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Myndie
28/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
Que le monument en question ne me soit jamais dévoilé et reste un mystère m'importerait peu, parce que d'emblée j'ai été séduite par le souffle poétique qui traverse votre texte. Tout est là : douceur, simplicité, sincérité et surtout émotion. Il y a aussi la finesse des images : "Des cascades dorées S'écoulent sur tes fleurs, S'enroulent aux escaliers, Désarment le béton." "les gargouilles rampantes" "un arbre de vie s'étend si près". et surtout la dernière strophe qui clôt le poème en apothéose. Franchement, à la lecture de vos vers, je n'ai nulle envie d'intellectualiser et je me laisse aller à ce que je ressens. Merci pour cette belle lecture. myndie |
Anonyme
28/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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" ton ventre de porphyre " m'a orienté vers la cuve baptismale de la cathédrale de Metz ; de même que les gargouilles et " De l'autre côté,
Le Christ se meurt " Toutefois, ce texte étant assez descriptif, une parfaite connaissance du monument en question est indispensable. Je reste donc assez dubitatif sur mon idée. Cette poésie reste très agréable à lire. |
vb
28/10/2017
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Bonjour,
Je voulais simplement dire que j'ai adoré les quatre première strophes; mais, déjà au vers "Désarment le béton.", j'ai perdu pied. Qu'à à voir le béton armé avec une œuvre Renaissance faite de porphyre et d'or? Ça ne cadre pas bien. La suite m'a vraiment déçu, car je n'y ai pas vraiment entendu la musicalité du début. Dommage. |
Anonyme
28/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Sans doute le meilleur poème du concours que j'ai lu.
Le meilleur pour moi, lambda parmi les gargouilles lectrices. J'ai trouvé dans ces mots sans épines une immense paix Même si cela me rappel ma visite de la cathédrale d'Avranches, la transposition ne me pose aucuns soucis j’ai trouvé dans votre écriture de belles focales (les vôtres), de beaux angles parmi les pierres, oui, une façon 'imposée' de faire renaître les mots. L'ultime strophe en est l'illustration. Merci à vous. |
papipoete
29/10/2017
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bonjour,
Je pense au Panthéon de Paris avec ses tombeaux de porphyre, mais suis peut-être à cent lieues de votre monument ? NB des vers aux métaphores subtiles " désarment le béton " et " les dos fléchis " que je vois comme les personnages illustres reposant ici ? N'étant pas sûr de moi, je ne puis aller plus loin dans votre texte, qui brille pourtant par ses mot ! |
Bidis
29/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Ce poème m'a transportée et j'aimerai relire ce texte lorsque le mystère sera levé. C'est dire que j'ai beaucoup apprécié les images que ces vers évoquent.
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Vilmon
29/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour, J'aime les images qui m'apparaissent en lisant que quelques mots, une économie de mots bien choisis offrant un éventail d'images! Mais je n'arrive pas à identifier le monument...
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David
1/11/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Je ne devine pas le monument, les vers ont leurs charme et le poème tient bien sa longueur. Ça reste assez descriptif même si c'est fait de façon onirique. |
Anonyme
8/12/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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C'est un très beau texte, que j'ai lu et relu.
Peu importe le monument, car le mystère l'habille de mots qui déjà, est une découverte. L'imagination s'invite, au fil les images par-ci par-là, une idée puis une autre. D'abord un dedans qui attire par ce décor le regard, celui-ci s'attarde et contemple, admire ... Puis dehors, où les sculptures variées, attisent la curiosité, tout cela dans un environnement agréable. Et pour terminer en beauté, comme vous le faîtes toujours, vos mots de plume : " Dans ta superbe chevelure, L'étoile du matin S'accroche À des oiseaux d'acier. " |