'accomplissement de la vie....

Au plaisir de vous lire
Cordialement

Ha bah bien sûr, si vous nous prenez par les sentiments ...

Un poéme émouvant, par petites touches, petits gestes, chaude présence, un regard attentif et amant au quotidien qui tisse des liens forts, l'ensemble est tellement bien évoqué.

Une douce plongée dans les souvenirs pour un hommage délicat, tendresse contre tendresse, c'est touchant et réussi.

Bonne soirée Absolue.

Ça, c'est le genre de texte que j'aime lire, puisqu'il est écrit comme on parle. Sans chichi. C'est du vrai. C'est charmant. C'est l'amour qu'on devrait tous avoir pour le partager avec tout le monde. Absolue, tu portes bien ton nom, continue, je lirai tous tes textes. Je t'embrasse, tu permets ?
ericboxfrog.

Ce texte évoque l'amour maternelle et l'enfance, l'enfance des histoires raconter avant d'aller dormir, du bisou nécessaire à la tranquillité d'esprit, du bon gâteau que l'on humecte depuis sa chambre. Ce poème sonne presque comme une berceuse "fais dodo cola mon p'tit frère..."

Mignon, doucet, agréable.

Comment j'ai pu louper votre petit poème plein de tendresse et de simplicité? C'est comme un ruisseau qui coule. Chaque mot évoque un petit détail du quotidien qui vient ciseler l'amour tout naturel et sans fioritures. Et chacun peut y trouver une part de soi.
C'est superficiel et profond. C'est universel.
Je le lis sans majuscules et sans aucune ponctuation.(le ruissseau...)
Merci.

La source primaire de tout être est bien là entre ces lignes d'infinie tendresse...
Mots, brisures de douceur, souvenir délicat, tout est semé avec amour...

Bel hommage à l'amour maternel !

Je pense aux mots de Jules Laforgue :

J'entends mon coeur qui bat,
C'est maman qui m'appelle".

Eki